Wall Street conclut cette séance de jeudi par un feu d'artifices de records absolus: ce fut la 4ème séance de record consécutif pour le S&P500 (+0,53% à 2.164) et la 3ème pour le Dow jones (+0,73% à 18.506).
Le 'Dow' a bondi d'entrée de jeu vers 18.538 (porté par les bancaires, notamment JP-Morgan et Goldman Sachs), le 'S&P' gagne +0,55% (+0,7% au plus haut à 2.170), le Nasdaq progresse d'autant vers 5.034Pts.
Les opérateurs ne pouvaient rêver de meilleure préparation pour la séance des '3 sorcières' et de nombreux gérants vont pouvoir partir en vacances en ayant fait carton plein depuis le 'Brexit'.
Les marchés occultent depuis le début de la semaine les mauvais chiffres d'activité en provenance d'Asie (le Japon a réduit son objectif de croissance par 2, d'inflation par 3, la Chine voit chuter ses exportations) mais égalment d'Europe depuis une semaine, sans oublier la situation de crise des banques italiennes.
Tout ceci aurait pu plaider pour de la 'prudence' dans le meilleur des cas.
Il n'y a rien de rationnel dans cette envolée qui fait bien plus qu'effacer l'impact du 'Brexit': le niveau de 'complaisance' des investisseurs donne le vertige avec un indice de stress (VIX) retombe vers un plancher de 12,65 qui ne colle absolument pas avec les perspectives économiques ni les hypothèses de croissance des profits (parfois négatives).
Aux Etats Unis, les inscriptions hebdomadaires au chômage sont restées stables à 254.00 (au lieu de 265.000) et les prix à la production aux Etats-Unis ont progressé de 0,5% en juin contre +0,3% attendu (après +0,4% en mai).
Mais la litanie des trimestriels 'meilleurs que prévu' fait merveille et les investisseurs oublient volontiers que les profits et les marges sont majoritairement en baisse.
Parmi les titres qui le plus clairement soutenu Wall-Street, Apple (NASDAQ:AAPL) se distingue avec +2%, Broadcom (NASDAQ:AVGO) prenant +2,2%, eBay +3,8%, Netflix +1,7%.
Aux financières, Metlife prend plus de 4,5%, Morgan Stanley (NYSE:MS) +3,12%, Citigroup +2,6%, JP-Morgan +1,55%... et Goldman Sachs +3%.
Copyright (c) 2016 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Le 'Dow' a bondi d'entrée de jeu vers 18.538 (porté par les bancaires, notamment JP-Morgan et Goldman Sachs), le 'S&P' gagne +0,55% (+0,7% au plus haut à 2.170), le Nasdaq progresse d'autant vers 5.034Pts.
Les opérateurs ne pouvaient rêver de meilleure préparation pour la séance des '3 sorcières' et de nombreux gérants vont pouvoir partir en vacances en ayant fait carton plein depuis le 'Brexit'.
Les marchés occultent depuis le début de la semaine les mauvais chiffres d'activité en provenance d'Asie (le Japon a réduit son objectif de croissance par 2, d'inflation par 3, la Chine voit chuter ses exportations) mais égalment d'Europe depuis une semaine, sans oublier la situation de crise des banques italiennes.
Tout ceci aurait pu plaider pour de la 'prudence' dans le meilleur des cas.
Il n'y a rien de rationnel dans cette envolée qui fait bien plus qu'effacer l'impact du 'Brexit': le niveau de 'complaisance' des investisseurs donne le vertige avec un indice de stress (VIX) retombe vers un plancher de 12,65 qui ne colle absolument pas avec les perspectives économiques ni les hypothèses de croissance des profits (parfois négatives).
Aux Etats Unis, les inscriptions hebdomadaires au chômage sont restées stables à 254.00 (au lieu de 265.000) et les prix à la production aux Etats-Unis ont progressé de 0,5% en juin contre +0,3% attendu (après +0,4% en mai).
Mais la litanie des trimestriels 'meilleurs que prévu' fait merveille et les investisseurs oublient volontiers que les profits et les marges sont majoritairement en baisse.
Parmi les titres qui le plus clairement soutenu Wall-Street, Apple (NASDAQ:AAPL) se distingue avec +2%, Broadcom (NASDAQ:AVGO) prenant +2,2%, eBay +3,8%, Netflix +1,7%.
Aux financières, Metlife prend plus de 4,5%, Morgan Stanley (NYSE:MS) +3,12%, Citigroup +2,6%, JP-Morgan +1,55%... et Goldman Sachs +3%.
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