Prises de bénéfices à la Bourse de Paris, dans le rouge comme toutes ses consoeurs européennes ce mercredi à l'approche de la mi-séance.
Vers 10h50, le CAC 40 cède 1,2%, repassant ainsi nettement sous les 5.200 points à 5.153 points. Après 4 séances consécutives en territoire positif, l'heure est donc aux prises de profits, qui plus est dans un contexte géopolitique plutôt tendu. Donald Trump a en effet assuré hier que les provocations de la Corée du Nord seraient accueillies avec 'feu et fureur et dans une proportion que personne ne peut suspecter'.
'Une rupture sur la zone des 5.195/5.175 points invaliderait la légère dynamique haussière du moment', ont prévenu ce matin les équipes de Kiplink selon lesquelles, 'par manque d'indicateur et dans des volumes une nouvelle fois indigents, l'indice vedette pourrait revenir tester le support symbolique des 5.200 points'.
Seuls indicateurs du jour, en sus des stocks hebdomadaires de pétrole, les chiffres de la productivité aux Etats-Unis pour le deuxième trimestre (estimation préliminaire) et des stocks de grossistes au titre du mois de juin ne devraient pas impacter la tendance.
Dans l'immédiat, l'euro s'allège de 0,2% face au dollar à 1,1724, alors que le baril de Brent est stable à 52,3 dollars.
'Les actions européennes se remettront à surperformer une fois que l'euro s'affaiblira de nouveau face au dollar', assure un intervenant.
Enfin, au rayon microéconomique, aucune valeur du CAC 40 n'évolue en territoire positif. Sur le SBF 120, Gecina (PA:GFCP), leader du palmarès, engrange 1,3% dans le sillage de l'annonce du succès de son augmentation de capital avec maintien du droit préférentiel de souscription des actionnaires (DPS) lancée le 18 juillet pour un montant brut d'un milliard d'euros.
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Vers 10h50, le CAC 40 cède 1,2%, repassant ainsi nettement sous les 5.200 points à 5.153 points. Après 4 séances consécutives en territoire positif, l'heure est donc aux prises de profits, qui plus est dans un contexte géopolitique plutôt tendu. Donald Trump a en effet assuré hier que les provocations de la Corée du Nord seraient accueillies avec 'feu et fureur et dans une proportion que personne ne peut suspecter'.
'Une rupture sur la zone des 5.195/5.175 points invaliderait la légère dynamique haussière du moment', ont prévenu ce matin les équipes de Kiplink selon lesquelles, 'par manque d'indicateur et dans des volumes une nouvelle fois indigents, l'indice vedette pourrait revenir tester le support symbolique des 5.200 points'.
Seuls indicateurs du jour, en sus des stocks hebdomadaires de pétrole, les chiffres de la productivité aux Etats-Unis pour le deuxième trimestre (estimation préliminaire) et des stocks de grossistes au titre du mois de juin ne devraient pas impacter la tendance.
Dans l'immédiat, l'euro s'allège de 0,2% face au dollar à 1,1724, alors que le baril de Brent est stable à 52,3 dollars.
'Les actions européennes se remettront à surperformer une fois que l'euro s'affaiblira de nouveau face au dollar', assure un intervenant.
Enfin, au rayon microéconomique, aucune valeur du CAC 40 n'évolue en territoire positif. Sur le SBF 120, Gecina (PA:GFCP), leader du palmarès, engrange 1,3% dans le sillage de l'annonce du succès de son augmentation de capital avec maintien du droit préférentiel de souscription des actionnaires (DPS) lancée le 18 juillet pour un montant brut d'un milliard d'euros.
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