Un rapport du Wall Street Journal la semaine dernière affirmait que Qualcomm (NASDAQ:QCOM) avait approché Intel (NASDAQ:INTC) au sujet d'une éventuelle acquisition, mais les analystes de Citi ont rejeté cette idée, la qualifiant de "presque trop absurde pour être commentée".
Selon Citi, une telle démarche serait préjudiciable aux actionnaires d'Intel, citant le manque d'expérience de Qualcomm dans l'exploitation de fabs et ses dépenses d'exploitation historiquement élevées.
Les analystes soutiennent qu'Intel devrait plutôt se concentrer sur la sortie du secteur des fonderies, une décision qu'ils estiment être dans le meilleur intérêt des actionnaires.
L'activité de fonderie, que Citi estime avoir perdu 2,8 milliards de dollars le trimestre dernier et devrait perdre environ 8 milliards de dollars par an, a peu de chances de devenir une opération rentable, selon la banque d'investissement.
Ils pensent que la sortie de ce secteur pourrait faire grimper le bénéfice par action (BPA) d'Intel entre 3,00 et 4,00 dollars, tout en augmentant les marges brutes pour atteindre une fourchette basse à moyenne de 50%.
Bien que Citi reconnaisse qu'Intel devrait se séparer de sa division fonderie, la firme recommande qu'Intel conserve ses opérations de fabrication de CPU.
"Nous pensons qu'Intel devrait conserver son activité de fabrication de CPU étant donné les synergies avec la conception de CPU et nous ne pensons pas qu'Intel devrait devenir fabless puisqu'Intel devrait rattraper TSMC en 2025", écrit la banque.
Citi a réitéré sa note Neutre sur Intel, avec un objectif de cours fixé à 25 dollars.
"Nous nous attendons à ce que le BPA d'Intel soit sous pression en raison de son activité de fonderie, qui, selon nous, a des chances minimales de réussite", a conclu Citi.
Cet article a été généré et traduit avec l'aide de l'IA et revu par un rédacteur. Pour plus d'informations, consultez nos T&C.