Investing.com - Les bourses européennes ont retrouvé une contenance ce jeudi matin, dans l'expectative d'informations sur la situation économique des Etats-Unis, sur fond de rumeurs de fermeture des vannes imminentes de la part de leur banque centrale, tout en gardant la Syrie dans le collimateur.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,27%, le CAC 40 français de 0,31%, et le DAX 30 allemand de 0,29%.
La prudence restait en effet de mise en raison de la menace d'une action militaire imminente sous l'impulsion américaine contre les autorités de Damas, accusées d'avoir utilisé des armes chimiques.
La président Barack Obama a en effet déclaré hier que les Etats-Unis avaient conclu que c'est ce qui était arrivé dans les faubourgs de la ville, ajoutant cependant ne pas encore avoir pris la décision de frapper ou non.
La finance était partagée, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,76%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale encaissaient respectivement 0,25 et 0,85%.
Il en était de même à la périphérie, l'espagnol Banco Santander trébuchant de 0,09%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit empochant au contraire 1,40 et 2,05%.
A Paris, les supermarchés Carrefour engrangeaient 4,15% grâce à 4,9% de bénéfices semestriels suppléentaires.
Le secteur énergétique était par contre en difficulté, Iberdrola coulant de 0,87%, Repsol de 0,55% et Total de 0,72%.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,61%, tiré vers le haut par l'envolée de 9,43% réalisée par l'opérateur téléphonique Vodafone, suite à la confirmation de l'existence de négociations avec Verizon Communications, en vue de l'acquisition de ses parts dans la coentreprise Verizon Wireless.
La City n'était majoritairement pas en reste, Barclays arrachant 0,47%, Lloyds Banking 1,36% et HSBC Holdings 1,38%, tandis que la Royal Bank of Scotland se retrouvait en queue de peloton avec un faux pas de 0,08%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, Fresnillo fondant de 3,07%, Glencore Xstrata de 0,34% et Randgold Resources de 2,96%.
Les perspectives des marchés américains partageaient le regain d'optiisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,24%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,24% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0,36%.
L'Allemagne comptait pour sa part divulguer aujourd'hui les variations dans le nombre de ses demandeurs d'emploi, ainsi que l'évolution de ses prix à la consommation, après quoi les Etats-Unis devraient de leur côté conclure la journée avec les données révisées concernant leur produit intérieur brut, ainsi que leur décompte hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 progressait de 0,27%, le CAC 40 français de 0,31%, et le DAX 30 allemand de 0,29%.
La prudence restait en effet de mise en raison de la menace d'une action militaire imminente sous l'impulsion américaine contre les autorités de Damas, accusées d'avoir utilisé des armes chimiques.
La président Barack Obama a en effet déclaré hier que les Etats-Unis avaient conclu que c'est ce qui était arrivé dans les faubourgs de la ville, ajoutant cependant ne pas encore avoir pris la décision de frapper ou non.
La finance était partagée, la Deutsche Bank allemande laissant échapper 0,76%, alors que les français BNP Paribas et Société Générale encaissaient respectivement 0,25 et 0,85%.
Il en était de même à la périphérie, l'espagnol Banco Santander trébuchant de 0,09%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit empochant au contraire 1,40 et 2,05%.
A Paris, les supermarchés Carrefour engrangeaient 4,15% grâce à 4,9% de bénéfices semestriels suppléentaires.
Le secteur énergétique était par contre en difficulté, Iberdrola coulant de 0,87%, Repsol de 0,55% et Total de 0,72%.
A Londres, le FTSE 100 conquérait 0,61%, tiré vers le haut par l'envolée de 9,43% réalisée par l'opérateur téléphonique Vodafone, suite à la confirmation de l'existence de négociations avec Verizon Communications, en vue de l'acquisition de ses parts dans la coentreprise Verizon Wireless.
La City n'était majoritairement pas en reste, Barclays arrachant 0,47%, Lloyds Banking 1,36% et HSBC Holdings 1,38%, tandis que la Royal Bank of Scotland se retrouvait en queue de peloton avec un faux pas de 0,08%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert, Fresnillo fondant de 3,07%, Glencore Xstrata de 0,34% et Randgold Resources de 2,96%.
Les perspectives des marchés américains partageaient le regain d'optiisme ambiant: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,24%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,24% aussi et celles sur le Nasdaq 100 à 0,36%.
L'Allemagne comptait pour sa part divulguer aujourd'hui les variations dans le nombre de ses demandeurs d'emploi, ainsi que l'évolution de ses prix à la consommation, après quoi les Etats-Unis devraient de leur côté conclure la journée avec les données révisées concernant leur produit intérieur brut, ainsi que leur décompte hebdomadaire sur les nouvelles inscriptions au chômage.