Investing.com - Le dollar U.S. restait mitigé face à la plupart de ses concurrents ce jeudi après-midi, dans l'expectative de la prise de cap de la Réserve Fédérale, sur fond de rumeurs concernant les mesures qu'elle pourrait prendre pour redonner de l'élan à la croissance nationale.
En seconde partie de séance européenne, il a moins fléchi devant l'euro, l'EUR/USD grignotant 0.07% pour grimper à 1.2909.
Les conclusions de la prise de cap de la Fed d'aujourd'hui se trouvaient très surveillées, en raison des probabilité grandissantes que celle-ci lance une troisième série d'injections de capitaux afin de renforcer la plus grosse économie mondiale.
L'unité monétaire européenne a également bénéficié de la réussite en fin de matinée d'une émission de bons du trésor italiens, dont les coûts ont continué à plonger, signe d'un regain de confiance dans la capacité des dirigeants européens à lutter plus efficacement contre la crise de la dette régionale.
Elle avait déjà gagné des partisans avec l'approbation hier par la plus haute instance judiciaire de l'Allemagne de la participation du pays au Mécanisme Européen de Stabilité, le nouveau fonds de secours permanent du bloc euro.
Le billet vert par contre bien résisté la livre sterling, le GBP/USD stagnant à 1.6107.
Il a d'autre part subi la pression du yen, l'USD/JPY perdant 0.25% pour se retrouver à 77.66, mais pas celle du franc suisse, l'USD/CHF gagnant 0.2% pour s'élever à 0.9391.
La Banque Nationale Suisse avait auparavant annoncé le maintien de son taux directeur à son niveau précédent, et réaffirmé son engagement dans la défense du taux plancher de sa devise à 1.2 par euro.
Elle a revu à la baisse ses prévisions d'inflation pour l'année en cours jusqu'à 0.6%, au lieu des 0.5% précédemment envisagés, de même que pour la croissance, passant des 1.5% espérés en juin à environ 1%, estimant que les risques de perte de vitesse de l'économie demeuraient élevés "à court terme".
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et néo-zélandaise, mais pas par l'australienne, l'USD/CAD régressant de 0.08% pour aller vers 0.9754, l'AUD/USD glissant de 0.17% pour chuter à 1.0447 et le NZD/USD encaissant 0.3% pour culminer à 0.8235.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande avait pour sa part gardé sans surprise en début de matinée un taux de base à 2.5%, sa plus faible valeur historique.
Son gouverneur Alan Bollard a précisé qu'il semblait peu utile de relever les frais liés aux emprunts jusqu'au second semestre 2013, en raison des risques découlant de la crise de la dette de la zone euro et des perspectives de croissance de ses partenaires commenciaux, parmi lesquels la Chine tient une place prépondérante.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.07% pour se situer à 79.83.
Le gouvernement des Etats-Unis comptait de son côté fournir cet après-midi ses informations sur les variations des coûts de production, ainsi que son dénombrement hebdomadaire des inscriptions au chômage.
Il ne faudra pas non plus négliger la Fed, qui annoncera son taux directeur, suivi d'un commentaire de la part de son chef, M. Bernanke.
En seconde partie de séance européenne, il a moins fléchi devant l'euro, l'EUR/USD grignotant 0.07% pour grimper à 1.2909.
Les conclusions de la prise de cap de la Fed d'aujourd'hui se trouvaient très surveillées, en raison des probabilité grandissantes que celle-ci lance une troisième série d'injections de capitaux afin de renforcer la plus grosse économie mondiale.
L'unité monétaire européenne a également bénéficié de la réussite en fin de matinée d'une émission de bons du trésor italiens, dont les coûts ont continué à plonger, signe d'un regain de confiance dans la capacité des dirigeants européens à lutter plus efficacement contre la crise de la dette régionale.
Elle avait déjà gagné des partisans avec l'approbation hier par la plus haute instance judiciaire de l'Allemagne de la participation du pays au Mécanisme Européen de Stabilité, le nouveau fonds de secours permanent du bloc euro.
Le billet vert par contre bien résisté la livre sterling, le GBP/USD stagnant à 1.6107.
Il a d'autre part subi la pression du yen, l'USD/JPY perdant 0.25% pour se retrouver à 77.66, mais pas celle du franc suisse, l'USD/CHF gagnant 0.2% pour s'élever à 0.9391.
La Banque Nationale Suisse avait auparavant annoncé le maintien de son taux directeur à son niveau précédent, et réaffirmé son engagement dans la défense du taux plancher de sa devise à 1.2 par euro.
Elle a revu à la baisse ses prévisions d'inflation pour l'année en cours jusqu'à 0.6%, au lieu des 0.5% précédemment envisagés, de même que pour la croissance, passant des 1.5% espérés en juin à environ 1%, estimant que les risques de perte de vitesse de l'économie demeuraient élevés "à court terme".
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines canadienne et néo-zélandaise, mais pas par l'australienne, l'USD/CAD régressant de 0.08% pour aller vers 0.9754, l'AUD/USD glissant de 0.17% pour chuter à 1.0447 et le NZD/USD encaissant 0.3% pour culminer à 0.8235.
La Réserve Bancaire de Nouvelle-Zélande avait pour sa part gardé sans surprise en début de matinée un taux de base à 2.5%, sa plus faible valeur historique.
Son gouverneur Alan Bollard a précisé qu'il semblait peu utile de relever les frais liés aux emprunts jusqu'au second semestre 2013, en raison des risques découlant de la crise de la dette de la zone euro et des perspectives de croissance de ses partenaires commenciaux, parmi lesquels la Chine tient une place prépondérante.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.07% pour se situer à 79.83.
Le gouvernement des Etats-Unis comptait de son côté fournir cet après-midi ses informations sur les variations des coûts de production, ainsi que son dénombrement hebdomadaire des inscriptions au chômage.
Il ne faudra pas non plus négliger la Fed, qui annoncera son taux directeur, suivi d'un commentaire de la part de son chef, M. Bernanke.