Au terme du premier fixing du jour à Londres, l'once d'or fin cotait 1.204 dollars dollars (- 0,75 dollar par rapport au fixing d'hier après-midi) et 977,6 euros (- 1,2 euro).
A Londres, les courtiers de Triland Metals soulignent que les volumes échangés sur le marché de l'or augmentent. 'Il semble que nous entrions dans une période d'activité plus soutenue', indiquent-ils, en notant que les 1.200 dollars paraissent jouer le rôle d'un support 'sain et solide'.
Chez Commerzbank, les spécialistes de la division Matières premières évoquent aussi la 'relative robustesse' des cours alors que la devise américaine, qui est aussi la principale monnaie de négoce et de production du métal jaune, ne cesse de se renforcer. Ainsi, le Dollar Index, qui mesure le niveau du billet vert contre un panier de devises, a atteint hier son plus haut niveau en cinq ans et demi.
Quid de la réunion de la BCE ce midi ? De l'avis majoritaire, l'heure ne semble pas encore au lancement d'un QE à la mode américaine, qui comprendrait des rachats d'emprunts d'Etat en plus des produits obligataires privés.
Reste que la banque de Francfort, qui évoque de plus en plus cette hypothèse, pourrait s'y résoudre plus tard, peut-être au premier trimestre 2015. Selon Commerzbank, cette éventualité soutiendrait le cours de l'or, puisque la BCE dégraderait alors son bilan et continuerait ainsi de peser sur la valeur relative de la devise dont elle a la charge.
Par ailleurs, l'encours du SPDR Gold Trust américain, le premier ETF aurifère au monde, est resté inchangé hier soir à 720 tonnes.
D'un point de vue technique, les analystes de ScotiaMocatta constatent que l'accès de baisse qui, au comptant, a ramené l'once vers 1.144 dollars le 28 novembre dernier semble avoir été considéré comme une occasion d'acheter à bon compte. Ils soulignent aussi que la baisse de la veille a été contenue à 1.192 dollars, 'malgré la vigueur du billet vert'. A surveiller : la résistance des 1.220.
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A Londres, les courtiers de Triland Metals soulignent que les volumes échangés sur le marché de l'or augmentent. 'Il semble que nous entrions dans une période d'activité plus soutenue', indiquent-ils, en notant que les 1.200 dollars paraissent jouer le rôle d'un support 'sain et solide'.
Chez Commerzbank, les spécialistes de la division Matières premières évoquent aussi la 'relative robustesse' des cours alors que la devise américaine, qui est aussi la principale monnaie de négoce et de production du métal jaune, ne cesse de se renforcer. Ainsi, le Dollar Index, qui mesure le niveau du billet vert contre un panier de devises, a atteint hier son plus haut niveau en cinq ans et demi.
Quid de la réunion de la BCE ce midi ? De l'avis majoritaire, l'heure ne semble pas encore au lancement d'un QE à la mode américaine, qui comprendrait des rachats d'emprunts d'Etat en plus des produits obligataires privés.
Reste que la banque de Francfort, qui évoque de plus en plus cette hypothèse, pourrait s'y résoudre plus tard, peut-être au premier trimestre 2015. Selon Commerzbank, cette éventualité soutiendrait le cours de l'or, puisque la BCE dégraderait alors son bilan et continuerait ainsi de peser sur la valeur relative de la devise dont elle a la charge.
Par ailleurs, l'encours du SPDR Gold Trust américain, le premier ETF aurifère au monde, est resté inchangé hier soir à 720 tonnes.
D'un point de vue technique, les analystes de ScotiaMocatta constatent que l'accès de baisse qui, au comptant, a ramené l'once vers 1.144 dollars le 28 novembre dernier semble avoir été considéré comme une occasion d'acheter à bon compte. Ils soulignent aussi que la baisse de la veille a été contenue à 1.192 dollars, 'malgré la vigueur du billet vert'. A surveiller : la résistance des 1.220.
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