Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture en retrait ce jeudi après-midi, dans l'expectative des chiffres hebdomadaires de l'emploi aux Etats-Unis, dans l'ombre persistante de la paralysie de leurs administrations.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,25%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,3% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,2%.
La nervosité était palpable en raison de la crainte que la mise à pied partielle des fonctionnaires des Etats-Unis nuise à leur reprise au quatrième trimestre.
Le président Barack Obama s'est réuni hier avec les chefs des factions démocrate et républicaine du parlement, mais aucune solution ne semblait vouloir émerger.
Les observateurs ruminaient aussi les conséquences possibles de ces chicaneries sur les négociations visant à relever le plafond d'endettement maximal du pays, qui devrait, d'après le ministère des finances, être dépassé le 17 octobre.
L'agence de notation Moody's Investor Services a averti qu'un échec sur cette question entraînerait des turbulences sur les marchés financiers dépassant celles causées par un simple dysfonctionnement des services de l'état.
Les autorités comptaient de leur côté conclure la journée avec leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que le volume des commandes auprès des usines, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements fournira son rapport sur l'activité tertiaire.
Mais la publication d'autres statistiques économiques de la semaine, y compris du rapport mensuel crucial sur l'emploi attendu vendredi, pourrait être retardée.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Constellation Brands, dont les résultats seront proclamés sous peu.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 chutant de 0,1%, le CAC 40 français de 0,3% et le DAX 30 allemand demeurant neutre, tandis que le FTSE 100 britannique arrachait 0,3%.
L'Europe ne cédait toutefois pas à la morosité après que le premier ministre italien Enrico Letta ait surmonté un vote de confiance devant le parlement, après que Silvio Berlusconi ait retourné sa veste en abandonnant son opposition à la coalition, après avoir pourtant annoncé samedi le retrait des ministres de son parti du gouvernement.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, a d'autre part rappelé que la région subissait des risques économiques négatifs, et que ses taux d'intérêt demeureraient à leur niveau actuel ou plus bas "pour encore longtemps", en raison de prévisions d'inflation minime et d'une croissance anecdotique.
Il a aussi ajouté qu'elle demeurait prête à procéder au besoin à de nouveaux apports de capitaux à des coûts dérisoires pour les banques, afin d'encourager la reprise.
Il avait auparavant été montré que les services du Royaume-Uni avaient bien résisté le mois dernier, tout en s'accrochant à un pic de sept ans.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet vu son baromètre de l'activité tertiaire britannique se rétracter depuis 60,5 vers 60,3 pour septembre, alors qu'une érosion à 60,0 était redoutée.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0,37% et le Hang Seng de Hong Kong 0,9%, alors que le Nikkei 225 japonais trébuchait de 0,09%.
Une étude officielle avait signalé à l'aube que l'indice des directeurs des achats du secteur non manufacturier chinois était passé de 53,9 à 55,4 pour septebre, son plus haut niveau en six mois.
Cette belle performance est venue apaiser les craintes concernant la relance de la seconde économie mondiale, profitant du coup aux bourses régionales.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,25%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,3% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,2%.
La nervosité était palpable en raison de la crainte que la mise à pied partielle des fonctionnaires des Etats-Unis nuise à leur reprise au quatrième trimestre.
Le président Barack Obama s'est réuni hier avec les chefs des factions démocrate et républicaine du parlement, mais aucune solution ne semblait vouloir émerger.
Les observateurs ruminaient aussi les conséquences possibles de ces chicaneries sur les négociations visant à relever le plafond d'endettement maximal du pays, qui devrait, d'après le ministère des finances, être dépassé le 17 octobre.
L'agence de notation Moody's Investor Services a averti qu'un échec sur cette question entraînerait des turbulences sur les marchés financiers dépassant celles causées par un simple dysfonctionnement des services de l'état.
Les autorités comptaient de leur côté conclure la journée avec leur décompte hebdomadaire des nouvelles inscriptions au chômage, ainsi que le volume des commandes auprès des usines, tandis que l'institut de gestion des approvisionnements fournira son rapport sur l'activité tertiaire.
Mais la publication d'autres statistiques économiques de la semaine, y compris du rapport mensuel crucial sur l'emploi attendu vendredi, pourrait être retardée.
Parmi les actions à surveiller, on pouvait noter Constellation Brands, dont les résultats seront proclamés sous peu.
Les bourses européennes étaient quand à elles plutôt mitigées, l'EURO STOXX 50 chutant de 0,1%, le CAC 40 français de 0,3% et le DAX 30 allemand demeurant neutre, tandis que le FTSE 100 britannique arrachait 0,3%.
L'Europe ne cédait toutefois pas à la morosité après que le premier ministre italien Enrico Letta ait surmonté un vote de confiance devant le parlement, après que Silvio Berlusconi ait retourné sa veste en abandonnant son opposition à la coalition, après avoir pourtant annoncé samedi le retrait des ministres de son parti du gouvernement.
Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, a d'autre part rappelé que la région subissait des risques économiques négatifs, et que ses taux d'intérêt demeureraient à leur niveau actuel ou plus bas "pour encore longtemps", en raison de prévisions d'inflation minime et d'une croissance anecdotique.
Il a aussi ajouté qu'elle demeurait prête à procéder au besoin à de nouveaux apports de capitaux à des coûts dérisoires pour les banques, afin d'encourager la reprise.
Il avait auparavant été montré que les services du Royaume-Uni avaient bien résisté le mois dernier, tout en s'accrochant à un pic de sept ans.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet vu son baromètre de l'activité tertiaire britannique se rétracter depuis 60,5 vers 60,3 pour septembre, alors qu'une érosion à 60,0 était redoutée.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0,37% et le Hang Seng de Hong Kong 0,9%, alors que le Nikkei 225 japonais trébuchait de 0,09%.
Une étude officielle avait signalé à l'aube que l'indice des directeurs des achats du secteur non manufacturier chinois était passé de 53,9 à 55,4 pour septebre, son plus haut niveau en six mois.
Cette belle performance est venue apaiser les craintes concernant la relance de la seconde économie mondiale, profitant du coup aux bourses régionales.