- À la fin de l'année 2023, les marchés mondiaux, emmenés par les États-Unis et l'Europe, devraient enregistrer des gains à deux chiffres, défiant ainsi le scepticisme initial et ouvrant la voie à d'éventuelles surprises en 2024.
- Malgré les craintes concernant un S&P 500 suracheté, les tendances historiques révèlent que les conditions de surachat ne conduisent pas toujours à des baisses immédiates.
- Avec la modération de l'inflation et la tendance à éviter la récession au cours d'une année électorale, les perspectives pour 2024 semblent prometteuses.
La peur fait vendre.
Elle fait vendre parce qu'un lauréat du prix Nobel nous a appris, par le biais de la finance comportementale, que les êtres humains ont tendance à accorder 2,5 fois plus d'importance aux pertes qu'aux gains. Par conséquent, la crainte d'un effondrement soudain reste toujours présente dans l'esprit d'un investisseur.
Or, cette approche fondée sur la peur peut conduire à rater des opportunités. La véritable compétence consiste à gérer efficacement l'impact émotionnel des baisses périodiques du marché et à ajuster le risque du portefeuille pendant les périodes de volatilité - ce qui est entièrement sous notre contrôle.
À l'approche de la fin de l'année 2023, le marché boursier, à quelques exceptions près comme la Chine, devrait clôturer à deux chiffres, tant aux États-Unis (ce qui affectera les actions mondiales) qu'en Europe en général.
Avec des banques qui ne cessent de relever leurs prévisions haussières pour le S&P 500 et le scepticisme des petits investisseurs qui restent méfiants même après un gain de +15-20%, une chose est sûre : les marchés en 2024 feront une fois de plus ce qu'ils font de mieux : surprendre !
Source : The Web : Le Web
Il y a une chose que l'on peut souligner en regardant l'image ci-dessus. Récemment, les initiés se sont empressés d'acheter, ce qui est généralement un bon signe pour les marchés dans les mois à venir.
Le surachat du S&P 500 est-ilune mauvaise chose ?
Si l'on examine les performances récentes des actions du S&P 500, le fait d'être suracheté n'entraîne pas toujours des baisses immédiates. Les mois qui suivent des hausses importantes, comme celles que nous avons connues en novembre, sont souvent marqués par de nouveaux rebondissements.
Source : Carson
L'année 2024 étant une année électorale aux États-Unis, on s'efforcera d'éviter autant que possible les récessions ou les crises financières.
L'inflation, principale préoccupation des marchés au cours des deux dernières années, semble continuer à s'atténuer. Cela pourrait donner aux banques centrales l'occasion de commencer à envisager une baisse des taux plus tôt que prévu.
En résumé, les perspectives pour 2024 semblent prometteuses. Toutefois, il reste primordial de donner la priorité au contrôle des risques, en particulier pour ceux qui ont suivi mes conseils tout au long de l'année et qui ont probablement réalisé des gains.
C'est d'autant plus important que l'optimisme commence à faire son retour.
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Avertissement : Cet article est rédigé à des fins d'information uniquement ; il ne constitue pas une sollicitation, une offre, un conseil ou une recommandation d'investissement et n'a pas pour but d'inciter à l'achat d'actifs de quelque manière que ce soit. J'aimerais vous rappeler que tout type d'actif est évalué à partir de multiples points de vue et est hautement risqué. Par conséquent, toute décision d'investissement et le risque associé restent à la charge de l'investisseur.