Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris a terminé la séance en baisse de 0,57% jeudi, plombé par une série d'indicateurs économiques décevants en provenance des Etats-Unis, de Chine et de la zone euro.
Selon le Département américain du Travail, les inscriptions hebdomadaires au chômage ont diminué moins que prévu lors de la semaine au 15 septembre, à 382.000 contre 385.000 (révisé) la semaine précédente, alors que les économistes attendaient en moyenne 375.000 inscriptions au chômage.
Par ailleurs, l'indice des conditions d'activité industrielle 'Philly Fed' s'est amélioré plus que prévu en septembre par rapport au mois précédent, mais reste malgré tout en dessous de zéro pour le cinquième mois consécutif.
En France, l’indice PMI flash Composite calculé par Markit, qui fait la synthèse entre l’industrie et les services, a reculé de 3,9 points à 48, un plus bas de plus de trois ans. L’indice Composite pour l’ensemble de la zone euro a reculé de 0,4 point à 45,9, au plus bas depuis juin 2009. En revanche, il se rapproche de la stabilisation en Allemagne avec un gain de 2,7 points à 49,7, son meilleur niveau depuis mai.
Plus tôt dans la journée, l’indice provisoire PMI manufacturier établi par HSBC est ressorti à 47,8 points en Chine au mois de septembre, contre 47,6 en août, accusant ainsi son onzième mois d’affilée sous le seuil critique des 50 points, qui sépare expansion et contraction de l’activité.
Du côté des valeurs, les banques restaient à la peine, en fin de séance. BNP Paribas a fini en repli de 1,42%, Société Générale abandonnait 2,20% et Crédit Agricole pliait de 1,09%.
Egalement en baisse, Total lâchait 1,81% en fin de journée, dans le sillage de ses homologues européens, alors que les cours du brut ont pâti des mauvais indices PMI en Chine et en Europe.
Dans le secteur automobile, les valeurs ont terminé majoritairement en baisse. Renault reculait de 2,05%, alors que Fitch a pourtant confirmé la note à long terme du groupe à "BB+", avec perspective stable.
Après un rebond en première moitié de séance, Peugeot lâchait 3,49% à la fermeture, suivant l'annonce de négociations exclusives entre le constructeur français et JSC Russian Railways (RZD) en vue d’un partenariat stratégique sur sa filiale de transport Gefco.
A l'inverse, EADS a fini sur un rebond de 1,05%. Bloomberg rapportait plus tôt que le groupe et BAE Systems commencent à faire campagne auprès des actionnaires non gouvernementaux pour les convaincre du bien fondé de leur projet de fusion.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 abandonnait 0,57%, le DAX cédait 0,04% et le Footsie 100 reculait de 0,57%.
Autre événement de la journée, Madrid a adjugé pour 4,8 milliards d’euros de papier à trois et dix ans, au-dessus du maximum de 4,5 milliards escompté. Le rendement moyen de l’obligation à dix ans ressort à 5,66%, contre 6,64% lors d’une émission similaire en août.
Celui des obligations à trois ans, vendues pour la première fois, s’établit à 3,84%.
Selon le Département américain du Travail, les inscriptions hebdomadaires au chômage ont diminué moins que prévu lors de la semaine au 15 septembre, à 382.000 contre 385.000 (révisé) la semaine précédente, alors que les économistes attendaient en moyenne 375.000 inscriptions au chômage.
Par ailleurs, l'indice des conditions d'activité industrielle 'Philly Fed' s'est amélioré plus que prévu en septembre par rapport au mois précédent, mais reste malgré tout en dessous de zéro pour le cinquième mois consécutif.
En France, l’indice PMI flash Composite calculé par Markit, qui fait la synthèse entre l’industrie et les services, a reculé de 3,9 points à 48, un plus bas de plus de trois ans. L’indice Composite pour l’ensemble de la zone euro a reculé de 0,4 point à 45,9, au plus bas depuis juin 2009. En revanche, il se rapproche de la stabilisation en Allemagne avec un gain de 2,7 points à 49,7, son meilleur niveau depuis mai.
Plus tôt dans la journée, l’indice provisoire PMI manufacturier établi par HSBC est ressorti à 47,8 points en Chine au mois de septembre, contre 47,6 en août, accusant ainsi son onzième mois d’affilée sous le seuil critique des 50 points, qui sépare expansion et contraction de l’activité.
Du côté des valeurs, les banques restaient à la peine, en fin de séance. BNP Paribas a fini en repli de 1,42%, Société Générale abandonnait 2,20% et Crédit Agricole pliait de 1,09%.
Egalement en baisse, Total lâchait 1,81% en fin de journée, dans le sillage de ses homologues européens, alors que les cours du brut ont pâti des mauvais indices PMI en Chine et en Europe.
Dans le secteur automobile, les valeurs ont terminé majoritairement en baisse. Renault reculait de 2,05%, alors que Fitch a pourtant confirmé la note à long terme du groupe à "BB+", avec perspective stable.
Après un rebond en première moitié de séance, Peugeot lâchait 3,49% à la fermeture, suivant l'annonce de négociations exclusives entre le constructeur français et JSC Russian Railways (RZD) en vue d’un partenariat stratégique sur sa filiale de transport Gefco.
A l'inverse, EADS a fini sur un rebond de 1,05%. Bloomberg rapportait plus tôt que le groupe et BAE Systems commencent à faire campagne auprès des actionnaires non gouvernementaux pour les convaincre du bien fondé de leur projet de fusion.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 abandonnait 0,57%, le DAX cédait 0,04% et le Footsie 100 reculait de 0,57%.
Autre événement de la journée, Madrid a adjugé pour 4,8 milliards d’euros de papier à trois et dix ans, au-dessus du maximum de 4,5 milliards escompté. Le rendement moyen de l’obligation à dix ans ressort à 5,66%, contre 6,64% lors d’une émission similaire en août.
Celui des obligations à trois ans, vendues pour la première fois, s’établit à 3,84%.