BERLIN - Le syndicat allemand IG Metall, membre du conseil de surveillance de Volkswagen AG (ETR:VOWG_p), a exprimé jeudi son engagement à explorer de manière exhaustive toutes les alternatives possibles en réponse aux allusions du constructeur automobile à des fermetures potentielles d'usines. Parmi les options envisagées figure la mise en place d'une semaine de travail de quatre jours.
Thorsten Groeger, chef régional d'IG Metall en Basse-Saxe, où se trouve le siège de Volkswagen, a souligné l'importance de l'accord sur la sécurité de l'emploi conclu en 1994. Cet accord, selon M. Groeger, a été spécialement conçu pour aider l'entreprise à traverser les périodes difficiles et devrait être maintenu même en cas de difficultés.
Tout en reconnaissant la nécessité de trouver des solutions innovantes pour protéger les emplois, le syndicat a également indiqué qu'il ne pouvait pas proposer de plans détaillés sans plus de clarté sur les intentions de Volkswagen. Christiane Benner, présidente nationale d'IG Metall, a souligné le besoin d'idées progressistes pour identifier de nouveaux potentiels et a rappelé que Volkswagen avait réussi à surmonter des situations difficiles par le passé.
La position du syndicat intervient alors qu'il cherche à garantir la sécurité de l'emploi des travailleurs de Volkswagen face à des conditions économiques incertaines qui pourraient conduire à des changements opérationnels significatifs au sein de l'entreprise. La participation d'IG Metall au conseil de surveillance le place dans une position stratégique pour influencer les décisions susceptibles d'avoir un impact sur l'avenir des employés et sur l'orientation générale du constructeur automobile.
Reuters a contribué à cet article.
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