Investing.com - La livre sterling s'est hissée vers un pic de sept mois face au dollar U.S. ce mercredi, après que de belles performances sur le marché du travail où elle a cours aient alimenté des rumeurs peu crédibles de remontée anticipée des taux de son émettrice.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5826 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 8 février, puis s'est stabilisée vers 1,5786, gagnant 0,34%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5717, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1,5860, son plafond suivant.
La devise de la Grande-Bretagne a en effet retrouvé des couleurs après que le bureau des statistiques du Royaume-Uni ait vu la proportion des demandeurs d'emploi se résorber depuis 7,8 vers 7,7% en juillet, alors qu'une stagnation semblait au menu.
La Banque d'Angleterre avait réaffirmé en août son intention de maintenir les coûts des emprunts qu'elle consent aux établissements financiers à leur plus bas niveaux de tous les temps tant que le chômage britannique dépassera les 7%, ce qui ne devrait pas changer avant trois ans.
Il a aussi noté 32.600 inscrits de moins en août, au lieu des 22.000 espérés.
Les 29.200 avancés pour le mois précédent ont d'autre part été revus jusqu'à 36.300.
L'euro s'est du coup retrouvé retrouvé à son plus bas niveau depuis février par rapport à l'unité monétaire à l'effigie de la reine, l'EUR/GBP dérapant de 0,37% pour glisser à 0,8402.
Josébarr Manuel Barroso, président de la Commission Européenne, a pour sa part déclaré ce matin que la reprise était en vue, et renouvelé son appel à la mise en place de réformes bancaires, avec un "système de régulation unifié" avant tout.
La paire GBP/USD est montée jusqu'à 1,5826 en première partie de séance européenne, son cours le plus élevé depuis le 8 février, puis s'est stabilisée vers 1,5786, gagnant 0,34%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1,5717, son plancher du jour, et de rencontrer de la résistance à 1,5860, son plafond suivant.
La devise de la Grande-Bretagne a en effet retrouvé des couleurs après que le bureau des statistiques du Royaume-Uni ait vu la proportion des demandeurs d'emploi se résorber depuis 7,8 vers 7,7% en juillet, alors qu'une stagnation semblait au menu.
La Banque d'Angleterre avait réaffirmé en août son intention de maintenir les coûts des emprunts qu'elle consent aux établissements financiers à leur plus bas niveaux de tous les temps tant que le chômage britannique dépassera les 7%, ce qui ne devrait pas changer avant trois ans.
Il a aussi noté 32.600 inscrits de moins en août, au lieu des 22.000 espérés.
Les 29.200 avancés pour le mois précédent ont d'autre part été revus jusqu'à 36.300.
L'euro s'est du coup retrouvé retrouvé à son plus bas niveau depuis février par rapport à l'unité monétaire à l'effigie de la reine, l'EUR/GBP dérapant de 0,37% pour glisser à 0,8402.
Josébarr Manuel Barroso, président de la Commission Européenne, a pour sa part déclaré ce matin que la reprise était en vue, et renouvelé son appel à la mise en place de réformes bancaires, avec un "système de régulation unifié" avant tout.