Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture nettement positive ce jeudi après-midi, tirées vers le haut par le fait que la banque centrale des Etats-Unis ait opté pour le statu quo, déclenchant une vague d'enthousiasme.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,35%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,46% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,42%.
La banque centrale des Etats-Unis s'est en effet retenue hier de mettre un frein à ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels, rappelant déterminer son cap en fonction "des besoins de l'économie", même si elle doit pour cela aller à l'encontre des rumeurs.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a déclaré à l'issue des deux jours de réunion qu'il souhaitait "attendre encore pour tâcher d'obtenir des preuves tangibles" que l'économie se consolide sur le long terme.
Il a aussi refusé de s'engager à procéder à un tour de vis dès cette année, rappelant que les orientations "n'étaient pas prédéterminées".
Ses projections de croissance pour 2013 ont aussi vu leur fourchette rabaissée depuis les 2,3 à 2,6% anticipés en juin vers 2,0 à 2,3%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient sur le devant de la scène, ces dernières ayant vu leurs cours remonter grâce à l'absence d'assèchement des perfusions d'argent frais, Royal Gold, dont l'or est le cheval de bataille, grignotant 0,04% après la clôture après s'être envolé de plus de 8% hier, Freeport-McMoRan, aussi centré sur le cuivre, prenant 0,23% dans le même temps.
La finance était une fois de plus en ébullition, Wells Fargo ayant exprimé son intention de supprimer 1.800 emplois de plus dans les prêts immobiliers, la hausse des taux appliqués aux emprunts nuisant aux demandes de refinancement.
JP Morgan-Chase a pour lui frémi de 0,26%, s'apprêtant à payer environ 900 millions d'USD afin d'échapper aux accusations des autorités américaines et britanniques selon lesquelles le manque de garde-fous internes lui avait permis de fournir des informations frauduleuses concernant ses pertes de l'année dernière à son conseil d'administration.
Sur le front technologique, le quotidien économique Wall Street Journal a annoncé que Blackberry s'apprêtait à licencier jusqu'à 40% de son personnel d'ici la fin d'année.
Son concurrent Apple engrangeait pour sa part 0,80% avant le début des hostilités, après que les premiers tests des nouveaux iPhones aient montré des réactions majoritairement positives concernant les modèles 5C et 5S.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter ConAgra et Rite Aid, dont les résultats trimestriels seront proclamés sous peu.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 s'élevait de 1,32%, le CAC 40 français de 1,09%, le DAX 30 allemand de 1,13% et le FTSE 100 britannique de 1,43%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 1,67%, et le Nikkei 225 japonais 1,80%.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec le décompte hebdomadaire de leurs nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que l'indice manufacturier de la région de Philadelphie et des informations sur les transactions portant sur les logements d'occasion.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une progression de 0,35%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,46% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,42%.
La banque centrale des Etats-Unis s'est en effet retenue hier de mettre un frein à ses 85 milliards d'USD de rachats d'actifs mensuels, rappelant déterminer son cap en fonction "des besoins de l'économie", même si elle doit pour cela aller à l'encontre des rumeurs.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, a déclaré à l'issue des deux jours de réunion qu'il souhaitait "attendre encore pour tâcher d'obtenir des preuves tangibles" que l'économie se consolide sur le long terme.
Il a aussi refusé de s'engager à procéder à un tour de vis dès cette année, rappelant que les orientations "n'étaient pas prédéterminées".
Ses projections de croissance pour 2013 ont aussi vu leur fourchette rabaissée depuis les 2,3 à 2,6% anticipés en juin vers 2,0 à 2,3%.
Les entreprises spécialisées dans les matières premières étaient sur le devant de la scène, ces dernières ayant vu leurs cours remonter grâce à l'absence d'assèchement des perfusions d'argent frais, Royal Gold, dont l'or est le cheval de bataille, grignotant 0,04% après la clôture après s'être envolé de plus de 8% hier, Freeport-McMoRan, aussi centré sur le cuivre, prenant 0,23% dans le même temps.
La finance était une fois de plus en ébullition, Wells Fargo ayant exprimé son intention de supprimer 1.800 emplois de plus dans les prêts immobiliers, la hausse des taux appliqués aux emprunts nuisant aux demandes de refinancement.
JP Morgan-Chase a pour lui frémi de 0,26%, s'apprêtant à payer environ 900 millions d'USD afin d'échapper aux accusations des autorités américaines et britanniques selon lesquelles le manque de garde-fous internes lui avait permis de fournir des informations frauduleuses concernant ses pertes de l'année dernière à son conseil d'administration.
Sur le front technologique, le quotidien économique Wall Street Journal a annoncé que Blackberry s'apprêtait à licencier jusqu'à 40% de son personnel d'ici la fin d'année.
Son concurrent Apple engrangeait pour sa part 0,80% avant le début des hostilités, après que les premiers tests des nouveaux iPhones aient montré des réactions majoritairement positives concernant les modèles 5C et 5S.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter ConAgra et Rite Aid, dont les résultats trimestriels seront proclamés sous peu.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la hausse, l'EURO STOXX 50 s'élevait de 1,32%, le CAC 40 français de 1,09%, le DAX 30 allemand de 1,13% et le FTSE 100 britannique de 1,43%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong prenait 1,67%, et le Nikkei 225 japonais 1,80%.
Les Etats-Unis comptent de leur côté conclure la journée avec le décompte hebdomadaire de leurs nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que l'indice manufacturier de la région de Philadelphie et des informations sur les transactions portant sur les logements d'occasion.