Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture en net recul ce lundi après-midi, l'ambiance se trouvant plombée par l'ombre d'une possible paralysie des administrations des Etats-Unis.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,85%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,86% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,78%.
Les chicaneries politiques au sujet des fonds alloués à la concrétisation de la loi sur la santé du président Barack Obama ont continué en fin de semaine, alimentant l'angoisse d'une mise à pied des fonctionnaires.
Le parlement doit adopter un budget à court terme d'ici minuit afin d'éviter une telle éventualité.
L'opposition du parti républicain, majoritaire à la chambre des députés, à la concrétisation des dispositions de l'Affordable Care Act a une fois de plus entraîné une impasse face à la Maison Blanche et au sénat, contrôlé par leurs adversaires démocrates, ayant déclaré refuser toute proposition qui viderait la loi surnommée "Obamacare" de sa substance.
Le front technologique était sous les feux de la rampe, après que BlackBerry ait avoué sans surprise 1 milliard d'USD de pertes trimestrielles, comprenant notamment la dépréciation dûe à ses stocks invendus de Z10, ses intelliphones les plus récents.
Il avait cependant signé la semaine passée un accord d'acquisition à 9 USD par action avec un groupe d'investisseurs avec Fairfax Financial, son principal actionnaire, à sa tête.
La grande distribution n'était pas non plus à négliger, après que J.C. Penney ait écoulé 84 millions de parts normales à 9,65 USD par l'intermédiaire de Goldman Sachs, dégringolant de 1,44% en pré-ouverture, après s'être déjà effondré vendredi de près de 15%.
Du côté des accessoires de sport, Nike reculait de 0,29% après avoir engrangé plus de 4% sur la même période, profitant de résultats trimestriels supérieurs aux estimations grâce à un bon chiffre d'affaires en Amérique du Nord et en Europe, et à la remontée des objectifs de cours d'au moins sept courtiers.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter le revendeur de planchers Lumber Liquidators, après qu'il ait été rapporté que les autorités fédérales avaient procédé à une persuiqition de son siège social.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0,89%, le CAC 40 français de 1,07%, le DAX 30 allemand de 0,83% et le FTSE 100 britannique de 0,71%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong sombrait de 1,50%, et le Nikkei 225 japonais de 2,06%.
La nervosité était palpable après que Silvio Berlusconi ait annoncé samedi le retrait de ses ministres du gouvernement de coalition dirigé par Enrico Letta, appelant à la tenue de nouvelles élections.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,85%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,86% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,78%.
Les chicaneries politiques au sujet des fonds alloués à la concrétisation de la loi sur la santé du président Barack Obama ont continué en fin de semaine, alimentant l'angoisse d'une mise à pied des fonctionnaires.
Le parlement doit adopter un budget à court terme d'ici minuit afin d'éviter une telle éventualité.
L'opposition du parti républicain, majoritaire à la chambre des députés, à la concrétisation des dispositions de l'Affordable Care Act a une fois de plus entraîné une impasse face à la Maison Blanche et au sénat, contrôlé par leurs adversaires démocrates, ayant déclaré refuser toute proposition qui viderait la loi surnommée "Obamacare" de sa substance.
Le front technologique était sous les feux de la rampe, après que BlackBerry ait avoué sans surprise 1 milliard d'USD de pertes trimestrielles, comprenant notamment la dépréciation dûe à ses stocks invendus de Z10, ses intelliphones les plus récents.
Il avait cependant signé la semaine passée un accord d'acquisition à 9 USD par action avec un groupe d'investisseurs avec Fairfax Financial, son principal actionnaire, à sa tête.
La grande distribution n'était pas non plus à négliger, après que J.C. Penney ait écoulé 84 millions de parts normales à 9,65 USD par l'intermédiaire de Goldman Sachs, dégringolant de 1,44% en pré-ouverture, après s'être déjà effondré vendredi de près de 15%.
Du côté des accessoires de sport, Nike reculait de 0,29% après avoir engrangé plus de 4% sur la même période, profitant de résultats trimestriels supérieurs aux estimations grâce à un bon chiffre d'affaires en Amérique du Nord et en Europe, et à la remontée des objectifs de cours d'au moins sept courtiers.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter le revendeur de planchers Lumber Liquidators, après qu'il ait été rapporté que les autorités fédérales avaient procédé à une persuiqition de son siège social.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0,89%, le CAC 40 français de 1,07%, le DAX 30 allemand de 0,83% et le FTSE 100 britannique de 0,71%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong sombrait de 1,50%, et le Nikkei 225 japonais de 2,06%.
La nervosité était palpable après que Silvio Berlusconi ait annoncé samedi le retrait de ses ministres du gouvernement de coalition dirigé par Enrico Letta, appelant à la tenue de nouvelles élections.