Investing.com - Les bourses européennes se retrouvaient sur la défensive ce jeudi, alors que la nervosité était palpable à l'approche de la prise de cap de la Banque d'Angleterre, tandis que les bons résultats affichés hier par l'Allemagne avaient apaisé les rumeurs d'accommodements additionnels de la part de la Banque Centrale Européenne.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,44%, le CAC 40 français de 0,73%, et le DAX 30 allemand de 0,05%.
La production des usines germaniques a en effet réalisé un bond de 1,2% le mois dernier, le plus important des 12 mois écoulés, prenant à rebours les experts prévoyant une érosion de 0,1%.
Elles avaient déjà enregistré la veille un regain de 2,2% des commandes après ajustement saisonnier pour le troisième mois de l'année, le plus important depuis octobre 2012.
Ces informations ont alimenté les espoirs de perspectives plus réjouissantes pour le premier trimestre de la plus grosse économie régionale, après que son produit intérieur brut se soit rétracté de 0,5% entre début octobre et fin décembre.
Elles ont également contribué à apaiser les rumeurs de nouveaux rabotages des taux de la Banque Centrale Européenne, après que cette dernière n'en ait pas exclu lundi la possibilité.
La finance a vu son sourire s'évanouir, la Deutsche Bank allemande sombrant de 1,50%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,11 et 0,20%.
La périphérie allait dans le même sens, l'espagnol Banco Santander laissant échapper 0,36%, alors que les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit faisaient pire avec 1 et 1,82%.
Tout n'était cependant pas désespéré, le fabricant finlandais de téléphones mobiles Nokia s'élevant de 1,14% après avoir dévoilé une nouvelle version du système d'exploitation de ses terminaux Asha ainsi qu'un accord permettant à ses clients d'accéder gratuitement à Facebook.
A Londres, le FTSE 100, trébuchait de 0,04%, affecté par la prudence d'avant la prise de cap de la Banque d'Angleterre.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient toujours d'attaquue, le mastodonte minier BHP Billiton bondissant de 1,18%, Anglo American de 0,83% et Evraz de 0,53%.
La City ne savait plus à quel saint se vouer, la Royal Bank of Scotland raflant 1,24%, Barclays 1,31% et Lloyds Banking 2,10%.
HSBC Holdings décevait par contre encore avec un dérapage de 0,88%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles plutôt moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,02%, celles sur le S&P 500 tablant sur un faux pas de 0,05%, celles sur le Nasdaq 100 l'estimant à 0,10%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur nombre hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.
En seconde partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,44%, le CAC 40 français de 0,73%, et le DAX 30 allemand de 0,05%.
La production des usines germaniques a en effet réalisé un bond de 1,2% le mois dernier, le plus important des 12 mois écoulés, prenant à rebours les experts prévoyant une érosion de 0,1%.
Elles avaient déjà enregistré la veille un regain de 2,2% des commandes après ajustement saisonnier pour le troisième mois de l'année, le plus important depuis octobre 2012.
Ces informations ont alimenté les espoirs de perspectives plus réjouissantes pour le premier trimestre de la plus grosse économie régionale, après que son produit intérieur brut se soit rétracté de 0,5% entre début octobre et fin décembre.
Elles ont également contribué à apaiser les rumeurs de nouveaux rabotages des taux de la Banque Centrale Européenne, après que cette dernière n'en ait pas exclu lundi la possibilité.
La finance a vu son sourire s'évanouir, la Deutsche Bank allemande sombrant de 1,50%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,11 et 0,20%.
La périphérie allait dans le même sens, l'espagnol Banco Santander laissant échapper 0,36%, alors que les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit faisaient pire avec 1 et 1,82%.
Tout n'était cependant pas désespéré, le fabricant finlandais de téléphones mobiles Nokia s'élevant de 1,14% après avoir dévoilé une nouvelle version du système d'exploitation de ses terminaux Asha ainsi qu'un accord permettant à ses clients d'accéder gratuitement à Facebook.
A Londres, le FTSE 100, trébuchait de 0,04%, affecté par la prudence d'avant la prise de cap de la Banque d'Angleterre.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient toujours d'attaquue, le mastodonte minier BHP Billiton bondissant de 1,18%, Anglo American de 0,83% et Evraz de 0,53%.
La City ne savait plus à quel saint se vouer, la Royal Bank of Scotland raflant 1,24%, Barclays 1,31% et Lloyds Banking 2,10%.
HSBC Holdings décevait par contre encore avec un dérapage de 0,88%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles plutôt moroses: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0,02%, celles sur le S&P 500 tablant sur un faux pas de 0,05%, celles sur le Nasdaq 100 l'estimant à 0,10%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la journée avec leur nombre hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage.