Investing.com - Les bourses européennes étaient en berne lors des échanges instables de ce lundi, la remontée des coûts des emprunts espagnols ravivant le spectre d'une aggravation du problème du surendettement régional, sur fond de perspectives de croissance mondiales inquiétantes.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.5%, le CAC 40 français de 0.44%, et le DAX 30 allemand de 0.27%.
Le moral demeurait fragilisé après que des chiffres officiels aient montré vendredi que l'économie des Etats-Unis n'avait créé que 80 000 emplois en juin, au lieu des 90 000 espérés, échouant pour le troisième mois consécutif à atteindre le seuil des 100 000 postes.
Des études gouvernementales faisaient quand à elles savoir ce matin que l'inflation des prix à la consommation de la Chine s'était située en juin à son plus faible niveau depuis janvier 2010, ce qui pourrait permettre à Pékin de disposer d'une plus grande marge de manoeuvre pour assouplir sa politique monétaire.
Le taux des obligations décennales espagnoles a pour sa part grimpé jusqu'à 7.4% ce matin, repassant au-dessus du seuil critique des 7% généralement considéré intenable sur le long terme, dans l'attente d'une rencontre des ministrse des finances du bloc euro prévue en cours de journée.
Celle-ci devrait porter sur le plan d'aide aux pays et aux banques de la région annoncé le mois dernier.
Les banques espagnoles coiffaient du coup le bonnet d'âne, Banco Santander s'effondrant de 1.54% et BBVA de 1.08%, l'allemand Deutsche Bank limitant les dégâts à 0.51%.
Les français BNP PAribas et Société Générale tiraient par contre leur épingle du jeu en grignotant respectivement 0.48 et 0.11%.
Le producteur chimique Arkema, aussi basé en France, a pour sa part bondi de 1.13% après que son directeur général Thierry Le Hénaff ait déclaré que la compagnie resterait indépenddante et concentrée sur sa propre stratégie de croissance.
Elle avait bondi de 15% la semaine passée après que le journal Financial Times air rapporté qu'elle aurait reçu des offres de prise de contrôle l'évaluant à 5.5 milliards d'euros, voire davantage.
A Londres, le FTSE 100, lourd de ses matières premières, a laissé échapper 0.43%, tiré vers le bas par des miniers en repli.
Le cuivrier Xstrata a fondu de 1.83%, son collègue Kazakhmys de 1.45%, tandis que les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton fondaient de 1.16 et 1.11%.
Le secteur énerggétique n'était pas mieux loti, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American dérapant de 1.65% et BP de 1.25%.
La City était plus nuancée, la Royal Bank of Scotland arrachant 0.22% et HSBC Holdings 0.09%, Barclays et Lloyds Banking déplorant 0.1 et 1.06% de pertes.
Parmi les mauvaises nouvelles, le chasseur de têtes Michael Page International a pour sa part dégringolé de 4.39% suite à l'aveur d'un effondrement de 6.6% d'une année sur l'autre de ses bénéfices bruts au second trimestre, prédisant que le troisième serait "difficile".
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.51%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.49% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.35%.
La journée verra la publication d'un baromètre de la confiance des investisseurs dans la zone euro, tandis que Mario Draghi, président de la BCE, témoignera devant le parlement européen.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.5%, le CAC 40 français de 0.44%, et le DAX 30 allemand de 0.27%.
Le moral demeurait fragilisé après que des chiffres officiels aient montré vendredi que l'économie des Etats-Unis n'avait créé que 80 000 emplois en juin, au lieu des 90 000 espérés, échouant pour le troisième mois consécutif à atteindre le seuil des 100 000 postes.
Des études gouvernementales faisaient quand à elles savoir ce matin que l'inflation des prix à la consommation de la Chine s'était située en juin à son plus faible niveau depuis janvier 2010, ce qui pourrait permettre à Pékin de disposer d'une plus grande marge de manoeuvre pour assouplir sa politique monétaire.
Le taux des obligations décennales espagnoles a pour sa part grimpé jusqu'à 7.4% ce matin, repassant au-dessus du seuil critique des 7% généralement considéré intenable sur le long terme, dans l'attente d'une rencontre des ministrse des finances du bloc euro prévue en cours de journée.
Celle-ci devrait porter sur le plan d'aide aux pays et aux banques de la région annoncé le mois dernier.
Les banques espagnoles coiffaient du coup le bonnet d'âne, Banco Santander s'effondrant de 1.54% et BBVA de 1.08%, l'allemand Deutsche Bank limitant les dégâts à 0.51%.
Les français BNP PAribas et Société Générale tiraient par contre leur épingle du jeu en grignotant respectivement 0.48 et 0.11%.
Le producteur chimique Arkema, aussi basé en France, a pour sa part bondi de 1.13% après que son directeur général Thierry Le Hénaff ait déclaré que la compagnie resterait indépenddante et concentrée sur sa propre stratégie de croissance.
Elle avait bondi de 15% la semaine passée après que le journal Financial Times air rapporté qu'elle aurait reçu des offres de prise de contrôle l'évaluant à 5.5 milliards d'euros, voire davantage.
A Londres, le FTSE 100, lourd de ses matières premières, a laissé échapper 0.43%, tiré vers le bas par des miniers en repli.
Le cuivrier Xstrata a fondu de 1.83%, son collègue Kazakhmys de 1.45%, tandis que les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton fondaient de 1.16 et 1.11%.
Le secteur énerggétique n'était pas mieux loti, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American dérapant de 1.65% et BP de 1.25%.
La City était plus nuancée, la Royal Bank of Scotland arrachant 0.22% et HSBC Holdings 0.09%, Barclays et Lloyds Banking déplorant 0.1 et 1.06% de pertes.
Parmi les mauvaises nouvelles, le chasseur de têtes Michael Page International a pour sa part dégringolé de 4.39% suite à l'aveur d'un effondrement de 6.6% d'une année sur l'autre de ses bénéfices bruts au second trimestre, prédisant que le troisième serait "difficile".
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.51%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.49% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.35%.
La journée verra la publication d'un baromètre de la confiance des investisseurs dans la zone euro, tandis que Mario Draghi, président de la BCE, témoignera devant le parlement européen.