Investing.com - Les bourses européennes étaient en forme ce lundi matin, profitant toujours des bonnes perforances régionales de la semaine passée, à l'approche des prises de cap de la Réserve Fédérale, de la Banque Centrale Européenne et de la Banque d'Angleterre.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,51%, le CAC 40 français de 0?58%, et le DAX 30 allemand de 0,81%.
Les cours avaient en effet retrouvé du mordant après qu'il ait été signalé que le baromètre de l'humeur des entreprises de l'Allemagne établi par l'institut Ifo pour la recherche économique avait frémi depuis 105,9 vers 106,2 pour juillet, dépassant d'un cheveu les 106,1 anticipés.
Ils avaient déjà repris du poil de la bête, après que l'indice composite de l'activité du bloc euro établi par le groupe de recherches économiques Markit soit remonté depuis 48,7 vers 50,4 pour le mois dernier, laissant du coup espérer une sortie de récession régionale au troisième trimestre.
La finance était cependant partagée, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,22%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale empochaient 0,16 et 0,15%.
Il en était de même à la périphérie, l'espagnol Banco Santander et l'italien Intesa Sanpaolo encaissant 0,18 et 0,14%, leurs compatriotes respectifs BBVA et Unicredit chutant par contre de 0,21 et 0,83%.
Publicis s'envolait pour sa part de 1,51% après avoir donné son feu vert à une fusion entièrement à base d'actions avec Omnicom, afin d'engendrer la plus grosse compagnie publicitaire du monde, représentant 23 milliards d'USD de rentrées.
L'actualité concernait aussi Siemens, la compagnie d'ingénierie s'élevant de 1,21% après avoir annoncé le remplacement de son directeur général Peter Loescher, en raison de son incapacité répétée à atteindre les objectifs de bénéfices.
A Londres, le FTSE 100 avançait de 0,64%, malgré des établissements bancaires de Grande-Bretagne aussi hésitants que leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking grignotait ainsi 0,12% et HSBC Holdings de 0,68%, tandis que la Royal Bank of Scotland et Barclays dérapaient respectivement de 1,34 et 2,75%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant respectivement de 0,04 et 0,64%, leurs concurrents Evraz et Polymetal n'étant pas épargnés avec 1,64 et 1,72%.
Il ne fallait pas non plus négliger le compagnie aérienne à prix cassés Ryanair, ses profits du premier trimestre fiscal ayant dégringolé de 21% en raison des coûts du carburant et de la précocité des vacances pascales, s'effondrant de 2,08%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,12%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,12% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,05%.
Les spécialistes de l'immobilier américain devraient de leur côté conclure la journée avec le volume des ventes de logements en cours.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,51%, le CAC 40 français de 0?58%, et le DAX 30 allemand de 0,81%.
Les cours avaient en effet retrouvé du mordant après qu'il ait été signalé que le baromètre de l'humeur des entreprises de l'Allemagne établi par l'institut Ifo pour la recherche économique avait frémi depuis 105,9 vers 106,2 pour juillet, dépassant d'un cheveu les 106,1 anticipés.
Ils avaient déjà repris du poil de la bête, après que l'indice composite de l'activité du bloc euro établi par le groupe de recherches économiques Markit soit remonté depuis 48,7 vers 50,4 pour le mois dernier, laissant du coup espérer une sortie de récession régionale au troisième trimestre.
La finance était cependant partagée, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,22%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale empochaient 0,16 et 0,15%.
Il en était de même à la périphérie, l'espagnol Banco Santander et l'italien Intesa Sanpaolo encaissant 0,18 et 0,14%, leurs compatriotes respectifs BBVA et Unicredit chutant par contre de 0,21 et 0,83%.
Publicis s'envolait pour sa part de 1,51% après avoir donné son feu vert à une fusion entièrement à base d'actions avec Omnicom, afin d'engendrer la plus grosse compagnie publicitaire du monde, représentant 23 milliards d'USD de rentrées.
L'actualité concernait aussi Siemens, la compagnie d'ingénierie s'élevant de 1,21% après avoir annoncé le remplacement de son directeur général Peter Loescher, en raison de son incapacité répétée à atteindre les objectifs de bénéfices.
A Londres, le FTSE 100 avançait de 0,64%, malgré des établissements bancaires de Grande-Bretagne aussi hésitants que leurs homologues continentaux.
Lloyds Banking grignotait ainsi 0,12% et HSBC Holdings de 0,68%, tandis que la Royal Bank of Scotland et Barclays dérapaient respectivement de 1,34 et 2,75%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant respectivement de 0,04 et 0,64%, leurs concurrents Evraz et Polymetal n'étant pas épargnés avec 1,64 et 1,72%.
Il ne fallait pas non plus négliger le compagnie aérienne à prix cassés Ryanair, ses profits du premier trimestre fiscal ayant dégringolé de 21% en raison des coûts du carburant et de la précocité des vacances pascales, s'effondrant de 2,08%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,12%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,12% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,05%.
Les spécialistes de l'immobilier américain devraient de leur côté conclure la journée avec le volume des ventes de logements en cours.