Investing.com - Le dollar U.S. était nettement en forme face à la plupart de ses concurrents ce vendredi, dans l'expectative des chiffres de l'emploi américain d'aujourd'hui, le moral demeurant sapé par le spectre de la dette de la zone euro.
En fin de première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.48% pour tomber à 1.2878.
Ses pertes se sont en effet aggravées après qu'il ait été montré que l'indicateur espagnol des directions d'achats manufacturiers avait subi en octobre une déconvenue supérieure aux craintes, plongeant de 44.6 à 43.5.
Les experts redoutaient déjà de le voir sombrer à 44.
Son équivalent italien est quand à lui passé de 45.7 à 45.5 dans le même temps, alors qu'un sursaut à 45.9 était espéré.
La circonspection était toujours à l'ordre du jour, en raison des incertitudes concernant l'éventuel appel au secours de Madrid, ainsi que l'attribution ou non de la prochaine tranche d'aides à Athènes.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.18% pour chuter à 1.6102.
Le groupe de recherches économiques Markit avait pourtant annoncé que son indice des directeurs des achats du secteur du bâtiment avait grimpé de 49.5 à 50.9 le mois dernier.
Les experts avaient craint qu'il ne glisse à 49.1 pour la période considérée.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0.16% pour se hisser à 80.25 et l'USD/CHF grignotant 0.58% pour culminer à 0.9373.
La Banque du Japon s'était engagée à l'aube dans le compte-rendu de sa réunion précédente à continuer à soutenir l'économie nationale pendant que celle-ci retrouvait un niveau normal.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.09% pour monter à 0.9973, l'AUD/USD cédant 0.2% pour se retrouver à 1.0379 et le NZD/USD se laissant arracher 0.03% pour toucher le fond à 0.8266.
Une étude émanant des autorités d'Australie avait mis en évidence à l'aube une iflation des coûts de production nationaux bien inférieure aux prévisions, frémissant de 0.06% au lieu des 0.5% du trimestre précédent.
Les spécialistes la situaient plutôt à 1.2%.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.37% pour se situer à 80.42.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec un rapport gouvernemental très attendu portant sur leur masse salariale non agricole, ainsi qu'avec leur taux des demandeurs d'emploi, le niveau de leurs revenus moyens, et enfin le volume des commandes passées auprès des usines.
En fin de première partie de séance européenne, l'euro a fléchi devant lui, l'EUR/USD perdant 0.48% pour tomber à 1.2878.
Ses pertes se sont en effet aggravées après qu'il ait été montré que l'indicateur espagnol des directions d'achats manufacturiers avait subi en octobre une déconvenue supérieure aux craintes, plongeant de 44.6 à 43.5.
Les experts redoutaient déjà de le voir sombrer à 44.
Son équivalent italien est quand à lui passé de 45.7 à 45.5 dans le même temps, alors qu'un sursaut à 45.9 était espéré.
La circonspection était toujours à l'ordre du jour, en raison des incertitudes concernant l'éventuel appel au secours de Madrid, ainsi que l'attribution ou non de la prochaine tranche d'aides à Athènes.
Le billet vert a également gagné du terrain sur la livre sterling, le GBP/USD glissant de 0.18% pour chuter à 1.6102.
Le groupe de recherches économiques Markit avait pourtant annoncé que son indice des directeurs des achats du secteur du bâtiment avait grimpé de 49.5 à 50.9 le mois dernier.
Les experts avaient craint qu'il ne glisse à 49.1 pour la période considérée.
Le yen et le franc suisse ont aussi subi sa pression, l'USD/JPY grimpant de 0.16% pour se hisser à 80.25 et l'USD/CHF grignotant 0.58% pour culminer à 0.9373.
La Banque du Japon s'était engagée à l'aube dans le compte-rendu de sa réunion précédente à continuer à soutenir l'économie nationale pendant que celle-ci retrouvait un niveau normal.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs dominé ses cousines canadienne, australienne et néo-zélandaise, l'USD/CAD prenant 0.09% pour monter à 0.9973, l'AUD/USD cédant 0.2% pour se retrouver à 1.0379 et le NZD/USD se laissant arracher 0.03% pour toucher le fond à 0.8266.
Une étude émanant des autorités d'Australie avait mis en évidence à l'aube une iflation des coûts de production nationaux bien inférieure aux prévisions, frémissant de 0.06% au lieu des 0.5% du trimestre précédent.
Les spécialistes la situaient plutôt à 1.2%.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a engrangé 0.37% pour se situer à 80.42.
Les Etats-Unis comptaient de leur côté conclure la semaine avec un rapport gouvernemental très attendu portant sur leur masse salariale non agricole, ainsi qu'avec leur taux des demandeurs d'emploi, le niveau de leurs revenus moyens, et enfin le volume des commandes passées auprès des usines.