Investing.com - Les bourses européennes étaient sans direction tranchée ce vendredi matin, dans l'expectative des chiffres régionaux, tandis que la prudence demeurait exacerbée par les orientations incertaines de la banque centrale des Etats-Unis.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,08% et le CAC 40 français de 0,05%, mais le DAX 30 allemand reculait de 0,17%.
La circonspection était en effet à l'ordre du jour après que le département d'état au travail des Etats-Unis ait dénombré 15.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 10 août, pour un total hebdomadaire de 320.000 après correction saisonnière, le plus bas depuis janvier 2008.
Il a d'autre part constaté que leurs prix proposés aux particuliers avaient sans surprise augmenté de 0,2% après ajustement en juillet, et que ceux de base, excluant les coûts de la nourriture de l'énergie en raison de leur volatilité, frémissaient aussi de 0,2% dans le même temps.
Mais l'enthousiase demeurait limité par la stagnation de leur production industrielle du mois passé, alors qu'un frémissement de 0,3% était espéré.
Il était aussi à noter que l'activité manufacturière de la région de Philadelphie avait connu pour août sa progression la plus minime en quatre mois, et que celle dans la zone de New York avait diminué sans crier gare.
Ces résutats peu contradictoires ont du coup accentué le flou sur la capacité des reins de la relance américaine à absorber une éventuelle diminution dès cette année de l'ampleur des 85 milliards d'USD de coups de pouce de la Réserve Fédérale.
La finance avait cependant le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 0,96%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,27 et 0,96%.
Il en était de même à la périphérie, l'espagnol Banco Santander encaissant 0,42%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit lui emboîtant le pas avec 0,67 et 0,60%.
L'Oréal, l'ogre des cosmétiques, grignotait quand à lui 0,47% après avoir accepté d'acquérir le chinois Magic Holdings International pour 843 millions d'USD.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 0,06%, tiré vers le haut par des exploitants en forme.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassaient de 0,28 et 0,14%, leurs rivaux Fresnillo et Polymetal n'étant pas en reste avec 4,40 et 3,89%.
La City ne suivait quand à elle pas majoritairement le chemin tracé sur le continent, Lloyds Banking sombrant de 1,39%, la Royal Bank of Scotland de 1,32% et HSBC Holdings de 0,24%, tandis que Barclays émergeait cependant de 0,14%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,17%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,28% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,31%.
La zone euro était pour sa part sur le point de dévoiler aujourd'hui les évolutions des ses prix à la consommation et le solde de son commerce extérieur.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'ils auront délivrés et celui des lancements de chantiers, tandis que l'université du Michigan publiera un baromètre très surveillé du moral des ménages.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,08% et le CAC 40 français de 0,05%, mais le DAX 30 allemand reculait de 0,17%.
La circonspection était en effet à l'ordre du jour après que le département d'état au travail des Etats-Unis ait dénombré 15.000 incriptions au chômage de moins au cours de la semaine achevée le 10 août, pour un total hebdomadaire de 320.000 après correction saisonnière, le plus bas depuis janvier 2008.
Il a d'autre part constaté que leurs prix proposés aux particuliers avaient sans surprise augmenté de 0,2% après ajustement en juillet, et que ceux de base, excluant les coûts de la nourriture de l'énergie en raison de leur volatilité, frémissaient aussi de 0,2% dans le même temps.
Mais l'enthousiase demeurait limité par la stagnation de leur production industrielle du mois passé, alors qu'un frémissement de 0,3% était espéré.
Il était aussi à noter que l'activité manufacturière de la région de Philadelphie avait connu pour août sa progression la plus minime en quatre mois, et que celle dans la zone de New York avait diminué sans crier gare.
Ces résutats peu contradictoires ont du coup accentué le flou sur la capacité des reins de la relance américaine à absorber une éventuelle diminution dès cette année de l'ampleur des 85 milliards d'USD de coups de pouce de la Réserve Fédérale.
La finance avait cependant le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 0,96%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,27 et 0,96%.
Il en était de même à la périphérie, l'espagnol Banco Santander encaissant 0,42%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit lui emboîtant le pas avec 0,67 et 0,60%.
L'Oréal, l'ogre des cosmétiques, grignotait quand à lui 0,47% après avoir accepté d'acquérir le chinois Magic Holdings International pour 843 millions d'USD.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 0,06%, tiré vers le haut par des exploitants en forme.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto amassaient de 0,28 et 0,14%, leurs rivaux Fresnillo et Polymetal n'étant pas en reste avec 4,40 et 3,89%.
La City ne suivait quand à elle pas majoritairement le chemin tracé sur le continent, Lloyds Banking sombrant de 1,39%, la Royal Bank of Scotland de 1,32% et HSBC Holdings de 0,24%, tandis que Barclays émergeait cependant de 0,14%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,17%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,28% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,31%.
La zone euro était pour sa part sur le point de dévoiler aujourd'hui les évolutions des ses prix à la consommation et le solde de son commerce extérieur.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec le nombre des permis de construire qu'ils auront délivrés et celui des lancements de chantiers, tandis que l'université du Michigan publiera un baromètre très surveillé du moral des ménages.