Investing.com - La livre sterling a perdu du terrain sur le dollar U.S. ce jeudi, après que l'agence Fitch ait placé la notation triple A britannique sous une perspective négative, alors que la diminution des espoirs d'assouplissement monétaire de la part de la Réserve Fédérale encourageait ce dernier.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5636 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis mardi, puis s'est stabilisée vers 1.5646, perdant 0.18%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5602, son plancher des cinq semaines écoulées datant du 12 mars, et de rencontrer de la résistance à 1.5743, son plafond de mercredi.
Fitch Ratings a en effet déclaré qu'il y avait légèrement plus que 50% de chances pour que l'appréciation du Royaume-Uni soit dégradée dans les deux années à venir si son gouvernement devait prendre des mesures de rigueur moins draconiennes que prévu.
L'agence a ajouté que bien que les risques découlant de la crise de la dette souveraine de la zone euro avaient diminué, cette dernière n'était pas encore sortie du pétrin, et sa situation s'envenimer de nouveau, mettant à mal la capacité des autorités à maintenir le cap de la réduction des déficits.
Le billet vert reste également en forme depuis que la Réserve Fédérale a revu mardi ses prévisions économiques à la hausse, poussant les investisseurs à abandonner l'espoir d'une troisième série d'injections de capitaux de sa part.
La devise de la Grande-Bretagne a aussi cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP prenant 0.3% pour grimper à 0.8339.
Les autorités des Etats-Unis feront pour leur part connaître dans l'après-midi leurs chiffres de l'inflation des prix à la production, ainsi que leur rapport mensuel sur les nouvelles inscriptions au chômage, sans oublier l'évolution de l'activité manufacturière des régions de New York et Philadelphie.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.5636 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis mardi, puis s'est stabilisée vers 1.5646, perdant 0.18%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.5602, son plancher des cinq semaines écoulées datant du 12 mars, et de rencontrer de la résistance à 1.5743, son plafond de mercredi.
Fitch Ratings a en effet déclaré qu'il y avait légèrement plus que 50% de chances pour que l'appréciation du Royaume-Uni soit dégradée dans les deux années à venir si son gouvernement devait prendre des mesures de rigueur moins draconiennes que prévu.
L'agence a ajouté que bien que les risques découlant de la crise de la dette souveraine de la zone euro avaient diminué, cette dernière n'était pas encore sortie du pétrin, et sa situation s'envenimer de nouveau, mettant à mal la capacité des autorités à maintenir le cap de la réduction des déficits.
Le billet vert reste également en forme depuis que la Réserve Fédérale a revu mardi ses prévisions économiques à la hausse, poussant les investisseurs à abandonner l'espoir d'une troisième série d'injections de capitaux de sa part.
La devise de la Grande-Bretagne a aussi cédé du terrain à l'euro, l'EUR/GBP prenant 0.3% pour grimper à 0.8339.
Les autorités des Etats-Unis feront pour leur part connaître dans l'après-midi leurs chiffres de l'inflation des prix à la production, ainsi que leur rapport mensuel sur les nouvelles inscriptions au chômage, sans oublier l'évolution de l'activité manufacturière des régions de New York et Philadelphie.