Investing.com - Les bourses européennes étaient en recul mitigé ce lundi, la confiance des investisseurs ayant reflué avec l'annonce de la mort de Kim Jong Il, dirigeant de la Corée du Nord, et l'angoisse d'une dégradation collective en zone euro.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.01%, et le CAC 40 français de 0.24%, mais le DAX 30 allemand a arraché 0.06%.
La nouvelle de la mort de Kim Jong Il a en effet déclenché la crainte d'une destabilisation géopolitique du nord-est de l'Asie, en raison des incertitudes concernant la future direction du pays.
L'angoisse d'une dégradation de masse de la zone euro s'est trouvée renforcée après que l'agence Fitch ait annoncé vendredi qu'elle plaçait six de ses états membres sous surveillance en vue d'un rabaissement, estimant qu'une "solution totale" au dilemme de la région était "techniquement et politiquement hors de portée".
Sa collègue Moody's Investor Services a quand à elle revu vers le bas sa notation de la Belgique de deux crans, de Aa1 vers Aa3, invoquant les risques pesant sur sa croissance économique ainsi que le coût du sauvetage de banques comme Dexia.
La finance était en demi-teinte, la banque française BNP Paribas se repliant de 0.5% et l'ING Groep néerlandais de 2.21% tandis que les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo bondissaient respectivement de 2.79 et 1.97%.
Le secteur énergétique a fléchi de son côté, les allemands E.ON AG et RWE trébuchant de 0.22 et 0.04%, le français Total se trouvant en queue de peloton en fondant de 2.05%.
A Londres, le FTSE 100 a perdu 0.47%, tiré vers le bas par son domaine financier.
Lloyds Banking a glissé de 2.2%, Barclays de 1.63%, la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdings limitant les dégâts à 1.61 et 0.5%.
Là aussi, l'énergie n'était pas à la fête, British Petroleum dérapant de 1.74% et Vedanta resources de 1.65%.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys ont pour leur part cédé 0.58 et 0.11%, tandis que le poids lourd minier BHP Billiton laissait échapper 0.91% et qu'Anglo Amrican tombait de 0.62%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.17%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.26% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.31%.
La Banque Centrale Européenne a pour sa part signalé ce matin que le compte courant de la zone euro avait enregistré un déficit de 7.5 milliards d'euros en octobre, alors que son solde présentait un excédent de 2.2 milliards d'euros le mois précédent.
Les experts ne pensaient pourtant pas le voir présenter un trou supérieur à 1.9 milliards pour la période considérée.
Les chefs des pays faisant partie de l'Union Européenne devraient quand à eux débattre en cours de journée des mesures de lutte contre la crise de la dette, et notamment d'un prêt de 200 milliards d'euros au Fonds Monétaire International par les états membres.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.01%, et le CAC 40 français de 0.24%, mais le DAX 30 allemand a arraché 0.06%.
La nouvelle de la mort de Kim Jong Il a en effet déclenché la crainte d'une destabilisation géopolitique du nord-est de l'Asie, en raison des incertitudes concernant la future direction du pays.
L'angoisse d'une dégradation de masse de la zone euro s'est trouvée renforcée après que l'agence Fitch ait annoncé vendredi qu'elle plaçait six de ses états membres sous surveillance en vue d'un rabaissement, estimant qu'une "solution totale" au dilemme de la région était "techniquement et politiquement hors de portée".
Sa collègue Moody's Investor Services a quand à elle revu vers le bas sa notation de la Belgique de deux crans, de Aa1 vers Aa3, invoquant les risques pesant sur sa croissance économique ainsi que le coût du sauvetage de banques comme Dexia.
La finance était en demi-teinte, la banque française BNP Paribas se repliant de 0.5% et l'ING Groep néerlandais de 2.21% tandis que les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo bondissaient respectivement de 2.79 et 1.97%.
Le secteur énergétique a fléchi de son côté, les allemands E.ON AG et RWE trébuchant de 0.22 et 0.04%, le français Total se trouvant en queue de peloton en fondant de 2.05%.
A Londres, le FTSE 100 a perdu 0.47%, tiré vers le bas par son domaine financier.
Lloyds Banking a glissé de 2.2%, Barclays de 1.63%, la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdings limitant les dégâts à 1.61 et 0.5%.
Là aussi, l'énergie n'était pas à la fête, British Petroleum dérapant de 1.74% et Vedanta resources de 1.65%.
Les cuivriers Xstrata et Kazakhmys ont pour leur part cédé 0.58 et 0.11%, tandis que le poids lourd minier BHP Billiton laissait échapper 0.91% et qu'Anglo Amrican tombait de 0.62%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.17%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.26% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.31%.
La Banque Centrale Européenne a pour sa part signalé ce matin que le compte courant de la zone euro avait enregistré un déficit de 7.5 milliards d'euros en octobre, alors que son solde présentait un excédent de 2.2 milliards d'euros le mois précédent.
Les experts ne pensaient pourtant pas le voir présenter un trou supérieur à 1.9 milliards pour la période considérée.
Les chefs des pays faisant partie de l'Union Européenne devraient quand à eux débattre en cours de journée des mesures de lutte contre la crise de la dette, et notamment d'un prêt de 200 milliards d'euros au Fonds Monétaire International par les états membres.