Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture à la baisse ce vendredi après-midi, dans l'expectative dec chiffres que publieront les Etats-Unis, sur fond d'incertitudes sur les orientations de leur banque centrale et sur leur budget.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,35%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,45% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,37%.
Les angoisses liées au problème de leur budget fédéral ont en effet ressurgi après que le groupe des députés républicains ait refusé dans le même temps d'accéder aux requêtes du président Obama, réclamant sans détour de quoi faire tourner l'administration au-delà du 30 septembre, et d'augmenter le pouvoir d'emprunt de l'exécutif afin d'éviter les défauts de paiement.
Un accord à ce sujet doit en effet être trouvé avant le premier octobre, afin d'éviter une paralysie qui pourrait entraîner les congés sans solde des fonctionnaires et des retards dans les paiements des membres de l'armée.
La prudence restait aussi de mise en raison du flou concernant l'avenir des injections de la Réserve Fédérale, trois de ses plus hauts représentants ayant avoué hier qu'elle avait contribué à entretenir la confusion au sujet de ses intentions.
Facebook, colosse des réseaux sociaux, était sur le devant de la scène après avoir dépassé hier les 50 USD pour la première fois, profitant d'avis positifs de plusieurs analystes, gagnant encore 0,89% en pré-ouverture.
Toujours dans le domaine informatique, Tim Cook, directeur général d'Apple, et le milliardaire Carl Icahn prévoyaient de se rencontrer lundi prochain à New York afin de discuter du de l'avenir de sa compagnie.
Ce dernier avait exprimé en août sur Twitter son intérêt pour un rachat d'actions du premier, dont il a ajouté avoir acquis "un certain volume".
Intel trébuchait par contre de 0,21% avant le début des hostilités, après avoir annoncé chercher des partenaires pour son projet de télévision connetée à Internet.
JCPenney dérapait carrément de 5,95% dans le sillage de l'annonce faite hier de sa volonté de lever jusqu'à 1 milliard d'USD avec des émissions de parts afin de renforcer sa trésorerie en préparation des fêtes de fin d'année.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter BlackBerry, dont les résultats du trimestre seront proclamés sous peu.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0,33%, le CAC 40 français de 0,30%, le DAX 30 allemand de 0,35% et le FTSE 100 britannique de 0,56%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0,35%, mais le Nikkei 225 japonais dérapait de 0,26%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté achever la semaine avec les chiffres révisés de l'université du Michigan portant sur l'humeur des ménages et l'inflation attendue, ainsi que d'autres concernant les revenus et les dépenses des individus.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,35%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,45% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,37%.
Les angoisses liées au problème de leur budget fédéral ont en effet ressurgi après que le groupe des députés républicains ait refusé dans le même temps d'accéder aux requêtes du président Obama, réclamant sans détour de quoi faire tourner l'administration au-delà du 30 septembre, et d'augmenter le pouvoir d'emprunt de l'exécutif afin d'éviter les défauts de paiement.
Un accord à ce sujet doit en effet être trouvé avant le premier octobre, afin d'éviter une paralysie qui pourrait entraîner les congés sans solde des fonctionnaires et des retards dans les paiements des membres de l'armée.
La prudence restait aussi de mise en raison du flou concernant l'avenir des injections de la Réserve Fédérale, trois de ses plus hauts représentants ayant avoué hier qu'elle avait contribué à entretenir la confusion au sujet de ses intentions.
Facebook, colosse des réseaux sociaux, était sur le devant de la scène après avoir dépassé hier les 50 USD pour la première fois, profitant d'avis positifs de plusieurs analystes, gagnant encore 0,89% en pré-ouverture.
Toujours dans le domaine informatique, Tim Cook, directeur général d'Apple, et le milliardaire Carl Icahn prévoyaient de se rencontrer lundi prochain à New York afin de discuter du de l'avenir de sa compagnie.
Ce dernier avait exprimé en août sur Twitter son intérêt pour un rachat d'actions du premier, dont il a ajouté avoir acquis "un certain volume".
Intel trébuchait par contre de 0,21% avant le début des hostilités, après avoir annoncé chercher des partenaires pour son projet de télévision connetée à Internet.
JCPenney dérapait carrément de 5,95% dans le sillage de l'annonce faite hier de sa volonté de lever jusqu'à 1 milliard d'USD avec des émissions de parts afin de renforcer sa trésorerie en préparation des fêtes de fin d'année.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter BlackBerry, dont les résultats du trimestre seront proclamés sous peu.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0,33%, le CAC 40 français de 0,30%, le DAX 30 allemand de 0,35% et le FTSE 100 britannique de 0,56%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 0,35%, mais le Nikkei 225 japonais dérapait de 0,26%.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté achever la semaine avec les chiffres révisés de l'université du Michigan portant sur l'humeur des ménages et l'inflation attendue, ainsi que d'autres concernant les revenus et les dépenses des individus.