Investing.com - L'euro s'est encore maintenu justte au-dessous d'un pic de presqu'un moi face au dollar U.S. ce lundi, la croissance décevante des Etats-Unis au premier trimestre continuant à peser sur ce dernier.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.3264 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3254, grignotant 0.02%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3156, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1.3366, son plafond du 3 avril.
Le département d'état au commerce a en effet indiqué que le produit intérieur brut américain avait augmenté de seulement 2.2% au cours de la période de trois mois achevée en mars, soit nettement moins que les 2.5% espérés.
Ces résultats médiocres laissaient d'autre part à penser que le Réserve Fédérale pourrait injecter davantage de liquidités pour soutenir la première économie mondiale, après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait laissé en début de semaine dernière la porte ouverte à de nouvelles mesures de stimulation économique suite à la réunion d'orientation de celle-ci, affirmant que ses décideurs étaient prêts à "faire davantage" au besoin.
Mais l'avancée de la monnaie unique demeurait limitée par les craintes concernant l'instabilité politique du bloc l'ayant adoptée, ainsi que les coûts élevés des prêts pour les membres périphériques de celui-ci.
L'Espagne a en effet subi une dégradation de deux crans par l'agence de notation Standard & Poor's, passant jeudi de A à BBB+ avec une perspective négative, invoquant les difficultés induites par la récession nationale dans la quête de réduction d'un des plus gros déficits régionaux par le gouvernement.
La devise européenne a par aileurs cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling et au yen, l'EUR/GBP trébuchant de 0.07% pour glisser vers 0.8142 et l'EUR/JPY laissant échapper 0.13% pour déraper vers 106.23.
La zone euro devrait d'autre part dévoiler aujourd'hui les évaluations préliminaires de son inflation.
Le gouvernement des Etats-Unis fera de même avec une série de résultats, concernant notamment les dépenses de consommation de base, l'augmentation des prix et les dépenses individuelles, mais aussi l'importance de l'activité des entreprises de la région de Chicago.
La paire EUR/USD est montée jusqu'à 1.3264 en fin de séance asiatique, son cours le plus élevé du jour, puis s'est stabilisée vers 1.3254, grignotant 0.02%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.3156, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 1.3366, son plafond du 3 avril.
Le département d'état au commerce a en effet indiqué que le produit intérieur brut américain avait augmenté de seulement 2.2% au cours de la période de trois mois achevée en mars, soit nettement moins que les 2.5% espérés.
Ces résultats médiocres laissaient d'autre part à penser que le Réserve Fédérale pourrait injecter davantage de liquidités pour soutenir la première économie mondiale, après que Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale des Etats-Unis, ait laissé en début de semaine dernière la porte ouverte à de nouvelles mesures de stimulation économique suite à la réunion d'orientation de celle-ci, affirmant que ses décideurs étaient prêts à "faire davantage" au besoin.
Mais l'avancée de la monnaie unique demeurait limitée par les craintes concernant l'instabilité politique du bloc l'ayant adoptée, ainsi que les coûts élevés des prêts pour les membres périphériques de celui-ci.
L'Espagne a en effet subi une dégradation de deux crans par l'agence de notation Standard & Poor's, passant jeudi de A à BBB+ avec une perspective négative, invoquant les difficultés induites par la récession nationale dans la quête de réduction d'un des plus gros déficits régionaux par le gouvernement.
La devise européenne a par aileurs cédé quelques pouces de terrain à la livre sterling et au yen, l'EUR/GBP trébuchant de 0.07% pour glisser vers 0.8142 et l'EUR/JPY laissant échapper 0.13% pour déraper vers 106.23.
La zone euro devrait d'autre part dévoiler aujourd'hui les évaluations préliminaires de son inflation.
Le gouvernement des Etats-Unis fera de même avec une série de résultats, concernant notamment les dépenses de consommation de base, l'augmentation des prix et les dépenses individuelles, mais aussi l'importance de l'activité des entreprises de la région de Chicago.