Investing.com - L'euro n'a pas flanché face au dollar U.S. ce mercredi matin, sur fond d'inquiétude causée par la paralysie des administrations américaines, son adversaire bénéficiant toutefois des bons résultats manufacturiers là où il a cours.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3507 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3520, trébuchant de 0,04%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3470, son plancher du 26 septembre, et de rencontrer de la résistance à 1,3587, son plafond de huit mois établi hier.
Le billet vert demeurait largement en difficulté alors que les autorités des Etats-Unis poursuivaient la première mise à pied partielle de leurs services depuis 17 ans, laissant craindre pour la relance nationale, ce qui pourrait pousser la Réserve Fédérale à prolonger ses aides.
Les observateurs méditaient aussi les conséquences possibles de cette impasse sur les négociations visant à relever le plafond d'endettement maximal du pays, qui devrait, d'après le ministère des finances, être dépassé le 17 octobre.
Mais le creux de huit mois établi mardi par le couple ne s'est pas prolongé après qu'une étude ait souligné que le secteur secondaire y avait connu le mois passé sa plus forte expansion depuis avril 2011.
La monnaie unique a par ailleurs fait mieux que s'accrocher à la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0,02% pour frémir à 0,8353, mais a cédé du terrain au yen, l'EUR/JPY glissant de 0,36% pour chuter à 132,06.
En Italie, le premier ministre Enrico Letta s'apprêtait à affronter aujourd'hui un vote de confiance devant le parlement, après que Silvio Berlusconi ait annoncé samedi le retrait de ses ministres du gouvernement de son coalition.
La Banque Centrale Européenne procèdera aussi à une prise de cap, après quoi son président Mario Draghi tiendra une conférence de presse à ce sujet.
La paire EUR/USD est descendue jusqu'à 1,3507 en fin de séance asiatique, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1,3520, trébuchant de 0,04%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,3470, son plancher du 26 septembre, et de rencontrer de la résistance à 1,3587, son plafond de huit mois établi hier.
Le billet vert demeurait largement en difficulté alors que les autorités des Etats-Unis poursuivaient la première mise à pied partielle de leurs services depuis 17 ans, laissant craindre pour la relance nationale, ce qui pourrait pousser la Réserve Fédérale à prolonger ses aides.
Les observateurs méditaient aussi les conséquences possibles de cette impasse sur les négociations visant à relever le plafond d'endettement maximal du pays, qui devrait, d'après le ministère des finances, être dépassé le 17 octobre.
Mais le creux de huit mois établi mardi par le couple ne s'est pas prolongé après qu'une étude ait souligné que le secteur secondaire y avait connu le mois passé sa plus forte expansion depuis avril 2011.
La monnaie unique a par ailleurs fait mieux que s'accrocher à la livre sterling, l'EUR/GBP grignotant 0,02% pour frémir à 0,8353, mais a cédé du terrain au yen, l'EUR/JPY glissant de 0,36% pour chuter à 132,06.
En Italie, le premier ministre Enrico Letta s'apprêtait à affronter aujourd'hui un vote de confiance devant le parlement, après que Silvio Berlusconi ait annoncé samedi le retrait de ses ministres du gouvernement de son coalition.
La Banque Centrale Européenne procèdera aussi à une prise de cap, après quoi son président Mario Draghi tiendra une conférence de presse à ce sujet.