Investing.com - Les options sur le cuivre s'accrochaient à un pic d'un mois et demi ce mercredi matin, après avoir commencé sur un mauvais face aux piètres résultats industriels de la Chine, l'or faisant de même aux abords de son meilleur niveau en six semaines.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur le métal rouge à échéance pour septembre se sont échangés à 3,207 USD de l'once en début de séance européenne, prenant 0,26%.
Ils avaient touché à l'aube le fond à 3,165 USD, leur pire cours du jour, avec un faux pas de 1,24%, les pires résultats chinois en 11 mois ayant ranimé le spectre d'un essoufflement de l'essor de la seconde économie mondiale.
La première évaluation du baromètre de l'activité manufacturière chinoise établie par HSBC a ainsi plongé depuis les 48,2 définitifs précédents vers 47,7 pour juillet, alors qu'un sursaut à 48,6 était envisagé, toute valeur supérieure à 50 dénotant une croissance.
Les cours ne baissaient cependant pas les bras, au lendemain des assurances de Li Keqiang, premier ministre de la Chine, selon lesquelles le gouvernement ferait en sorte d'éviter que la croissance passe au-dessous de la barre des 7%, la Banque Populaire de Chine ayant déjà déclaré qu'elle supprimait la limite inférieur des taux d'intérêt praticables dans le secteur financier, afin de donner un coup de fouet à l'économie.
Leurs équivalent portant sur l'or pour août ont quand à eux grimpé à 1.343,05 USD de l'once en début de séance européenne, empochant 0,63%.
Les cours avaient bondi mardi jusqu'à un pic à 1.347,85 USD, une vague d'acquisitions techniques ayant déferlé suite au passage d'un seuil de résistance crucial.
Leur popularité a connu un regain avec l'étouffement des rumeurs sur le moment où la Réserve Fédérale décidera de fermer les vannes, l'idée selon laquelle il pourrait arriver dès cette année ayant perdu de la crédibilité avec les récentes contre-performances américaines.
Son président Ben Bernanke avait déclaré la semaine passée que celui-ci dépendrait de l'état de santé économique national.
Une telle éventualité nuirait fortement au métal précieux, sa valeur ayant profité de la demande provenant des investisseurs désireux de se prémunir des risques d'inflation découlant de politiques monétaires assouplies.
Les futures sur l'argent pour septembre ont par ailleurs rebondi de 0,46% pour s'établir à 20,345 USD de l'once.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur le métal rouge à échéance pour septembre se sont échangés à 3,207 USD de l'once en début de séance européenne, prenant 0,26%.
Ils avaient touché à l'aube le fond à 3,165 USD, leur pire cours du jour, avec un faux pas de 1,24%, les pires résultats chinois en 11 mois ayant ranimé le spectre d'un essoufflement de l'essor de la seconde économie mondiale.
La première évaluation du baromètre de l'activité manufacturière chinoise établie par HSBC a ainsi plongé depuis les 48,2 définitifs précédents vers 47,7 pour juillet, alors qu'un sursaut à 48,6 était envisagé, toute valeur supérieure à 50 dénotant une croissance.
Les cours ne baissaient cependant pas les bras, au lendemain des assurances de Li Keqiang, premier ministre de la Chine, selon lesquelles le gouvernement ferait en sorte d'éviter que la croissance passe au-dessous de la barre des 7%, la Banque Populaire de Chine ayant déjà déclaré qu'elle supprimait la limite inférieur des taux d'intérêt praticables dans le secteur financier, afin de donner un coup de fouet à l'économie.
Leurs équivalent portant sur l'or pour août ont quand à eux grimpé à 1.343,05 USD de l'once en début de séance européenne, empochant 0,63%.
Les cours avaient bondi mardi jusqu'à un pic à 1.347,85 USD, une vague d'acquisitions techniques ayant déferlé suite au passage d'un seuil de résistance crucial.
Leur popularité a connu un regain avec l'étouffement des rumeurs sur le moment où la Réserve Fédérale décidera de fermer les vannes, l'idée selon laquelle il pourrait arriver dès cette année ayant perdu de la crédibilité avec les récentes contre-performances américaines.
Son président Ben Bernanke avait déclaré la semaine passée que celui-ci dépendrait de l'état de santé économique national.
Une telle éventualité nuirait fortement au métal précieux, sa valeur ayant profité de la demande provenant des investisseurs désireux de se prémunir des risques d'inflation découlant de politiques monétaires assouplies.
Les futures sur l'argent pour septembre ont par ailleurs rebondi de 0,46% pour s'établir à 20,345 USD de l'once.