Investing.com - Les bourses européennes ont gardé la forme ce mardi après-midi, grâce à de bons résultats économqiues régionaux, malgré les incertitudes politiques émanant de l'Espagne et de l'Italie.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 1.1%, le CAC 40 français de 1.17%, et le DAX 30 allemand de 0.26%.
Le moral est en effet revenu après que le groupe de recherches économiques Markit ait montré que le baromètre définitif des prestataires du tertiaire de la zone euro avait grimpé, partant de 47.2 jusqu'à 48.6 pour janvier, sa plus forte valeur en dix mois, dépassant les 48.3 évalués au préalable.
Ces informations quelque peu éclipsé les incertitudes politiques faisant remonter les coûts des emprunts émis par Madrid et Rome depuis hier.
Un autre rapport avait auparavant souligné que les ventes au détail du bloc l'ayant adoptée avaient subi une plongée de 0.8% en décembre, dépassant nettement les 0.5% déjà redoutés, tandis que les chiffres de novembre se trouvaient révisés à la baisse.
La finance était en grande forme, les français BNP Paribas et Société Générale gagnant respectivement 1.66 et 1.12%, suivis de la Deutsche Bank allemande avec 1.07%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit engrangeant 2.17 et 2.52%, les espagnols Banco Santander et BBVA n'étant pas en reste avec 2.27 et 1.71%.
Munich Re, premier réassureur mondial, s'élevait aussi de 2.41% après avoir fait connaître son projet d'augmenter ses dividendes pour 2012.
Mais tout n'était pas rose, Royal KPN NV s'effondrant de 22.56% suite à l'annonce de la mise en vente de 4 milliards d'euros en actions.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.65%, après que les résultats des prestataires de services britanniques avaient connu le mois passé sa plus forte accélération en quatre mois.
La City suivait le chemin tracé sur le continent, HSBC Holdings s'élevant de 0.48%, et Barclays de 1.4%, tandis que Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland les imitant avec 1.46 et 2.71%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, avançait pour sa part de 1.09%, et son rival BP de 1.52%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières se sont reprises, les mastodontes minier BHP Billiton et Rio Tinto se renforçant de 0.29 et 0.56%, et le cuivrier Kazakhmys de 0.27%.
ARM Holdings, fournisseur des microprocesseurs des iPhones et iPads d'Apple, raflait 3.78% en revendiquant 164.2 millions de GBP de rentrées, qui connaissaient ainsi une poussée de 19% au quatrième trimestre, dépassant ainsi les prévisions des spécialistes.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.51%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.5% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.45%.
Le groupe de recherches économiques Markit a quand à lui déclaré que l'indice des directeurs des achats du secteur tertiaire de l'Espagne était remonté depuis 44.3 vers 47 pour janvier, alors qu'une régression à 44.1 était redoutée.
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté faire connaître dans l'après-midi son indice de l'état des entreprises du tertiaire américaines.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 1.1%, le CAC 40 français de 1.17%, et le DAX 30 allemand de 0.26%.
Le moral est en effet revenu après que le groupe de recherches économiques Markit ait montré que le baromètre définitif des prestataires du tertiaire de la zone euro avait grimpé, partant de 47.2 jusqu'à 48.6 pour janvier, sa plus forte valeur en dix mois, dépassant les 48.3 évalués au préalable.
Ces informations quelque peu éclipsé les incertitudes politiques faisant remonter les coûts des emprunts émis par Madrid et Rome depuis hier.
Un autre rapport avait auparavant souligné que les ventes au détail du bloc l'ayant adoptée avaient subi une plongée de 0.8% en décembre, dépassant nettement les 0.5% déjà redoutés, tandis que les chiffres de novembre se trouvaient révisés à la baisse.
La finance était en grande forme, les français BNP Paribas et Société Générale gagnant respectivement 1.66 et 1.12%, suivis de la Deutsche Bank allemande avec 1.07%.
Il en était de même à la périphérie, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit engrangeant 2.17 et 2.52%, les espagnols Banco Santander et BBVA n'étant pas en reste avec 2.27 et 1.71%.
Munich Re, premier réassureur mondial, s'élevait aussi de 2.41% après avoir fait connaître son projet d'augmenter ses dividendes pour 2012.
Mais tout n'était pas rose, Royal KPN NV s'effondrant de 22.56% suite à l'annonce de la mise en vente de 4 milliards d'euros en actions.
A Londres, le FTSE 100 a conquis 0.65%, après que les résultats des prestataires de services britanniques avaient connu le mois passé sa plus forte accélération en quatre mois.
La City suivait le chemin tracé sur le continent, HSBC Holdings s'élevant de 0.48%, et Barclays de 1.4%, tandis que Lloyds Banking et la Royal Bank of Scotland les imitant avec 1.46 et 2.71%.
Anglo American, poids lourd des hydrocarbures, avançait pour sa part de 1.09%, et son rival BP de 1.52%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières se sont reprises, les mastodontes minier BHP Billiton et Rio Tinto se renforçant de 0.29 et 0.56%, et le cuivrier Kazakhmys de 0.27%.
ARM Holdings, fournisseur des microprocesseurs des iPhones et iPads d'Apple, raflait 3.78% en revendiquant 164.2 millions de GBP de rentrées, qui connaissaient ainsi une poussée de 19% au quatrième trimestre, dépassant ainsi les prévisions des spécialistes.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.51%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.5% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.45%.
Le groupe de recherches économiques Markit a quand à lui déclaré que l'indice des directeurs des achats du secteur tertiaire de l'Espagne était remonté depuis 44.3 vers 47 pour janvier, alors qu'une régression à 44.1 était redoutée.
L'institut de gestion des approvisionnements comptait de son côté faire connaître dans l'après-midi son indice de l'état des entreprises du tertiaire américaines.