Investing.com - Les bourses européennes restaient en bonne forme ce jeudi après-midi, tandis que les pourparlers budgétaires entre élus des Etats-Unis devaient reprendre dans la soirée.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.47%, le CAC 40 français de 0.74%, et le DAX 30 allemand de 0.37%.
L'attention restait en effet monopolisée par les négociations visant à contourner le mur fiscal américain, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires pour un total avoisinant 600 milliards d'USD.
Le président Barack Obama compte rentrer aujourd'hui de ses vacances afin de pouvoir prendre part à Washington aux débats destinés à l'éviter, avec les deux chambres du parlement qui reprendront aussi du service.
En l'absence d'un terrain d'entente, un retour en récession national serait fortement probable, tirant le reste du monde vers le bas.
La finance était encore dans le peloton de tête, les français BNP Paribas et Société Générale prenant respectivement 0.16 et 1.01%, suivis des allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 1.76 et 0.62%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo engrangeant 1.67 et 1.93%, les espagnols BBVA et Banco Santander se contentant de 0.28 et 0.16%.
Le spécialiste des produits chimiques Clariant a pour sa part empoché 4.37% après avoir vendu pour 502 millions de CHF d'installations.
Vivendi n'était pas en reste avec 0.82%, après avoir reçu une offre préliminaire de KT Corp., second opérateur de téléphonie mobile de Corée du sud, pour ses parts de Maroc Télécom, afin de permettre son expansion en Afrique.
A Londres, le FTSE 100 a encaissé 0.65%, ses établissements financiers suivant le chemin de ceux du continent.
HSBC Holdings conquérait du coup 0.7%, et Barclays 1.46%, surpassés par Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland avec 2.72 et 3.53%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, bondissait d'autre part de 3.07%, Eurasian Natural Resources de 4.55% et les mastodontes Rio Tinto et BHP Billiton de 2.38 et 1.84%.
Il ne fallait pas non plus négliger les cuivriers Xstrata et Kazakhmys avec 2.4 et 2.27%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles plutôt souriantes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.15%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.26% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.28%.
Les Etats-Unis comptaient de leur coté conclure la journée avec leur décompte hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'avec des informations concernant les ventes de logements neufs et la confiance des consommateurs.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.47%, le CAC 40 français de 0.74%, et le DAX 30 allemand de 0.37%.
L'attention restait en effet monopolisée par les négociations visant à contourner le mur fiscal américain, causé par la conjonction au premier janvier de la fin d'importantes réductions d'impôts et l'activation de coupes budgétaires pour un total avoisinant 600 milliards d'USD.
Le président Barack Obama compte rentrer aujourd'hui de ses vacances afin de pouvoir prendre part à Washington aux débats destinés à l'éviter, avec les deux chambres du parlement qui reprendront aussi du service.
En l'absence d'un terrain d'entente, un retour en récession national serait fortement probable, tirant le reste du monde vers le bas.
La finance était encore dans le peloton de tête, les français BNP Paribas et Société Générale prenant respectivement 0.16 et 1.01%, suivis des allemands Deutsche Bank et Commerzbank avec 1.76 et 0.62%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Unicredit et Intesa Sanpaolo engrangeant 1.67 et 1.93%, les espagnols BBVA et Banco Santander se contentant de 0.28 et 0.16%.
Le spécialiste des produits chimiques Clariant a pour sa part empoché 4.37% après avoir vendu pour 502 millions de CHF d'installations.
Vivendi n'était pas en reste avec 0.82%, après avoir reçu une offre préliminaire de KT Corp., second opérateur de téléphonie mobile de Corée du sud, pour ses parts de Maroc Télécom, afin de permettre son expansion en Afrique.
A Londres, le FTSE 100 a encaissé 0.65%, ses établissements financiers suivant le chemin de ceux du continent.
HSBC Holdings conquérait du coup 0.7%, et Barclays 1.46%, surpassés par Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland avec 2.72 et 3.53%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, bondissait d'autre part de 3.07%, Eurasian Natural Resources de 4.55% et les mastodontes Rio Tinto et BHP Billiton de 2.38 et 1.84%.
Il ne fallait pas non plus négliger les cuivriers Xstrata et Kazakhmys avec 2.4 et 2.27%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles plutôt souriantes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.15%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.26% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.28%.
Les Etats-Unis comptaient de leur coté conclure la journée avec leur décompte hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage, ainsi qu'avec des informations concernant les ventes de logements neufs et la confiance des consommateurs.