Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme malgré des échanges chaotiques ce mardi, encouragées par la vigueur du secteur financier, tandis que les observateurs guettaient les mises aux enchères de dettes espagnoles devant avoir lieu aujourd'hui.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.71%, le CAC 40 français de 0.58%, et le DAX 30 allemand de 0.46%.
Les opérateurs demeuraient sur les dents alors que l'Espagne comptait proposer pour 3 milliards d'euros de bons du trésor à 12 et 18 mois dans l'après-midi, sur fond de crainte que son gouvernement ne puisse tenir ses objectifs de réduction des déficits se faisait ne plus en plus pressante face à la récession qui menace.
Le coût des assurances contre un éventuel défaut de paiement des dettes espagnoles s'était élevé hier vers un nouveau sommet historique, poussant les taux des bons décennaux du pays à dépasser pour la première fois depuis début décembre la barre des 6%.
Leur prudence découlait également de l'aggravation des angoisses concernant les perspectives économiques chinoises, après qu'il ait été révélé en début de matinée que les investissements directs de l'étranger dans le pays avaient reculé en mars de 6.1% par rapport à l'année dernière, pour se limiter à 11.76 milliards d'USD.
Les établissements financiers caracolaient en tête, le néerlandais ING Groep le premier, avec 3.35%, suivi de près par les français Société Générale et BNP Paribas, avec respectivement 3.36 et 2.28% d'amélioration.
Leurs collègues allemands n'étaient pas en reste, Deutsche Bank bondissant de 1.92% et Commerzbank de 1.2%.
Les supermarchés Carrefour représentaient la France au mieux, avec 3.41%, suite à l'annonce la semaine dernière de 22.49 milliards d'euros de ventes au premier trimestre, soit 1.5% de plus que l'année dernière.
Parmi les moins bonnes nouvelles, le groupe pétrolier espagnol Repsol a plongé de 3.99% après que les autorités de l'Argentine soient intervenues manu militari hier dans les locaux de sa branche argentine, et compte passer incessamment une loi d'expropriation de 51% de la compagnie.
A Londres, le FTSE 100 a engrangé 0.36%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays a grimpé de 3.57%, la Royal Bank of Scotland de 1.94%, et Lloyds Banking de 1.85%, HSBC Holdings se contentant de 0.27%.
Le secteur minier se trouvait toutefois en berne, Rio Tinto laissant échapper 0.47%, BHP Billiton 1.06%, e le cuivrier Xstrata 0.09%.
Le poids lourd des hydrocarbures Essar Energy n'était pas mieux loti, fondant de 3.09% alors que se poursuivaient ses négociations avec la State Bank of India afin d'obtenir un prêt sur six ans destiné à payer aux autorités locales 63 milliards de roupies de taxes sur ses ventes.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une avancée de 0.2%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.19% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.17%.
Les autorités américaines annonceront de leur côté cet après-midi le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, celui des lancements de chantiers, mais aussi les performances de la production industrielle.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.71%, le CAC 40 français de 0.58%, et le DAX 30 allemand de 0.46%.
Les opérateurs demeuraient sur les dents alors que l'Espagne comptait proposer pour 3 milliards d'euros de bons du trésor à 12 et 18 mois dans l'après-midi, sur fond de crainte que son gouvernement ne puisse tenir ses objectifs de réduction des déficits se faisait ne plus en plus pressante face à la récession qui menace.
Le coût des assurances contre un éventuel défaut de paiement des dettes espagnoles s'était élevé hier vers un nouveau sommet historique, poussant les taux des bons décennaux du pays à dépasser pour la première fois depuis début décembre la barre des 6%.
Leur prudence découlait également de l'aggravation des angoisses concernant les perspectives économiques chinoises, après qu'il ait été révélé en début de matinée que les investissements directs de l'étranger dans le pays avaient reculé en mars de 6.1% par rapport à l'année dernière, pour se limiter à 11.76 milliards d'USD.
Les établissements financiers caracolaient en tête, le néerlandais ING Groep le premier, avec 3.35%, suivi de près par les français Société Générale et BNP Paribas, avec respectivement 3.36 et 2.28% d'amélioration.
Leurs collègues allemands n'étaient pas en reste, Deutsche Bank bondissant de 1.92% et Commerzbank de 1.2%.
Les supermarchés Carrefour représentaient la France au mieux, avec 3.41%, suite à l'annonce la semaine dernière de 22.49 milliards d'euros de ventes au premier trimestre, soit 1.5% de plus que l'année dernière.
Parmi les moins bonnes nouvelles, le groupe pétrolier espagnol Repsol a plongé de 3.99% après que les autorités de l'Argentine soient intervenues manu militari hier dans les locaux de sa branche argentine, et compte passer incessamment une loi d'expropriation de 51% de la compagnie.
A Londres, le FTSE 100 a engrangé 0.36%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux.
Barclays a grimpé de 3.57%, la Royal Bank of Scotland de 1.94%, et Lloyds Banking de 1.85%, HSBC Holdings se contentant de 0.27%.
Le secteur minier se trouvait toutefois en berne, Rio Tinto laissant échapper 0.47%, BHP Billiton 1.06%, e le cuivrier Xstrata 0.09%.
Le poids lourd des hydrocarbures Essar Energy n'était pas mieux loti, fondant de 3.09% alors que se poursuivaient ses négociations avec la State Bank of India afin d'obtenir un prêt sur six ans destiné à payer aux autorités locales 63 milliards de roupies de taxes sur ses ventes.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une avancée de 0.2%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.19% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.17%.
Les autorités américaines annonceront de leur côté cet après-midi le nombre des permis de construire qu'elles ont accordés, celui des lancements de chantiers, mais aussi les performances de la production industrielle.