Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture en repli ce mardi après-midi, tandis que la question de l'éventuelle réduction dès cette année des apports de capitaux de la Réserve Fédérale demeurait malgré tout au centre des débats.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,74%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,84% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,82%.
Les rumeurs selon lesquelles la banque centrale des Etats-Unis réduirait bientôt le volume de ses injections de liquidités allaient bon train dans le sillage des résultats modérément positifs de leur marché de l'emploi, ces derniers ayant aussi vu l'agence Standard & Poor's en revoir hier vers le haut les perspectives de notation à long terme, depuis la négativité vers la stabilité, invoquant l'amélioration de leur situation économique.
La technologie était en ébullition, après que Texas Instruments ait avoué des projections pour le second trimestre confirmant la faiblesse des ventes d'ordinateurs de bureau et portables, dérapant de 1,68% après la clôture.
Sony et Microsoft ont chacun procédé dans la nuit à des conférences de presses au sujet de leurs nouvelles consoles de jeux vidéo respectives, à savoir la PlayStation 4 et la Xbox One, la première semblant devoir être vendue à 399 USD, soit 100 de moins que sa concurrente.
Du côté de la grande distribution, Lululemon Athletica plongeait de 13,71% après la clôture, ayant annoncé hier que son directeur général libèrerait bientôt son poste.
Cette nouvelle survenait trois mois après le rappel de pantalon transaparents par le vendeur de vêtements de yoga.
Le constructeur aérien Boeing était aussi sous les feux de la rampe, après avoir revu de 3,8% vers le haut ses perspectives à vingt ans de demande pour les appareils commerciaux, le trafic aérien dépassant la croissance mondiale et les transporteurs devant renouveler leurs flottes pour 4,8 billions d'USD.
La sphère Internet n'était pas non plus à négliger, Facebook, le géant des réseaux sociaux, se repliant de 0,49% avant le début des hostilités, bien que Stifel Nicolaus en ait remonté l'appréciation.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 1,56%, le CAC 40 français de 1,46%, le DAX 30 allemand de 1,40% et le FTSE 100 britannique de 1,34%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong plongeait de 1,20%, et le Nikkei 225 japonais 1,45%.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,74%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,84% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,82%.
Les rumeurs selon lesquelles la banque centrale des Etats-Unis réduirait bientôt le volume de ses injections de liquidités allaient bon train dans le sillage des résultats modérément positifs de leur marché de l'emploi, ces derniers ayant aussi vu l'agence Standard & Poor's en revoir hier vers le haut les perspectives de notation à long terme, depuis la négativité vers la stabilité, invoquant l'amélioration de leur situation économique.
La technologie était en ébullition, après que Texas Instruments ait avoué des projections pour le second trimestre confirmant la faiblesse des ventes d'ordinateurs de bureau et portables, dérapant de 1,68% après la clôture.
Sony et Microsoft ont chacun procédé dans la nuit à des conférences de presses au sujet de leurs nouvelles consoles de jeux vidéo respectives, à savoir la PlayStation 4 et la Xbox One, la première semblant devoir être vendue à 399 USD, soit 100 de moins que sa concurrente.
Du côté de la grande distribution, Lululemon Athletica plongeait de 13,71% après la clôture, ayant annoncé hier que son directeur général libèrerait bientôt son poste.
Cette nouvelle survenait trois mois après le rappel de pantalon transaparents par le vendeur de vêtements de yoga.
Le constructeur aérien Boeing était aussi sous les feux de la rampe, après avoir revu de 3,8% vers le haut ses perspectives à vingt ans de demande pour les appareils commerciaux, le trafic aérien dépassant la croissance mondiale et les transporteurs devant renouveler leurs flottes pour 4,8 billions d'USD.
La sphère Internet n'était pas non plus à négliger, Facebook, le géant des réseaux sociaux, se repliant de 0,49% avant le début des hostilités, bien que Stifel Nicolaus en ait remonté l'appréciation.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 1,56%, le CAC 40 français de 1,46%, le DAX 30 allemand de 1,40% et le FTSE 100 britannique de 1,34%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong plongeait de 1,20%, et le Nikkei 225 japonais 1,45%.