Investing.com - Les bourses européennes se sont retrouvées dans la tourmente ce lundi après-midi, subissant toujours un fond de rumeurs de fermeture des robinets de la banque centrale des Etats-Unis.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 s'effondrait de 1,76%, le CAC 40 français de 1,89%, et le DAX 30 allemand de 1,17%.
Il avait été à noter en fin de matinée que le baromètre de la confiance dans les affaires germaniques élaboré par l'institut Ifo pour la recherche économique n'avait guère créé la surprise en s'élevant de 105,7 à 105,9 pour juin.
Les cours demeuraient en effet sous pression dans le sillage de l'affirmation faite mercredi par Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, selon laquelle cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de capitaux avant que l'année soit achevée au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
La prudence restait aussi de mise après que Fonds Monétaire International ait précisé qu'il ne suspendrait pas la fourniture de ses aides à la Grèce, mais qu'elle devait cependant trouver un accord à leur sujet d'ici juillet.
Cette remarque survenait dans le cadre de craintes au sujet du retard récemment rencontré par le plan de privatisations adopté l'année dernière, et qui pourrait nuire au rythme des réformes nécessaires pour s'assurer de disposer de fonds de secours.
La finance demeurait en berne, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 2,07%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,69 et 2,37%.
La périphérie était plus contrastée, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,63 et 1,61%, alors que les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit émergeaient encore de 0,44 et 0,22%.
Il y avait d'autres bonnes nouvelles, Kabel Deutschland empochant 1,90% après que Vodafone ait relevé son offre pour ses actions depuis 80 vers 87 euros.
A Londres, le FTSE 100 plongeait de 1,14%, tiré vers le haut par des établissements bancaires suivant le chemin tracé par la plupart de leurs collègues continentaux.
La Royal Bank of Scotland se rétractait du coup de 0,44%, et Lloyds Banking de 1,23%, HSBC Holdings et Barclays se trouvant en lanternes rouges avec 1,15 et 1,28%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières continuaient à souffrir, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant respectivement de 0,69 et 1,24%, Evraz et Vedanta Resources faisant encore pire avec 3,15 et 4,42%.
Les perspectives des marchés américains partageaient ce pessimisme: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,75%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,84% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,61%.
En seconde partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 s'effondrait de 1,76%, le CAC 40 français de 1,89%, et le DAX 30 allemand de 1,17%.
Il avait été à noter en fin de matinée que le baromètre de la confiance dans les affaires germaniques élaboré par l'institut Ifo pour la recherche économique n'avait guère créé la surprise en s'élevant de 105,7 à 105,9 pour juin.
Les cours demeuraient en effet sous pression dans le sillage de l'affirmation faite mercredi par Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, selon laquelle cette dernière envisageait de réduire la voilure de ses injections de capitaux avant que l'année soit achevée au cas où l'économie continuerait à retrouver de la vigueur.
La prudence restait aussi de mise après que Fonds Monétaire International ait précisé qu'il ne suspendrait pas la fourniture de ses aides à la Grèce, mais qu'elle devait cependant trouver un accord à leur sujet d'ici juillet.
Cette remarque survenait dans le cadre de craintes au sujet du retard récemment rencontré par le plan de privatisations adopté l'année dernière, et qui pourrait nuire au rythme des réformes nécessaires pour s'assurer de disposer de fonds de secours.
La finance demeurait en berne, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 2,07%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 1,69 et 2,37%.
La périphérie était plus contrastée, les espagnols Banco Santander et BBVA sombrant de 0,63 et 1,61%, alors que les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit émergeaient encore de 0,44 et 0,22%.
Il y avait d'autres bonnes nouvelles, Kabel Deutschland empochant 1,90% après que Vodafone ait relevé son offre pour ses actions depuis 80 vers 87 euros.
A Londres, le FTSE 100 plongeait de 1,14%, tiré vers le haut par des établissements bancaires suivant le chemin tracé par la plupart de leurs collègues continentaux.
La Royal Bank of Scotland se rétractait du coup de 0,44%, et Lloyds Banking de 1,23%, HSBC Holdings et Barclays se trouvant en lanternes rouges avec 1,15 et 1,28%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières continuaient à souffrir, les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto fondant respectivement de 0,69 et 1,24%, Evraz et Vedanta Resources faisant encore pire avec 3,15 et 4,42%.
Les perspectives des marchés américains partageaient ce pessimisme: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,75%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,84% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,61%.