Investing.com - Les bourses européennes étaient sur la défensive ce jeudi matin, après que les ministres des finances de l'Union Européenne soient parvenus à un accord sur la gestion des prochaines faillites bancaires, subissant toujours l'ombre d'une fermeture des robinets de la Réserve Fédérale.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,47%, le CAC 40 français de 0,49%, et le DAX 30 allemand de 0,14%.
Les autorités ont donc désormais décidé qui devrait payer pour les sauvetages, à savoir les actionnaires, les détenteurs d'obligations et les déposants de plus de 100.000 euros devraient mettre la main à la poche.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, avait pour sa part rappelé hier qu'il était impossible de prévoir jusqu'à quand les politiques monétaires demeureraient souples.
La prudence restait de mise en raison des rumeurs selon lesquelles la Réserve Fédérale commencerait à fermer les vannes d'ici la fin de l'année, malgré la révision à la baisse de la croissance américaine ayant eu lieu mercredi.
La finance était mitigée, la Deutsche Bank allemande empochant 0,45%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale laissaient respectivement échapper 0,06 et 0,63%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA reculant de 0,79 et 1,06%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit encaissant par contre 0,08 et 0,16%.
Le pétrolier Repsol s'est pour sa part effondré de 1,36% après que son conseil d'administration ait rejeté la proposition de compensation de l'Argentine à hauteur de 3,5 milliards d'USD pour la nationalisation l'année passée de ses parts de YPF SA.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 0,19%, tiré vers le haut par des exploitants et des extracteurs.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto aassaient 0,62 et 0,78%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American et Glencore étant aussi de la fête avec 1,27 et 2,50%.
La City était quand à elle en repli, HSBC Holdings et Lloyds Banking chutant de 0,15 et 0,26%, Barclays et la Royal Bank of Scotland en lanternes rouges avec 0,87 et 1,14%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,08%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,07% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,06%.
Les Etats-Unis comptent de leur côté rendre aujourd'hui leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, après quoi leurs spécialistes de l'immobilier annonceront le volume des ventes de logements en cours, après que l'Allemagne ait révélé les évolutions du nombre de ses demandeurs d'emploi et de ses prix à l'importation.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,47%, le CAC 40 français de 0,49%, et le DAX 30 allemand de 0,14%.
Les autorités ont donc désormais décidé qui devrait payer pour les sauvetages, à savoir les actionnaires, les détenteurs d'obligations et les déposants de plus de 100.000 euros devraient mettre la main à la poche.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, avait pour sa part rappelé hier qu'il était impossible de prévoir jusqu'à quand les politiques monétaires demeureraient souples.
La prudence restait de mise en raison des rumeurs selon lesquelles la Réserve Fédérale commencerait à fermer les vannes d'ici la fin de l'année, malgré la révision à la baisse de la croissance américaine ayant eu lieu mercredi.
La finance était mitigée, la Deutsche Bank allemande empochant 0,45%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale laissaient respectivement échapper 0,06 et 0,63%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA reculant de 0,79 et 1,06%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit encaissant par contre 0,08 et 0,16%.
Le pétrolier Repsol s'est pour sa part effondré de 1,36% après que son conseil d'administration ait rejeté la proposition de compensation de l'Argentine à hauteur de 3,5 milliards d'USD pour la nationalisation l'année passée de ses parts de YPF SA.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, conquérait 0,19%, tiré vers le haut par des exploitants et des extracteurs.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto aassaient 0,62 et 0,78%, le poids lourd des hydrocarbures Anglo American et Glencore étant aussi de la fête avec 1,27 et 2,50%.
La City était quand à elle en repli, HSBC Holdings et Lloyds Banking chutant de 0,15 et 0,26%, Barclays et la Royal Bank of Scotland en lanternes rouges avec 0,87 et 1,14%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,08%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,07% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,06%.
Les Etats-Unis comptent de leur côté rendre aujourd'hui leur rapport hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, après quoi leurs spécialistes de l'immobilier annonceront le volume des ventes de logements en cours, après que l'Allemagne ait révélé les évolutions du nombre de ses demandeurs d'emploi et de ses prix à l'importation.