Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture en retrait ce mercredi après-midi, sur fond d'inquiétudes grandissantes causées par l'impasse budgétaire à Washington.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,6%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,75% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,55%.
Les autorités des Etats-Unis on en effet vu la prolongation de la paralysie partielle de leurs services suite à l'échec des négociations au sujet du budget.
Cette paralysie pourrait du coup repousser la publication des statistiques économiques de la semaine, y compris du rapport mensuel crucial sur l'emploi attendu vendredi.
L'agence de gestion des ressources humaines ADP publiera par contre bien le sien aujourd'hui.
Le parlement se trouvera d'autre part bientôt contraint de relever le plafond d'endettement maximal de 16,7 billions d'USD du pays, qui devrait, d'après le ministère des finances, être dépassé le 17 octobre.
L'agence de notation Moody's Investor Services a averti qu'un échec sur cette question entraînerait des turbulences sur les marchés financiers dépassant celles causées par un simple dysfonctionnement des services de l'état.
Monsanto, premier grainetier de la planète, était sous les feux de la rampe, alors qu'il s'apprêtait à révéler ses résultats avant la cloche d'ouverture.
Les bourses européennes étaient quand à elles divisées, dans dans l'expectative de la prise de cap imminente de la Banque Centrale Européenne.
L'EURO STOXX 50 grimpait de 0,7%, le CAC 40 français de 0,75% et le DAX 30 allemand de 0,6%, tandis que le FTSE 100 britannique laissait échapper 0,2%.
En Italie, le premier ministre Enrico Letta s'apprêtait à affronter aujourd'hui un vote de confiance devant le parlement, après que Silvio Berlusconi ait annoncé samedi le retrait de ses ministres du gouvernement de coalition.
Il avait auparavant été montré que le domaine de la construction britannique avait légèrement levé le pied le mois passé, tout en se maintenant aux abords de son meilleur niveau depuis six ans.
Le groupe de recherches économiques Markit avait ainsi constaté une érosion de son indice des directeurs des achats des entrepreneurs de travaux du Royaume-Uni depuis les 59,1 d'août vers 58,9, au lieu des 59,2 espérés.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0,17% et le Hang Seng de Hong Kong 0,45%, tandis que le Nikkei 225 japonais dérapait de 2,17%.
Tokyo subissaient aussi l'annonce faite après la clôture de la veille par Shinzo Abe, premier ministre sur le retour, d'une augmentation de la taxe sur la valeur ajoutée, malgré les mesures stimulatrices destinées à en mitiger les effets.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0,6%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0,75% et celles sur le Nasdaq 100 à 0,55%.
Les autorités des Etats-Unis on en effet vu la prolongation de la paralysie partielle de leurs services suite à l'échec des négociations au sujet du budget.
Cette paralysie pourrait du coup repousser la publication des statistiques économiques de la semaine, y compris du rapport mensuel crucial sur l'emploi attendu vendredi.
L'agence de gestion des ressources humaines ADP publiera par contre bien le sien aujourd'hui.
Le parlement se trouvera d'autre part bientôt contraint de relever le plafond d'endettement maximal de 16,7 billions d'USD du pays, qui devrait, d'après le ministère des finances, être dépassé le 17 octobre.
L'agence de notation Moody's Investor Services a averti qu'un échec sur cette question entraînerait des turbulences sur les marchés financiers dépassant celles causées par un simple dysfonctionnement des services de l'état.
Monsanto, premier grainetier de la planète, était sous les feux de la rampe, alors qu'il s'apprêtait à révéler ses résultats avant la cloche d'ouverture.
Les bourses européennes étaient quand à elles divisées, dans dans l'expectative de la prise de cap imminente de la Banque Centrale Européenne.
L'EURO STOXX 50 grimpait de 0,7%, le CAC 40 français de 0,75% et le DAX 30 allemand de 0,6%, tandis que le FTSE 100 britannique laissait échapper 0,2%.
En Italie, le premier ministre Enrico Letta s'apprêtait à affronter aujourd'hui un vote de confiance devant le parlement, après que Silvio Berlusconi ait annoncé samedi le retrait de ses ministres du gouvernement de coalition.
Il avait auparavant été montré que le domaine de la construction britannique avait légèrement levé le pied le mois passé, tout en se maintenant aux abords de son meilleur niveau depuis six ans.
Le groupe de recherches économiques Markit avait ainsi constaté une érosion de son indice des directeurs des achats des entrepreneurs de travaux du Royaume-Uni depuis les 59,1 d'août vers 58,9, au lieu des 59,2 espérés.
En fin de séance asiatique, l'ASX/200 australien prenait 0,17% et le Hang Seng de Hong Kong 0,45%, tandis que le Nikkei 225 japonais dérapait de 2,17%.
Tokyo subissaient aussi l'annonce faite après la clôture de la veille par Shinzo Abe, premier ministre sur le retour, d'une augmentation de la taxe sur la valeur ajoutée, malgré les mesures stimulatrices destinées à en mitiger les effets.