Investing.com - Les options sur les actions américaines pointaient vers une ouverture plutôt pessimiste ce mardi, à l'esprit les difficultés entraînées par le problème du surendettement européen avant la publication des performances du poids lourd technologique qu'est Apple après la clôture des transactions.
L'attention se concentrera en attendant sur celles d'United Parcel Service, ainsi que sur AT&T, faisant partie de l'indice-phare des places américaines, prévues avant les premiers échanges.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.15%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.2% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.25%.
Madrid avait émis à la mi-journée pour 3.02 milliards d'euros en bons du trésor à trois et six mois, mais à des taux plus élevés que le mois dernier.
Le taux des obligations décennales nationales s'est quand à lui élevé à 7.59%, un niveau jamais vu depuis l'adoption de la monnaie unique, et dépassant largement le seuil critique des 7%, généralement estimé intenable à long terme pour éviter la faillite.
La nervosité restait également de mise, l'agence de notation Moody's ayant rabaissé après la clôture des marchés américains sa perspective de l'Allemagne, des Pays-Bas et du Luxembourg, tous notés AAA, de "stable" vers "négative".
Elle a invoqué la possibilité d'un départ de Grèce hors de la zone euro et les conséquences qu'un tel évènement aurait sur l'Espagne et l'Italie.
Dans le reste de la région, il avait été montré ce matin que l'activité manufacturière de l'Allemagne avait plongé ce mois-ci à son plus bas niveau en plus de trois ans.
Il était d'autre part à noter que celle de la zone euro avait subi dans le même temps son repli le plus rapide depuis mai 2009, et celle de la France le plus important depuis 38 mois.
Ces mauvaises nouvelles ont fait oublier la confiance qui était pourtant quelque peu revenue en début de matinée, après qu'il ait été révélé dans la nuit que l'indice HSBC des directeurs des achats chinois était remonté depuis 48.2 vers 49.5 pour juillet, son niveau le plus élevé depuis février.
Il demeurait cependant sous la barre des 50 séparant la régression et l'expansion, mais cette amélioration a tout de même apaisé l'angoisse d'un ralentissement de la seconde économie mondiale.
Du côté des entreprises révélant leurs performances, Texas Instruments, premier fabricant mondial de puces électroniques analogiques, a subi un repli de 0.2% malgré des bénéfices dépassant les attentes dévoilés après la clôture d'hier.
Le poids lourd de l'informatique redoute en effet que ses ventes et ses bénéfices soient inférieurs aux attentes pour le troisième trimestre, en raison de la faiblesse de la demande européenne.
DuPont a pour sa part glissé de 0.45% suite à l'aveu d'une chute de 3.2% de ses profits d'avril à juin, l'augmentation des prix de vente du géant de la chimie se trouvant compensée par une baisse des volumes écoulés, ainsi que des taux de change peu favorables.
La firme à la pomme a par contre grignoté 0.1% dans l'expectative de la divulgation de son rapport très attendu concernant ses résultats du troisième trimestre fical.
Des recettes de 10.36 USD par action sont espérés, pour un total de 37.23 milliards d'USD.
UPS, AT&T et Lockheed Martin prévoyaient de communiquer leurs résultats avant l'ouverture, Broadcom, Netflix et Juniper Networks préférant attendre la fin de la session.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.45%, le CAC 40 français de 0.1%, le DAX 30 allemand de 0.15% et le FTSE 100 britannique de 0.15%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong a laissé échapper 0.95%, et le Nikkei 225 japonais 0.25%.
Les Etats-Unis diffuseront pour leur part dans l'après-midi leurs premières évaluations de l'activité manufacturière, tandis que Ben Bernanke, chef de la Réserve Fédérale, prendra la parole.
L'attention se concentrera en attendant sur celles d'United Parcel Service, ainsi que sur AT&T, faisant partie de l'indice-phare des places américaines, prévues avant les premiers échanges.
Celles sur le Dow Jones prévoyaient alors une régression de 0.15%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.2% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.25%.
Madrid avait émis à la mi-journée pour 3.02 milliards d'euros en bons du trésor à trois et six mois, mais à des taux plus élevés que le mois dernier.
Le taux des obligations décennales nationales s'est quand à lui élevé à 7.59%, un niveau jamais vu depuis l'adoption de la monnaie unique, et dépassant largement le seuil critique des 7%, généralement estimé intenable à long terme pour éviter la faillite.
La nervosité restait également de mise, l'agence de notation Moody's ayant rabaissé après la clôture des marchés américains sa perspective de l'Allemagne, des Pays-Bas et du Luxembourg, tous notés AAA, de "stable" vers "négative".
Elle a invoqué la possibilité d'un départ de Grèce hors de la zone euro et les conséquences qu'un tel évènement aurait sur l'Espagne et l'Italie.
Dans le reste de la région, il avait été montré ce matin que l'activité manufacturière de l'Allemagne avait plongé ce mois-ci à son plus bas niveau en plus de trois ans.
Il était d'autre part à noter que celle de la zone euro avait subi dans le même temps son repli le plus rapide depuis mai 2009, et celle de la France le plus important depuis 38 mois.
Ces mauvaises nouvelles ont fait oublier la confiance qui était pourtant quelque peu revenue en début de matinée, après qu'il ait été révélé dans la nuit que l'indice HSBC des directeurs des achats chinois était remonté depuis 48.2 vers 49.5 pour juillet, son niveau le plus élevé depuis février.
Il demeurait cependant sous la barre des 50 séparant la régression et l'expansion, mais cette amélioration a tout de même apaisé l'angoisse d'un ralentissement de la seconde économie mondiale.
Du côté des entreprises révélant leurs performances, Texas Instruments, premier fabricant mondial de puces électroniques analogiques, a subi un repli de 0.2% malgré des bénéfices dépassant les attentes dévoilés après la clôture d'hier.
Le poids lourd de l'informatique redoute en effet que ses ventes et ses bénéfices soient inférieurs aux attentes pour le troisième trimestre, en raison de la faiblesse de la demande européenne.
DuPont a pour sa part glissé de 0.45% suite à l'aveu d'une chute de 3.2% de ses profits d'avril à juin, l'augmentation des prix de vente du géant de la chimie se trouvant compensée par une baisse des volumes écoulés, ainsi que des taux de change peu favorables.
La firme à la pomme a par contre grignoté 0.1% dans l'expectative de la divulgation de son rapport très attendu concernant ses résultats du troisième trimestre fical.
Des recettes de 10.36 USD par action sont espérés, pour un total de 37.23 milliards d'USD.
UPS, AT&T et Lockheed Martin prévoyaient de communiquer leurs résultats avant l'ouverture, Broadcom, Netflix et Juniper Networks préférant attendre la fin de la session.
Les bourses européennes étaient quand à elles nettement à la baisse, l'EURO STOXX 50 chutant de 0.45%, le CAC 40 français de 0.1%, le DAX 30 allemand de 0.15% et le FTSE 100 britannique de 0.15%.
En fin de séance asiatique, le Hang Seng de Hong Kong a laissé échapper 0.95%, et le Nikkei 225 japonais 0.25%.
Les Etats-Unis diffuseront pour leur part dans l'après-midi leurs premières évaluations de l'activité manufacturière, tandis que Ben Bernanke, chef de la Réserve Fédérale, prendra la parole.