Investing.com - Les bourses européennes ont plutôt redressé la tête ce jeudi, alors que les craintes découlant de l'impasse politique touchant la Grèce et de sa possible sortie de la zone euro continuaient à dominer l'atmosphère.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.49%, le CAC 40 français laissant échapper 0.03%, et le DAX 30 allemand engrangeant 0.72%.
Le moral était en berne après qu'Alexis Tsipras, dirigeant du parti grec Syriza, le second du pays, ait abandonné hier sa tentative de formation d'un nouveau gouvernement, laissant ainsi la voie libre à Evangelos Venizelos, chef de file socialiste, de tenter sa chance une dernière fois aujourd'hui.
Les probabilités pour qu'il réunisse une coalition étaient tout de même minces, après deux echecs, rendant de nouvelles élections dans trois à quatre semaines plus que possibles, et laissant redouter que le pays se retrouve sans autorités lorsqu'il devra se voir attribuer une nouvelle tranche d'aides internationales le mois prochain.
Les opérateurs craignaient d'autre part que l'insistance de François Hollande, président nouvellement élu en France, sur la croissance afin de lutter contre la crise de la dette régionale ne déclenche des tensions avec l'Allemagne, pour laquelle l'austérité demeure la priorité.
La finance était en forme, l'italien Intesa Sanpaolo précédant le peloton avec 2.64%, suivi par l'espagnol BBVA avec 2%, dont le compatriote Bankia s'est toutefois effondré de 7.69% après que l'état en ait pris le contrôle dans la soirée d'hier, suite à des jours d'angoisse concernant sa viabilité.
Les français BNP Paribas et Société Générale n'étaient pas en reste avec 1.07 et 1.43%, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank non plus avec respectivement 0.81 et 1.55%.
Deutsche Telekom suivait la tendance avec 1.59% alors qu'il était question d'une fusion de sa filiale T-Mobile USA Inc.avec MetroPCS Communications Inc.
A Londres, le FTSE 100 a arraché 0.14%, dans l'expectative de la diffusion du communiqué sur les taus de la Banque d'Angleterre attendu aujourd'hui.
Lloyds Banking était parmi les têtes d'affiche, amassant 1.94% après avoir officiellement désigné le cabinet EC Harris comme unique consultant pour les trois prochaines années.
Ses concurrents offraient un tableau plus nuancé, HSBC Holdings prenant 0.66%, tandis quee Barclays et la Royal Bank of Scotland dégringolaient de 1.12 et 2.6%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton avaient par contre le sourire avec 1.27 et 0.74%, de même que les cuivriers Xstrata et Kazakhmys avec 0.11 et 3.1%.
Jan Du Plessis, président de Rio Tinto, avait déclaré à Brisbane lors de l'assemblée générale annuelle de ce matin avoir davantage confiance dans l'économie mondiale quu'il y a six mois, bien que les incertitude et la volatilité demeurent considérables.
Les perspectives des marchés américains étaient légèrement optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.16%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.38% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.19%.
Des résultats officiels avaient d'autre part signalé que la production industrielle française avant davantage diminué en mars qu'il n'avait été redouté, perdant 0.9% après avoir pourtant conquis un pourcentage similaire le mois précédent, alors que les experts pensaient qu'elle ne régresserait pas de plus de 0.4%.
Les Etats-Unis feront de leur côté connaître en fin de journée le solde de leur balance commerciale, puis le pays verra la publication d'études portant sur les inscriptions au chômage et les prix à l'import, après quoi Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale, prononcera un discours.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a progressé de 0.49%, le CAC 40 français laissant échapper 0.03%, et le DAX 30 allemand engrangeant 0.72%.
Le moral était en berne après qu'Alexis Tsipras, dirigeant du parti grec Syriza, le second du pays, ait abandonné hier sa tentative de formation d'un nouveau gouvernement, laissant ainsi la voie libre à Evangelos Venizelos, chef de file socialiste, de tenter sa chance une dernière fois aujourd'hui.
Les probabilités pour qu'il réunisse une coalition étaient tout de même minces, après deux echecs, rendant de nouvelles élections dans trois à quatre semaines plus que possibles, et laissant redouter que le pays se retrouve sans autorités lorsqu'il devra se voir attribuer une nouvelle tranche d'aides internationales le mois prochain.
Les opérateurs craignaient d'autre part que l'insistance de François Hollande, président nouvellement élu en France, sur la croissance afin de lutter contre la crise de la dette régionale ne déclenche des tensions avec l'Allemagne, pour laquelle l'austérité demeure la priorité.
La finance était en forme, l'italien Intesa Sanpaolo précédant le peloton avec 2.64%, suivi par l'espagnol BBVA avec 2%, dont le compatriote Bankia s'est toutefois effondré de 7.69% après que l'état en ait pris le contrôle dans la soirée d'hier, suite à des jours d'angoisse concernant sa viabilité.
Les français BNP Paribas et Société Générale n'étaient pas en reste avec 1.07 et 1.43%, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank non plus avec respectivement 0.81 et 1.55%.
Deutsche Telekom suivait la tendance avec 1.59% alors qu'il était question d'une fusion de sa filiale T-Mobile USA Inc.avec MetroPCS Communications Inc.
A Londres, le FTSE 100 a arraché 0.14%, dans l'expectative de la diffusion du communiqué sur les taus de la Banque d'Angleterre attendu aujourd'hui.
Lloyds Banking était parmi les têtes d'affiche, amassant 1.94% après avoir officiellement désigné le cabinet EC Harris comme unique consultant pour les trois prochaines années.
Ses concurrents offraient un tableau plus nuancé, HSBC Holdings prenant 0.66%, tandis quee Barclays et la Royal Bank of Scotland dégringolaient de 1.12 et 2.6%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton avaient par contre le sourire avec 1.27 et 0.74%, de même que les cuivriers Xstrata et Kazakhmys avec 0.11 et 3.1%.
Jan Du Plessis, président de Rio Tinto, avait déclaré à Brisbane lors de l'assemblée générale annuelle de ce matin avoir davantage confiance dans l'économie mondiale quu'il y a six mois, bien que les incertitude et la volatilité demeurent considérables.
Les perspectives des marchés américains étaient légèrement optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.16%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.38% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.19%.
Des résultats officiels avaient d'autre part signalé que la production industrielle française avant davantage diminué en mars qu'il n'avait été redouté, perdant 0.9% après avoir pourtant conquis un pourcentage similaire le mois précédent, alors que les experts pensaient qu'elle ne régresserait pas de plus de 0.4%.
Les Etats-Unis feront de leur côté connaître en fin de journée le solde de leur balance commerciale, puis le pays verra la publication d'études portant sur les inscriptions au chômage et les prix à l'import, après quoi Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale, prononcera un discours.