Investing.com - Les bourses européennes étaient en léger recul lors des rares échanges de ce lundi matin, subissant toujours, comme celles du monde entier, l'angoisse d'une fermeture imminente des vannes de la banque centrale des Etats-Unis.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,10%, le CAC 40 français de 0,24%, et le DAX 30 allemand de 0,10%.
Les cours ont en effet perdu des plumes après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait rappelé la semaine passée que l'ampleur de son programme de rachats d'actifs pourrait être réduite en cas de bonnes performances économiques, mais qu'aucun "programme prédéfini" n'était établi.
Il a aussi précisé que la relance se poursuivait à un rythme modeste, estimant cependant que les assouplissements demeureraient nécessaires aussi loin que les projections pouvaient porter.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 1,30%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,18 et 0,79%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,24 et 0,29%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,53 et 0,36%.
Le secteur allait aussi bien en Suisse, l'UBS, première du pays sur le créneau, bondissant de 2,95% après avoir revendiqué des bénéfices en augmentation au second trimestre et un accord imminent concernant ses ventes américaines de titres adossés à des hypothèques.
Royal Philips Electronics était aussi à l'offensive, engrangeant 3,33% grâce à des profits sur la même période s'envolant de 30%, son programme d'économies à hauteur de 1,1 miliards d'euros l'ayant aidé à compenser un ralentissement de la consommation dans la région.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, se laissait pourtant arracher 0,25%, malgré la forme de ses exploitants.
Le poids lourd des hydrocarbures Anglo American frémissait ainsi de 0,24% et le mastodonte minier BHP Billiton de 0,15%, leurs collègues Fresnillo et Randgold Resources suivant le même chemin avec 2,96 et 6,47%.
La City était par contre moins unanime, HSBC Holdings et Lloyds Banking se rétractant de 0,36 et 0,10%, tandis que Barclays et la Royal Bank of Scotland émergeaient de 0,42 et 1,78%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles plutôt hésitantes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,08% et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,03%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur un frémissement de 0,02%.
Les Etats-Unis verront aujourd'hui des spécialistes fournir leurs informations concernant les ventes de logements d'occasion.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,10%, le CAC 40 français de 0,24%, et le DAX 30 allemand de 0,10%.
Les cours ont en effet perdu des plumes après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait rappelé la semaine passée que l'ampleur de son programme de rachats d'actifs pourrait être réduite en cas de bonnes performances économiques, mais qu'aucun "programme prédéfini" n'était établi.
Il a aussi précisé que la relance se poursuivait à un rythme modeste, estimant cependant que les assouplissements demeureraient nécessaires aussi loin que les projections pouvaient porter.
La finance avait le sourire, la Deutsche Bank allemande empochant 1,30%, suivie des français BNP Paribas et Société Générale avec respectivement 0,18 et 0,79%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA encaissant 0,24 et 0,29%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,53 et 0,36%.
Le secteur allait aussi bien en Suisse, l'UBS, première du pays sur le créneau, bondissant de 2,95% après avoir revendiqué des bénéfices en augmentation au second trimestre et un accord imminent concernant ses ventes américaines de titres adossés à des hypothèques.
Royal Philips Electronics était aussi à l'offensive, engrangeant 3,33% grâce à des profits sur la même période s'envolant de 30%, son programme d'économies à hauteur de 1,1 miliards d'euros l'ayant aidé à compenser un ralentissement de la consommation dans la région.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, se laissait pourtant arracher 0,25%, malgré la forme de ses exploitants.
Le poids lourd des hydrocarbures Anglo American frémissait ainsi de 0,24% et le mastodonte minier BHP Billiton de 0,15%, leurs collègues Fresnillo et Randgold Resources suivant le même chemin avec 2,96 et 6,47%.
La City était par contre moins unanime, HSBC Holdings et Lloyds Banking se rétractant de 0,36 et 0,10%, tandis que Barclays et la Royal Bank of Scotland émergeaient de 0,42 et 1,78%.
Les perspectives des marchés américains étaient quand à elles plutôt hésitantes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,08% et celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,03%, tandis que celles sur le Nasdaq 100 tablaient sur un frémissement de 0,02%.
Les Etats-Unis verront aujourd'hui des spécialistes fournir leurs informations concernant les ventes de logements d'occasion.