Investing.com - Le dollar U.S. était en berne face à la plupart de ses concurrents ce vendredi matin, les valeurs audacieuses ayant repris des couleurs suite à la mise en place d'un volume maximal de dépenses européennes.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.19% pour grimper à 1.3423.
La monnaie unique s'est en effet ragaillardie après que les dirigeants de l'Union Européenne se soient mis d'accord sur leurs premières coupes budgétaires historiques.
Ils devraient ainsi établir un un plafond de dépenses de 960 milliards d'euros entre 2014 et 2020, au lieu des 1.047 billions proposés auparavant, soit un peu moins que les 994 milliards actuels.
Le chef de l'autorité monétaire régionale avait pour sa part déclaré hier que la récente ascension de la monnaie unique reflétait le regain de confiance des investisseurs dans le bloc l'ayant adoptée.
Il a ajouté que la fragilité économique dans cette zone se prolongerait en ce début d'année, mais qu'elle se dissiperait "par la suite".
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.2% pour se hisser à 1.5743.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.8% pour se retrouver à 92.89 et l'USD/CHF glissant de 0.16% pour tomber à 0.9168.
Un rapport officiel avait auparavant montré que le solde positif du compte courant du JApon avait plongé sans prévenir depuis 230 vers 100 milliards de JPY pour décembre, alors qu'une remontée à 240 était espérée.
Un autre émanant des autorités helvètes signalait par contre que les ventes au détail de la confédération avaient augmenté de 5.1% annualisés dans le même temps, contre 3% en novembre, dépassant ainsi nettement les 2% anticipés.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'USD/CAD progressant de 0.12% pour aller vers 0.9989, l'AUD/USD raflant 0.34% pour monter à 1.0315 et le NZD/USD engrangeant 0.37% pour culminer à 0.8362.
La Réserve Bancaire d'Australie avait pourtant rabaissé à l'aube ses projections de croissance et d'inflation, en raison de l'incertitude des investissements en dehors des mines, et d'un mollissement du marché du travail.
Les devises fortements dépendantes des exportations ont cependant retrouvé des couleurs après que l'excédent de la balance commerciale chinoise avait moins diminué en janvier que redouté, passant de 31.6 à 29.2 milliards d'USD, au lieu des 22 envisagés.
Cette bonne nouvelle relative a renforcé l'espoir que la seconde économie mondiale soit en train de se reprendre.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.23% pour se situer à 80.1.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la semaine avec le solde de leur commerce extérieur.
En première partie de séance européenne, il a fléchi devant l'euro, l'EUR/USD gagnant 0.19% pour grimper à 1.3423.
La monnaie unique s'est en effet ragaillardie après que les dirigeants de l'Union Européenne se soient mis d'accord sur leurs premières coupes budgétaires historiques.
Ils devraient ainsi établir un un plafond de dépenses de 960 milliards d'euros entre 2014 et 2020, au lieu des 1.047 billions proposés auparavant, soit un peu moins que les 994 milliards actuels.
Le chef de l'autorité monétaire régionale avait pour sa part déclaré hier que la récente ascension de la monnaie unique reflétait le regain de confiance des investisseurs dans le bloc l'ayant adoptée.
Il a ajouté que la fragilité économique dans cette zone se prolongerait en ce début d'année, mais qu'elle se dissiperait "par la suite".
Le billet vert a également cédé du terrain à la livre sterling, le GBP/USD prenant 0.2% pour se hisser à 1.5743.
Il a d'autre part subi la pression du yen et du franc suisse, l'USD/JPY trébuchant de 0.8% pour se retrouver à 92.89 et l'USD/CHF glissant de 0.16% pour tomber à 0.9168.
Un rapport officiel avait auparavant montré que le solde positif du compte courant du JApon avait plongé sans prévenir depuis 230 vers 100 milliards de JPY pour décembre, alors qu'une remontée à 240 était espérée.
Un autre émanant des autorités helvètes signalait par contre que les ventes au détail de la confédération avaient augmenté de 5.1% annualisés dans le même temps, contre 3% en novembre, dépassant ainsi nettement les 2% anticipés.
La monnaie des Etats-Unis a par ailleurs été dominée par ses cousines australienne et néo-zélandaise, mais pas par la canadienne, l'USD/CAD progressant de 0.12% pour aller vers 0.9989, l'AUD/USD raflant 0.34% pour monter à 1.0315 et le NZD/USD engrangeant 0.37% pour culminer à 0.8362.
La Réserve Bancaire d'Australie avait pourtant rabaissé à l'aube ses projections de croissance et d'inflation, en raison de l'incertitude des investissements en dehors des mines, et d'un mollissement du marché du travail.
Les devises fortements dépendantes des exportations ont cependant retrouvé des couleurs après que l'excédent de la balance commerciale chinoise avait moins diminué en janvier que redouté, passant de 31.6 à 29.2 milliards d'USD, au lieu des 22 envisagés.
Cette bonne nouvelle relative a renforcé l'espoir que la seconde économie mondiale soit en train de se reprendre.
L'indice dollar, reflétant les performances du billet vert par rapport à un panier constitué de six de ses principaux rivaux, a dévissé de 0.23% pour se situer à 80.1.
Les Etats-Unis concluront de leur côté la semaine avec le solde de leur commerce extérieur.