Investing.com - La monnaie unique était largement en berne face à la plupart de ses concurrents ce mercredi après qu'une étude ait montré que l'acctivité manufacturière de la zone où elle a cours était tombée à son pire niveau depuis juillet 2009, les angoisses concernant la notation triple A de la France envenimant encore la situation.
En première partie de séance européenne, elle a fléchi devant le dollar U.S., l'EUR/USD perdant 0.39% pour descendre à 1.3451.
Des résultats préliminaires ont en effet montré ce matin que l'indice de l'activité manufacturière de la zone euro avait reculé en novembre vers 46.4, son pire niveau en 28 mois, contre 47.1 en octobre.
Celui de l'Allemagne avait quand à lui chuté à 47.9 dans le même temps, sa plus basse valeur en 28 mois, alimentant l'angoisse d'une retour en récession de la zone euro.
Le secteur tertiaire de la région s'est légèrement repris de son côté, mais demeurait en contraction pour le troisième mois consécutif.
La devise européenne s'est trouvée mise sur la sellette par les rumeurs selon lesquelles la notation monétaire triple A de la France pourrait être en danger après que des journaux belges aient rapporté que la Belgique et la France tenaient de nouvelles négociations concernant un plan de secours déjà en place pour la banque Dexia.
Cette information a alimenté la crainte que la France ne doive y assumer un rôle de sauveteur plus important.
Elle a également cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP glissant de 0.1% pour trébucher à 0.8631.
Le compte-rendu détaillé de la réunion d'orientation de novembre de la Banque d'Angleterre avait auparavant montré que ses décideurs ne voyaient guère d'intérêt dans "l'ajustement" de leur programme de stimulation, votant à l'unanimité le maintien de son taux d'intérêt à 0.5% et du volume de son programme d'achats d'actifs à 275 milliards de GBP.
Elle a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'EUR/JPY reculant de 0.29% pour se retrouver à 103.63 et l'EUR/CHF laissant échapper 0.19% pour tomber à 1.2322.
La demande pour les valeurs sûres avait augmenté en début de matinée, l'indice préliminaire HSBC des directeurs des achats manufacturiers chinois ayant dégringolé vers son pire niveau en 32 mois, laissait à craindre un "atterrissage en catastrophe" de la deuxième économie mondiale.
Elle a par ailleurs dominé ses homologues australienne et néo-zélandaise, mais pas la canadienne, l'EUR/CAD régressant de 0.06% pour aller vers 1.4013, l'EUR/AUD raflant 0.39% pour monter à 1.3784 et l'EUR/NZD arrachant 0.06% pour culminer à 1.808.
Les Etats-Unis dévoileront quand à eux une série de résultats à la veille de la fête de thanksgiving, et notamment un rapport gouvernemental sur les commandes de biens durables, préfigurant leur volume de production, sans oublier le nombre des nouveaux inscrits au chômage, l'inventaire des réserves de pétrole brut, le taux d'inflation, le niveau des revenus individuels et celui des dépenses des particuliers.
L'université du Michigan fera enfin connaître de son côté son étude sur l'inflation attendue et le moral des consommateurs.
En première partie de séance européenne, elle a fléchi devant le dollar U.S., l'EUR/USD perdant 0.39% pour descendre à 1.3451.
Des résultats préliminaires ont en effet montré ce matin que l'indice de l'activité manufacturière de la zone euro avait reculé en novembre vers 46.4, son pire niveau en 28 mois, contre 47.1 en octobre.
Celui de l'Allemagne avait quand à lui chuté à 47.9 dans le même temps, sa plus basse valeur en 28 mois, alimentant l'angoisse d'une retour en récession de la zone euro.
Le secteur tertiaire de la région s'est légèrement repris de son côté, mais demeurait en contraction pour le troisième mois consécutif.
La devise européenne s'est trouvée mise sur la sellette par les rumeurs selon lesquelles la notation monétaire triple A de la France pourrait être en danger après que des journaux belges aient rapporté que la Belgique et la France tenaient de nouvelles négociations concernant un plan de secours déjà en place pour la banque Dexia.
Cette information a alimenté la crainte que la France ne doive y assumer un rôle de sauveteur plus important.
Elle a également cédé du terrain à la livre sterling, l'EUR/GBP glissant de 0.1% pour trébucher à 0.8631.
Le compte-rendu détaillé de la réunion d'orientation de novembre de la Banque d'Angleterre avait auparavant montré que ses décideurs ne voyaient guère d'intérêt dans "l'ajustement" de leur programme de stimulation, votant à l'unanimité le maintien de son taux d'intérêt à 0.5% et du volume de son programme d'achats d'actifs à 275 milliards de GBP.
Elle a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'EUR/JPY reculant de 0.29% pour se retrouver à 103.63 et l'EUR/CHF laissant échapper 0.19% pour tomber à 1.2322.
La demande pour les valeurs sûres avait augmenté en début de matinée, l'indice préliminaire HSBC des directeurs des achats manufacturiers chinois ayant dégringolé vers son pire niveau en 32 mois, laissait à craindre un "atterrissage en catastrophe" de la deuxième économie mondiale.
Elle a par ailleurs dominé ses homologues australienne et néo-zélandaise, mais pas la canadienne, l'EUR/CAD régressant de 0.06% pour aller vers 1.4013, l'EUR/AUD raflant 0.39% pour monter à 1.3784 et l'EUR/NZD arrachant 0.06% pour culminer à 1.808.
Les Etats-Unis dévoileront quand à eux une série de résultats à la veille de la fête de thanksgiving, et notamment un rapport gouvernemental sur les commandes de biens durables, préfigurant leur volume de production, sans oublier le nombre des nouveaux inscrits au chômage, l'inventaire des réserves de pétrole brut, le taux d'inflation, le niveau des revenus individuels et celui des dépenses des particuliers.
L'université du Michigan fera enfin connaître de son côté son étude sur l'inflation attendue et le moral des consommateurs.