Investing.com - Les bourses européennes étaient partagées ce vendredi matin, la prudence restant de mise à l'approche de la révélation du baromètre des affaires allemandes, tandis que les résultats régionaux majoritairement positifs d'hier continuaient à soutenir l'ambiance.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressait de 0.05%, le CAC 40 français arrachait 0.04%, et le DAX 30 allemand 0.13%.
L'atmosphère s'est en effet nettement éclaircie après qu'il ait été montré hier que l'indice préliminaire des directeurs des achats manufacturiers germaniques était remonté de 46 vers 48.8 pour janvier, demeurant toutefois au-dessous des 50 dénotant une croissance du secteur, tandis que celui de la région entière redressait la tête depuis 46.1 vers 47.5 dans le même temps.
Le moral s'est encore trouvé renforcé par le département d'état au travail américain, constatant que le nombre des personnes ayant déposé une demande d'allocations chômage aux Etats-Unis au cours de la semaine achevée le 19 janvier avait plongé au plus bas depuis janvier 2008.
La finance était divisée, les français BNP Paribas et Société Générale grignotant respectivement 0.11 et 0.06%, mais les allemands Commerzbank et Deutsche Bank cédaient 0.24 et 0.17%.
L'agence de presse Bloomberg a signalé en début de journée qu'un des plus gros opérateurs de cette dernière avait perdu près de 40 millions d'euros de bonus suite à son licenciement pour avoir essayé de manipuler les taux d'intérêt.
Le constructeur automobile Volkswagen a pour sa part avancé de 0.21% après avoir déclaré vouloir déplacer la production pour l'Amérique de sa Golf, son vaisseau amiral, vers le Mexique.
Mais EADS était sur la défensive de 0.27%, après avoir annoncé que Manfred Bischoff, membre du conseil de supervision de Daimler AG et Hans-Peter Keitel, autrefois à la tête du groupe industriel BDI, rejoindraient sa direction.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a dérapé de 0.15%, tiré vers le bas par des exploitants en difficulté.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto ont ainsi fondu de 0.9 et 0.85%, leur rival Evraz faisant bien pire en s'effondrant de 1.71%.
La City était elle aussi sans direction tranchée, Barclays glissant de 0.02%, et Lloyds Banking de 0.39, tandis que HSBC Holdings et la Royal Bank of Scotland empochaient 0.09 et 0.25%.
Les perspectives des marchés américains étaient modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.04%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.03% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.15%.
L'institut Ifo pour la recherche économique comptait rendre aujourd'hui son rapport sur l'humeur des entreprises allemandes, après quoi les Etats-Unis concluront la semaine avec le nombre des ventes de maisons neuves enregistrées par les autorités.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressait de 0.05%, le CAC 40 français arrachait 0.04%, et le DAX 30 allemand 0.13%.
L'atmosphère s'est en effet nettement éclaircie après qu'il ait été montré hier que l'indice préliminaire des directeurs des achats manufacturiers germaniques était remonté de 46 vers 48.8 pour janvier, demeurant toutefois au-dessous des 50 dénotant une croissance du secteur, tandis que celui de la région entière redressait la tête depuis 46.1 vers 47.5 dans le même temps.
Le moral s'est encore trouvé renforcé par le département d'état au travail américain, constatant que le nombre des personnes ayant déposé une demande d'allocations chômage aux Etats-Unis au cours de la semaine achevée le 19 janvier avait plongé au plus bas depuis janvier 2008.
La finance était divisée, les français BNP Paribas et Société Générale grignotant respectivement 0.11 et 0.06%, mais les allemands Commerzbank et Deutsche Bank cédaient 0.24 et 0.17%.
L'agence de presse Bloomberg a signalé en début de journée qu'un des plus gros opérateurs de cette dernière avait perdu près de 40 millions d'euros de bonus suite à son licenciement pour avoir essayé de manipuler les taux d'intérêt.
Le constructeur automobile Volkswagen a pour sa part avancé de 0.21% après avoir déclaré vouloir déplacer la production pour l'Amérique de sa Golf, son vaisseau amiral, vers le Mexique.
Mais EADS était sur la défensive de 0.27%, après avoir annoncé que Manfred Bischoff, membre du conseil de supervision de Daimler AG et Hans-Peter Keitel, autrefois à la tête du groupe industriel BDI, rejoindraient sa direction.
A Londres, le FTSE 100, chargé en matières premières, a dérapé de 0.15%, tiré vers le bas par des exploitants en difficulté.
Les mastodontes miniers BHP Billiton et Rio Tinto ont ainsi fondu de 0.9 et 0.85%, leur rival Evraz faisant bien pire en s'effondrant de 1.71%.
La City était elle aussi sans direction tranchée, Barclays glissant de 0.02%, et Lloyds Banking de 0.39, tandis que HSBC Holdings et la Royal Bank of Scotland empochaient 0.09 et 0.25%.
Les perspectives des marchés américains étaient modérément optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.04%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.03% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.15%.
L'institut Ifo pour la recherche économique comptait rendre aujourd'hui son rapport sur l'humeur des entreprises allemandes, après quoi les Etats-Unis concluront la semaine avec le nombre des ventes de maisons neuves enregistrées par les autorités.