Investing.com - Les bourses européennes étaient en mauvaise posture après l'ouverture ce lundi, les plus-values se trouvant encaissées après que les places européennes aient grimpé vendredi vers leurs niveaux les plus élevés depuis fin juillet, tandis que les observateurs guettaient de nouveaux résultats américains afin d'évaluer la vigueur de l'économie mondiale.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.45%, le CAC 40 français de 0.7%, et le DAX 30 allemand de 0.64%.
Ce net recul faisait suite à une séance asiatique peu enthousiaste, les investisseurs reprenant leur souffle afin de revoir leurs perspectives économiques globales.
Les bons résultats économiques des Etats-Unis enregistrés la semaine dernière ont renforcé l'hypothèse d'une amélioration de l'économie nationale, mais les risques demeurent ailleurs.
Zhu Min, directeur adjoint du Fonds Monétaire International, a déclaré lundi que la croissance économique générale allait se ralentir cette année, avec des risques de baisse persistant en raison de la fragilité des marchés financiers européens.
La finance s'est du coup retrouvée sous pression, la Grèce attendant l'apport des fonds du plan de secours en cours de journée, tandis que les craintes liées à la crise de la dette de la zone euro demeuraient présentes, sur fond de renouveau des craintes concernant la santé fiscale de l'Espagne et du Portugal.
Les allemands Deutsche Bank et Commerzbank ont respectivement plongé de 1.6 et 1.3%, tandis que l'italien Intesa Sanpaolo suivait le mouvement de 1.5%.
Carrefour, poids lourd français de la grande distribution, a pour sa part fondu de 2% après que les autorités du centre de la Chine aient temporairement fermé un de ses magasins dans la province du Henan après que la télévision d'état ait rapporté que celui-ci vendait du poulet périmé et attribuait des labels frauduleux à des poulets ordinaires.
Parmi les bonnes nouvelles, le transporteur de colis germanique TNT Express a pour sa part bondi de 2% après qu'United Parcel Service, géant américain du secteur, ait annoncé avoir trouvé un accord à raison de 5.16 milliards d'euros pour l'acheter.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a laissé échapper 0.42%, son secteur financier suivant la voie tracée par ses homologues continentaux.
Barclays a subi un repli de 1.55%, la Royal Bank of Scotland de 1.3%, le Lloyds Banking Group et HSBC Holdings limitant les dégâts à 1.2 et 1%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert de l'affaiblissement des cours sur le marché de New York, BHP Billiton se rétractant de 0.7%, Rio Tinto de 0.5%, et le cuivrier Anglo American de 1%.
Le fournisseur de logiciels bancaires Misys s'est pour sa part envolé de 6.75% après que Vista Partners, fonds d'investissement basé à San Francisco, ait accepté d'en faire l'acquisition pour 1.27 milliards de GBP.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles moyennement pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.15%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.2% tandis que celles sur le Nasdaq 100 restaient stagnantes.
Les spécialistes de l'immobilier des Etats-Unis devraient révéler aujourd'hui leurs chiffres des ventes de logements.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.45%, le CAC 40 français de 0.7%, et le DAX 30 allemand de 0.64%.
Ce net recul faisait suite à une séance asiatique peu enthousiaste, les investisseurs reprenant leur souffle afin de revoir leurs perspectives économiques globales.
Les bons résultats économiques des Etats-Unis enregistrés la semaine dernière ont renforcé l'hypothèse d'une amélioration de l'économie nationale, mais les risques demeurent ailleurs.
Zhu Min, directeur adjoint du Fonds Monétaire International, a déclaré lundi que la croissance économique générale allait se ralentir cette année, avec des risques de baisse persistant en raison de la fragilité des marchés financiers européens.
La finance s'est du coup retrouvée sous pression, la Grèce attendant l'apport des fonds du plan de secours en cours de journée, tandis que les craintes liées à la crise de la dette de la zone euro demeuraient présentes, sur fond de renouveau des craintes concernant la santé fiscale de l'Espagne et du Portugal.
Les allemands Deutsche Bank et Commerzbank ont respectivement plongé de 1.6 et 1.3%, tandis que l'italien Intesa Sanpaolo suivait le mouvement de 1.5%.
Carrefour, poids lourd français de la grande distribution, a pour sa part fondu de 2% après que les autorités du centre de la Chine aient temporairement fermé un de ses magasins dans la province du Henan après que la télévision d'état ait rapporté que celui-ci vendait du poulet périmé et attribuait des labels frauduleux à des poulets ordinaires.
Parmi les bonnes nouvelles, le transporteur de colis germanique TNT Express a pour sa part bondi de 2% après qu'United Parcel Service, géant américain du secteur, ait annoncé avoir trouvé un accord à raison de 5.16 milliards d'euros pour l'acheter.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a laissé échapper 0.42%, son secteur financier suivant la voie tracée par ses homologues continentaux.
Barclays a subi un repli de 1.55%, la Royal Bank of Scotland de 1.3%, le Lloyds Banking Group et HSBC Holdings limitant les dégâts à 1.2 et 1%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières ont également souffert de l'affaiblissement des cours sur le marché de New York, BHP Billiton se rétractant de 0.7%, Rio Tinto de 0.5%, et le cuivrier Anglo American de 1%.
Le fournisseur de logiciels bancaires Misys s'est pour sa part envolé de 6.75% après que Vista Partners, fonds d'investissement basé à San Francisco, ait accepté d'en faire l'acquisition pour 1.27 milliards de GBP.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles moyennement pessimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0.15%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.2% tandis que celles sur le Nasdaq 100 restaient stagnantes.
Les spécialistes de l'immobilier des Etats-Unis devraient révéler aujourd'hui leurs chiffres des ventes de logements.