Investing.com - Le dollar U.S. était mitigé face à la plupart de ses concurrents ce mardi, soutenu par la demande pour les valeur sûres, tandis que le franc suisse et le yen frôlaient des sommets face à lui, alimentant les rumeurs selon lesquelles le gouvernement japonais pourrait intervenir sur les marchés afin d'affaiblir ce dernier.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.31% pour tomber à 1.4206.
La chambre des représentants a adopté hier la loi visant à remonter le plafond de la dette américaine d'au moins 2.1 billions d'USD, et de supprimer jusqu'à 2.4 billions de dépenses fédérales; celle-ci devant être présentée devant le sénat pour un vote final en fin de journée.
Les incertitudes concernant la reprise économique mondiale restaient également présentes, après qu'une étude ait montré lundi que l'indice manufacturier de l'institut de gestion des approvisionnements était tombé en juillet à son pire niveau en deux ans.
La livre sterling a également cédé du terrain au billet vert, le GBP/USD glissant de 0.1 % pour descendre à 1.6276.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré que l'activité dans le domaine du bâtiment britannique avait légèrement moins diminué en juillet que prévu.
Il est d'autre part resté dangereusement proche du gouffre contre le yen et le franc suisse, l'USD/JPY grignotant 0.14% pour se retrouver à 77.31 et l'USD/CHF s'effondrant de 0.75% pour tomber à 0.7775.
Yoshihiko Noda, ministre des finances de l'archipel, a déclaré de son côté vouloir "observer les mouvements des marchés avec attention aujourd'hui, surtout après les avancées concernant le problème de la dette américaine", et ajouté que le gouvernement discutait avec la Banque du Japon et les autres pays de l'appréciation problématique de la devise du pays du soleil levant.
Une étude suisse avait par ailleurs indiqué que les ventes au détail avaient augmenté en juin de manière nettement supérieure aux attentes, et un rapport séparé que l'activité manufacturière helvétique avait connu une hausse inattendue en juin.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.14% pour aller vers 0.9555, l'AUD/USD plongeant de 0.67% pour sombrer à 1.0896 et le NZD/USD se laissant rogner 0.31% pour toucher le fond à 0.8737.
La Réserve Bancaire d'Australie avait annoncé en début de journée le maintien de son taux d'intérêt directeur à 4.75% pour la huitième réunion d'affilée, citant les "incertitudes importantes" concernant les perspectives économiques mondiales.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a grignoté 0.12%.
Les autorités des Etats-Unis devraient dévoiler aujourd'hui les frais de consommation individuels ainsi que les dépenses personnelles qu'elles ont mesurés.
En première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.31% pour tomber à 1.4206.
La chambre des représentants a adopté hier la loi visant à remonter le plafond de la dette américaine d'au moins 2.1 billions d'USD, et de supprimer jusqu'à 2.4 billions de dépenses fédérales; celle-ci devant être présentée devant le sénat pour un vote final en fin de journée.
Les incertitudes concernant la reprise économique mondiale restaient également présentes, après qu'une étude ait montré lundi que l'indice manufacturier de l'institut de gestion des approvisionnements était tombé en juillet à son pire niveau en deux ans.
La livre sterling a également cédé du terrain au billet vert, le GBP/USD glissant de 0.1 % pour descendre à 1.6276.
Des chiffres officiels avaient auparavant montré que l'activité dans le domaine du bâtiment britannique avait légèrement moins diminué en juillet que prévu.
Il est d'autre part resté dangereusement proche du gouffre contre le yen et le franc suisse, l'USD/JPY grignotant 0.14% pour se retrouver à 77.31 et l'USD/CHF s'effondrant de 0.75% pour tomber à 0.7775.
Yoshihiko Noda, ministre des finances de l'archipel, a déclaré de son côté vouloir "observer les mouvements des marchés avec attention aujourd'hui, surtout après les avancées concernant le problème de la dette américaine", et ajouté que le gouvernement discutait avec la Banque du Japon et les autres pays de l'appréciation problématique de la devise du pays du soleil levant.
Une étude suisse avait par ailleurs indiqué que les ventes au détail avaient augmenté en juin de manière nettement supérieure aux attentes, et un rapport séparé que l'activité manufacturière helvétique avait connu une hausse inattendue en juin.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD progressant de 0.14% pour aller vers 0.9555, l'AUD/USD plongeant de 0.67% pour sombrer à 1.0896 et le NZD/USD se laissant rogner 0.31% pour toucher le fond à 0.8737.
La Réserve Bancaire d'Australie avait annoncé en début de journée le maintien de son taux d'intérêt directeur à 4.75% pour la huitième réunion d'affilée, citant les "incertitudes importantes" concernant les perspectives économiques mondiales.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a grignoté 0.12%.
Les autorités des Etats-Unis devraient dévoiler aujourd'hui les frais de consommation individuels ainsi que les dépenses personnelles qu'elles ont mesurés.