Investing.com - Les bourses européennes étaient en difficulté ce jeudi matin, dans l'expectative du conseil d'orientation de la Banque Centrale Européenne, sur fond de rumeurs grandissantes de nouveaux assouplissements imminents.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,19%, le CAC 40 français de 0,03%, et le DAX 30 allemand de 0,04%.
La nervosité était généralisé face à l'hypothèse d'un réduction des taux d'intérêt de la région afin de préserver sa relance.
Aucun changement ne semblait au programme pour son conseil de direction d'aujourd'hui, mais certains estiment qu'elle pourrait laisser entrevoir de nouveaux assouplissements pour celui de décembre, ayant les coudées franches grâce à la faiblesse de l'inflation soulignée la semaiine passée.
Les Etats-Unis comptaient aussi publier sous peu la première estimation de leur produit intérieur brut du troisième trimestre, qui sera surveillé de près, étant donné son influence probable sur le moment où la Réserve Fédérale procèdera à un tour de vis.
La finance était plutôt en berne, la Deutsche Bank allemande sombrant de 0,49%, suivie du français BNP Paribas avec 0,43%, dont le compatriote Société Générale empochait cependant 0,76%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA laissant respectivement échapper 0,66 et 0,55%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,75 et 0,77%.
Sur le front de l'ingénierie, Siemens bondissait de 2,14% grâce à l'annonce de rachats d'actions qui pourraient atteindre 4 milliards d'euros.
Le sidérurgiste ArcelorMittal le dépassaot avec 3,99%, après avoir revendiqué des bénéfices dépassant les espérances entre début juillet et fin septembre en s'élevant à 1,71 milliards d'USD.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,24%, tiré vers le bas par le gestionnaire de fonds Schroders, chutant de 1,98%, malgré l'explosion de 26,6% des actifs gérés au troisième trimestre.
La City suivait en grande partie le chemin tracé sur le continent, HSBC Holdings glissant de 0,63%, Lloyds Banking de 0,40% et la Royal Bank of Scotland de 0,02%, alors que Barclays émergeait cependant de 0,05%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières n'étaient pas plus unanimes, les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Rio Tinto fondant respectivement de 1,14 et 0,24%, Polymetal arrachant par contre 0,87% et Randgold Resources se plaçant en pointe avec 4,69%.
Les perspectives des marchés américains partageaient la morosité ambiante: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,08%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,13% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,14%.
En première partie de séance locale, l'EURO STOXX 50 régressait de 0,19%, le CAC 40 français de 0,03%, et le DAX 30 allemand de 0,04%.
La nervosité était généralisé face à l'hypothèse d'un réduction des taux d'intérêt de la région afin de préserver sa relance.
Aucun changement ne semblait au programme pour son conseil de direction d'aujourd'hui, mais certains estiment qu'elle pourrait laisser entrevoir de nouveaux assouplissements pour celui de décembre, ayant les coudées franches grâce à la faiblesse de l'inflation soulignée la semaiine passée.
Les Etats-Unis comptaient aussi publier sous peu la première estimation de leur produit intérieur brut du troisième trimestre, qui sera surveillé de près, étant donné son influence probable sur le moment où la Réserve Fédérale procèdera à un tour de vis.
La finance était plutôt en berne, la Deutsche Bank allemande sombrant de 0,49%, suivie du français BNP Paribas avec 0,43%, dont le compatriote Société Générale empochait cependant 0,76%.
Il en était de même à la périphérie, les espagnols Banco Santander et BBVA laissant respectivement échapper 0,66 et 0,55%, les italiens Intesa Sanpaolo et Unicredit leur emboîtant le pas avec 0,75 et 0,77%.
Sur le front de l'ingénierie, Siemens bondissait de 2,14% grâce à l'annonce de rachats d'actions qui pourraient atteindre 4 milliards d'euros.
Le sidérurgiste ArcelorMittal le dépassaot avec 3,99%, après avoir revendiqué des bénéfices dépassant les espérances entre début juillet et fin septembre en s'élevant à 1,71 milliards d'USD.
A Londres, le FTSE 100 fléchissait de 0,24%, tiré vers le bas par le gestionnaire de fonds Schroders, chutant de 1,98%, malgré l'explosion de 26,6% des actifs gérés au troisième trimestre.
La City suivait en grande partie le chemin tracé sur le continent, HSBC Holdings glissant de 0,63%, Lloyds Banking de 0,40% et la Royal Bank of Scotland de 0,02%, alors que Barclays émergeait cependant de 0,05%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières n'étaient pas plus unanimes, les mastodontes miniers Glencore Xstrata et Rio Tinto fondant respectivement de 1,14 et 0,24%, Polymetal arrachant par contre 0,87% et Randgold Resources se plaçant en pointe avec 4,69%.
Les perspectives des marchés américains partageaient la morosité ambiante: les options sur le Dow Jones prévoyaient une baisse de 0,08%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,13% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,14%.