Investing.com - L'euro s'est maintenu aux alentours de son pic de dix mois face à la livre sterling ce lundi, cette dernière subissant l'angoisse d'une récession à triple tranchant là où elle à cours.
La paire EUR/GBP est redescendue depuis 0.8404, son cours le plus élevé depuis le 13 mars, jusqu'à 0.8377 en première partie de séance européenne, trébuchant de 0.11%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8354, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 0.8404, son plafond de dix mois établi dans la matinée.
La devise de la Grande-Bretagne avait dérapé vendredi, après que des chiffres officiels aient montré que les ventes au détail britannique avaient trébuché de 0.1% en décembre, au lieu des 0.2% envisagés, et de 0.6% d'un trimestre à l'autre.
Il avait auparavant été montré que l'inflation des prix à la consommation nationaux s'était maintenue le mois passé à son plus haut niveau depuis mai, alimentant l'angoisse d'un retour en récession entre début octobre et fin décembre.
La monnaie unique gardait des couleurs alors que les angoisses au sujet de la crise du bloc l'ayant adoptée semblaient s'apaiser.
Elle a cédé quelques pouces de terrain au dollar U.S. avec un couple EUR/USD laisant échapper 0.09% pour reprendre pied à 1.3303, et plus nettement dérapé contre le yen, l'EUR/JPY glissant de 0.75% pour déraper à 119.02.
Ce dernier a retrouvé des couleurs à la veille des résultats du conseil de direction de la Banque du Japon.
Celle-ci a de fortes chances d'adopter de nouvelles mesures agressives, en réponse à la pression de Shinzo Abe, premier ministre japonais sur le retour, établissant un objectif de hausse des prix de 2%, afin de lutter contre la déflation.
L'Eurogroupe s'apprêtait quand à lui à aborder la façon dont le Mécanisme Européen de Stabilité, servant de fonds de secours régional permanent, pourra venir en aide aux banques.
Jean-Claude Juncker, son président sortant luxembourgeois, avait apporté vendredi son soutien à son homologue néerlandais Jeroen Dijsselbloem, l'estimant un "bon" candidat à son poste.
Ce remplacement sera surveillé de près, le poste jouant un rôle vital dans la réponse aux crises.
Les transactions devraient être rares aujourd'hui, les places américaines demeurant closes en raison du jour férié consacré à Martin Luther King Jr.
La paire EUR/GBP est redescendue depuis 0.8404, son cours le plus élevé depuis le 13 mars, jusqu'à 0.8377 en première partie de séance européenne, trébuchant de 0.11%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.8354, son plancher de vendredi, et de rencontrer de la résistance à 0.8404, son plafond de dix mois établi dans la matinée.
La devise de la Grande-Bretagne avait dérapé vendredi, après que des chiffres officiels aient montré que les ventes au détail britannique avaient trébuché de 0.1% en décembre, au lieu des 0.2% envisagés, et de 0.6% d'un trimestre à l'autre.
Il avait auparavant été montré que l'inflation des prix à la consommation nationaux s'était maintenue le mois passé à son plus haut niveau depuis mai, alimentant l'angoisse d'un retour en récession entre début octobre et fin décembre.
La monnaie unique gardait des couleurs alors que les angoisses au sujet de la crise du bloc l'ayant adoptée semblaient s'apaiser.
Elle a cédé quelques pouces de terrain au dollar U.S. avec un couple EUR/USD laisant échapper 0.09% pour reprendre pied à 1.3303, et plus nettement dérapé contre le yen, l'EUR/JPY glissant de 0.75% pour déraper à 119.02.
Ce dernier a retrouvé des couleurs à la veille des résultats du conseil de direction de la Banque du Japon.
Celle-ci a de fortes chances d'adopter de nouvelles mesures agressives, en réponse à la pression de Shinzo Abe, premier ministre japonais sur le retour, établissant un objectif de hausse des prix de 2%, afin de lutter contre la déflation.
L'Eurogroupe s'apprêtait quand à lui à aborder la façon dont le Mécanisme Européen de Stabilité, servant de fonds de secours régional permanent, pourra venir en aide aux banques.
Jean-Claude Juncker, son président sortant luxembourgeois, avait apporté vendredi son soutien à son homologue néerlandais Jeroen Dijsselbloem, l'estimant un "bon" candidat à son poste.
Ce remplacement sera surveillé de près, le poste jouant un rôle vital dans la réponse aux crises.
Les transactions devraient être rares aujourd'hui, les places américaines demeurant closes en raison du jour férié consacré à Martin Luther King Jr.