Par-delà de bons indicateurs des 2 côtés de l'Atlantique et l'ouverture de Wall Street en territoire positif, les Bourses européennes continuent de faire grise mine à l'approche de la clôture.
Vers 16h30, seul le Dax s'illustre, alors même qu'il prend moins de 0,3%. De leur côté, le Footsie MIB (Milan) grignote 0,1%, tandis que le Footsie 100 et l'Ibex 35 (Madrid) sont stables. Le SMI (Zürich) et l'AEX (Amsterdam) reculent quant à eux de 0,1%, alors que le CAC 40 et le BEL 20 (Bruxelles) s'allègent d'environ 0,3%.
Concernant les indicateurs, la croissance économique de la zone euro s'est encore accélérée ce mois-ci, à en croire l'indice PMI flash composite. Celui-ci s'est en effet établi à 56,7, après 56 en février et 54,4 le mois précédent.
Il s'agit d'un plus haut depuis 71 mois et le consensus attendait a contrario un léger repli autour de 55,8.
'Cette accélération de la croissance observée en fin de trimestre, conjuguée au renforcement de l'expansion du volume des nouvelles affaires et au rythme soutenu des créations d'emplois, suggère un probable maintien du dynamisme économique de la région au deuxième trimestre', a commenté Chris Williamson, Chief Business Economist à IHS Markit.
Aux Etats-Unis, les commandes de biens durables ont de nouveau fortement augmenté le mois dernier aux Etats-Unis. Le Département du Commerce a en effet enregistré une progression de 1,7% desdites commandes en rythme séquentiel, soit 0,4 point de plus que la prévision moyenne des économistes. Le chiffre du mois de janvier a de surcroît nettement été revu à la hausse à +2,3%, après +1,8% en estimation initiale.
Sur le marché des changes, l'euro avance toujours de 0,2% face au dollar à 1,0808, alors que le baril de Brent s'est retourné, cédant environ 0,1% pour repasser sous les 51 dollars à 50,5 dollars.
Au chapitre microéconomique, l'action Blue Solutions s'envole de 73,7% à Paris alors que sa maison mère, Bolloré, va proposer une porte de sortie aux actionnaires minoritaires qui le souhaitent, à savoir une offre à 17 euros sur laquelle le titre s'ajuste. Aucun retrait obligatoire ne sera demandé à l'issue de l'opération, ce qui laisse supposer un flottant plus réduit encore (11% environ du capital à ce jour).
A Francfort, le titre Deutsche Börse prend quant à lui un peu moins de 0,5% désormais, alors même que la fusion de l'opérateur boursier allemand avec le London Stock Exchange (LSE) semble de plus en plus compromise. Selon le journal Süddeutsche Zeitung, Deutsche Börse préparerait en effet un plan portant sur 'plusieurs dizaines de millions d'euros' d'économies. Cette nouvelle 'tombe' alors que la Commission européenne devrait rendre dans les jours qui viennent son verdict sur le rapprochement des 2 opérateurs, lequel semble bien compromis aujourd'hui...
Enfin, à Milan, Telecom Italia (MI:TLIT) se replie de 0,2% malgré l'annonce hier après séance d'un retour aux bénéfices au titre de l'année close.
Copyright (c) 2017 CercleFinance.com. Tous droits réservés.
Vers 16h30, seul le Dax s'illustre, alors même qu'il prend moins de 0,3%. De leur côté, le Footsie MIB (Milan) grignote 0,1%, tandis que le Footsie 100 et l'Ibex 35 (Madrid) sont stables. Le SMI (Zürich) et l'AEX (Amsterdam) reculent quant à eux de 0,1%, alors que le CAC 40 et le BEL 20 (Bruxelles) s'allègent d'environ 0,3%.
Concernant les indicateurs, la croissance économique de la zone euro s'est encore accélérée ce mois-ci, à en croire l'indice PMI flash composite. Celui-ci s'est en effet établi à 56,7, après 56 en février et 54,4 le mois précédent.
Il s'agit d'un plus haut depuis 71 mois et le consensus attendait a contrario un léger repli autour de 55,8.
'Cette accélération de la croissance observée en fin de trimestre, conjuguée au renforcement de l'expansion du volume des nouvelles affaires et au rythme soutenu des créations d'emplois, suggère un probable maintien du dynamisme économique de la région au deuxième trimestre', a commenté Chris Williamson, Chief Business Economist à IHS Markit.
Aux Etats-Unis, les commandes de biens durables ont de nouveau fortement augmenté le mois dernier aux Etats-Unis. Le Département du Commerce a en effet enregistré une progression de 1,7% desdites commandes en rythme séquentiel, soit 0,4 point de plus que la prévision moyenne des économistes. Le chiffre du mois de janvier a de surcroît nettement été revu à la hausse à +2,3%, après +1,8% en estimation initiale.
Sur le marché des changes, l'euro avance toujours de 0,2% face au dollar à 1,0808, alors que le baril de Brent s'est retourné, cédant environ 0,1% pour repasser sous les 51 dollars à 50,5 dollars.
Au chapitre microéconomique, l'action Blue Solutions s'envole de 73,7% à Paris alors que sa maison mère, Bolloré, va proposer une porte de sortie aux actionnaires minoritaires qui le souhaitent, à savoir une offre à 17 euros sur laquelle le titre s'ajuste. Aucun retrait obligatoire ne sera demandé à l'issue de l'opération, ce qui laisse supposer un flottant plus réduit encore (11% environ du capital à ce jour).
A Francfort, le titre Deutsche Börse prend quant à lui un peu moins de 0,5% désormais, alors même que la fusion de l'opérateur boursier allemand avec le London Stock Exchange (LSE) semble de plus en plus compromise. Selon le journal Süddeutsche Zeitung, Deutsche Börse préparerait en effet un plan portant sur 'plusieurs dizaines de millions d'euros' d'économies. Cette nouvelle 'tombe' alors que la Commission européenne devrait rendre dans les jours qui viennent son verdict sur le rapprochement des 2 opérateurs, lequel semble bien compromis aujourd'hui...
Enfin, à Milan, Telecom Italia (MI:TLIT) se replie de 0,2% malgré l'annonce hier après séance d'un retour aux bénéfices au titre de l'année close.
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