Investing.com - Les bourses européennes étaient en bonne forme ce mercredi, alors que la confiance des investisseurs reprenait des couleurs à l'approche de la première offre de prêts à trois ans de la Banque Centrale Européenne devant se dérouler en cours de journée.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 0.76%, le CAC 40 français de 0.67%, et le DAX 30 allemand de 0.78%.
La BCE va en effet proposer aux banques un volume illimité de capitaux à faible coût et à échéance triennale, ce qui devrait, selon beaucoup d'experts, encourager l'achat des obligations à taux élevés de l'Espagne et de l'Italie, aidant à l'apaisement des craintes liées à la crise de la dette souveraine de la zone euro.
Les dettes décennales italiennes et espagnoles ont vu leurs déividendes plonger respectivement à 6.64 et 5.12%, s'éloignant encore des niveaux supérieurs à 7% qui étaient largement considérés comme intenables.
La finance se plaçait permi les meilleurs élèves, les français BNP Paribas et Crédit Agricole engrangeant respectivement 2.49 et 2.31%, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank se contentant de 1.99 et 1.66%.
Ceux de la périphérie ont suivi ce mouvement, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit raflant 2.25 et 1.35%, les espagnols BBVA et Banco Santander restant plus modestes avec 0.77 et 0.89%.
Les assureurs n'étaient pas en reste, le groupe français Axa encaissant 1.77% et l'espagnol Allianz pas moins de 2.35%.
Deutsche Telekom a pour sa part gagné 1.38%, contrant les pertes de la veille suite à la décision d'AT&T d'abandonner son accord d'achat de sa branche américaine T-Mobile U.S. en raison de l'opposition des autorités américaines.
A Londres, le FTSE 100 a progressé de 0.46%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux, tout en négligeant une étude montrant que laconfiance des consommateurs britanniques avait diminué en décembre de manière inattendue.
Barclays s'est envolée de 3.47%, et Lloyds Banking de 3.39%, alors que la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdings connaissaient une progression de 3 et 0.49% de leur côté.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont pris 1 et 1.31%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys se limitant à 0.64 et 1.04%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.47%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.42% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.63%.
Les autorités européennes avaient pour leur part prévu de dévoiler aujourd'hui leur baromètre des affaires belges.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a bondi de 0.76%, le CAC 40 français de 0.67%, et le DAX 30 allemand de 0.78%.
La BCE va en effet proposer aux banques un volume illimité de capitaux à faible coût et à échéance triennale, ce qui devrait, selon beaucoup d'experts, encourager l'achat des obligations à taux élevés de l'Espagne et de l'Italie, aidant à l'apaisement des craintes liées à la crise de la dette souveraine de la zone euro.
Les dettes décennales italiennes et espagnoles ont vu leurs déividendes plonger respectivement à 6.64 et 5.12%, s'éloignant encore des niveaux supérieurs à 7% qui étaient largement considérés comme intenables.
La finance se plaçait permi les meilleurs élèves, les français BNP Paribas et Crédit Agricole engrangeant respectivement 2.49 et 2.31%, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank se contentant de 1.99 et 1.66%.
Ceux de la périphérie ont suivi ce mouvement, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit raflant 2.25 et 1.35%, les espagnols BBVA et Banco Santander restant plus modestes avec 0.77 et 0.89%.
Les assureurs n'étaient pas en reste, le groupe français Axa encaissant 1.77% et l'espagnol Allianz pas moins de 2.35%.
Deutsche Telekom a pour sa part gagné 1.38%, contrant les pertes de la veille suite à la décision d'AT&T d'abandonner son accord d'achat de sa branche américaine T-Mobile U.S. en raison de l'opposition des autorités américaines.
A Londres, le FTSE 100 a progressé de 0.46%, les prêteurs de Grande-Bretagne suivant le chemin tracé par leurs homologues continentaux, tout en négligeant une étude montrant que laconfiance des consommateurs britanniques avait diminué en décembre de manière inattendue.
Barclays s'est envolée de 3.47%, et Lloyds Banking de 3.39%, alors que la Royal Bank of Scotland et HSBC Holdings connaissaient une progression de 3 et 0.49% de leur côté.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont pris 1 et 1.31%, les cuivriers Xstrata et Kazakhmys se limitant à 0.64 et 1.04%.
Les perspectives des marchés américains étaient elles aussi optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.47%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.42% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.63%.
Les autorités européennes avaient pour leur part prévu de dévoiler aujourd'hui leur baromètre des affaires belges.