Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a clôturé sur un repli de 0,38% mercredi, alors que les investisseurs attendaient un vote sur le plafond de la dette américaine plus tard dans la journée.
Sur le front des statistiques, le climat général des affaires en France est resté stable à 87 points en janvier, tandis que l’indicateur pour l’industrie a reculé de 3 points à 86, selon l’Insee.
En Grande-Bretagne, le nombre de demandeurs d’emplois a diminué de 12.100 à 1,55 million en décembre, son plus bas niveau depuis juin 2011. Sur les trois mois à fin novembre, le taux de chômage a diminué de 0,2 point à 7,7% de la population active, du jamais vu depuis la période février-avril 2011.
Du côté des valeurs, les banques signaient les plus fortes baisses en fin de séance. BNP Paribas abandonnait 2,44% à la clôture, tandis que Société Générale et Crédit Agricole pliaient de 3,70% et 2,62% respectivement.
Egalement dans le rouge, France Télécom reculait de 2,87% à la fermeture du marché, alors que Bernstein a dégradé le titre de "performance en ligne" à "sous-performance" et abaissé son objectif de cours de 8,40 à 7,25 euros.
Dans le secteur automobile, Renault cédait 1,16% en fin de journée, après avoir indiqué qu’il sera forcé de réagir en cas de rejet par les syndicats de l’accord de compétitivité présenté mardi.
Le groupe propose un gel des salaires en échange de la production dans ses usines françaises de véhicules de ses partenaires Nissan ou Daimler.
A l'inverse, Sanofi gagnait 0,45% à la clôture du CAC 40, soutenu par les prévisions de son concurrent suisse Novartis, qui compte renouer avec la croissance de ses ventes à partir de 2014.
Enfin, Danone gagnait aussi du terrain et s'octroyait 1,21% en fin de journée, boosté par la croissance supérieure aux attentes des ventes d’Unilever au quatrième trimestre.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 cédait 0,30%, le DAX avançait de 0,18% et le Footsie 100 progressait de 0,37%.
Aucun indicateur majeur n'était attendu en provenance des Etats-Unis.
Sur le front des statistiques, le climat général des affaires en France est resté stable à 87 points en janvier, tandis que l’indicateur pour l’industrie a reculé de 3 points à 86, selon l’Insee.
En Grande-Bretagne, le nombre de demandeurs d’emplois a diminué de 12.100 à 1,55 million en décembre, son plus bas niveau depuis juin 2011. Sur les trois mois à fin novembre, le taux de chômage a diminué de 0,2 point à 7,7% de la population active, du jamais vu depuis la période février-avril 2011.
Du côté des valeurs, les banques signaient les plus fortes baisses en fin de séance. BNP Paribas abandonnait 2,44% à la clôture, tandis que Société Générale et Crédit Agricole pliaient de 3,70% et 2,62% respectivement.
Egalement dans le rouge, France Télécom reculait de 2,87% à la fermeture du marché, alors que Bernstein a dégradé le titre de "performance en ligne" à "sous-performance" et abaissé son objectif de cours de 8,40 à 7,25 euros.
Dans le secteur automobile, Renault cédait 1,16% en fin de journée, après avoir indiqué qu’il sera forcé de réagir en cas de rejet par les syndicats de l’accord de compétitivité présenté mardi.
Le groupe propose un gel des salaires en échange de la production dans ses usines françaises de véhicules de ses partenaires Nissan ou Daimler.
A l'inverse, Sanofi gagnait 0,45% à la clôture du CAC 40, soutenu par les prévisions de son concurrent suisse Novartis, qui compte renouer avec la croissance de ses ventes à partir de 2014.
Enfin, Danone gagnait aussi du terrain et s'octroyait 1,21% en fin de journée, boosté par la croissance supérieure aux attentes des ventes d’Unilever au quatrième trimestre.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 cédait 0,30%, le DAX avançait de 0,18% et le Footsie 100 progressait de 0,37%.
Aucun indicateur majeur n'était attendu en provenance des Etats-Unis.