Investing.com - L'indice-phare de la Bourse de Paris perdait 0,41% à mi-séance mercredi, alors que les craintes au sujet de la crise de la dette en zone euro continuaient de peser sur le moral des investisseurs, ainsi que l'incertitude des résultats des entreprises au troisième trimestre.
Le géant américain de l'aluminium Alcoa a lancé la saison des publications hier soir en faisant légèrement mieux que prévu au troisième trimestre. En revanche, le pétrolier Chevron a prévenu que ses résultats accuseraient une baisse "substantielle" par rapport au deuxième trimestre.
Le marché restait, par ailleurs, effecté par les dernières prévisions de croissance du Fonds monétaire international (FMI), marquées par un léger regain de pessimisme. Le PIB mondial ne devrait plus croître que de 3,3% cette année, contre +3,5% prévus jusqu'alors.
Sur le plan macroéconomique, les prix de gros ont augmenté de 1,3% en Allemagne le mois dernier et de 4,2% sur un an.
En France, la production industrielle progressé de 1,5% en août, tandis que la production manufacturière (hors alimentation et énergie) a augmenté de 1,8%.
Du côté des valeurs, Publicis signait l'une des plus fortes baisses de l'indice parisien, mercredi.
A mi-séance, le titre abandonnait 2,64%, après qu'Exane BNP Paribas a indiqué que la croissance organique du groupe devrait être inférieure aux attentes au troisième trimestre en raison de l’affaiblissement des marchés publicitaires depuis juillet, avec une nouvelle dégradation en septembre.
Egalement dans le rouge, Saint-Gobain reculait de 2,06% en milieu de séance, alors qu’UBS a dégradé le titre de "achat" à "neutre". L’intermédiaire a également abaissé Wendel de "achat" à "neutre".
STMicroelectronics a perdu 0,34%, après qu'Exane BNP Paribas est passé de "sous-performance" à "neutre" sur le titre, estimant que, au prix actuel de l’action, toute information relative à ST-Ericsson et sa revue stratégique serait considérée comme un "énorme soulagement".
Par ailleurs, le conseil d’administration a confirmé et validé "à l’unanimité" le principe de la scission de la Fnac, qui sera mise en Bourse en 2013, afin de se concentrer sur le luxe et la mode sportive, faisant gagner 1,98% au titre de PPR en milieu de journée.
Les groupes télécoms ont également gagné du terrain suivant les déclarations du gouvernement mardi soir, rappelant que la filiale d’Iliad Free devra à terme déployer son propre réseau de téléphonie mobile dans les grandes villes.
A mi-séance, France Télécom engrangeait 1,18% et Bouygues s'octroyait 2,51%.
Enfin, les valeurs financières évoluaient sans tendance en milieu de séance, encore pénalisées par l'incertitude entourant l'intention ou non du gouvernement espagnol de demander une aide financière internationale.
BNP Paribas reculait de 1,18% et Société Générale pliait de 0,81%, tandis que Crédit Agricole s'appréciait de 0,26%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 0,58%, le DAX cédait 0,39% et le Footsie 100 pliait de 0,50%.
Plus tard dans la journée, le Département américain du Commerce annoncera l’évolution des stocks des grossistes en août. Puis, la Fed publiera son Livre Beige.
Le géant américain de l'aluminium Alcoa a lancé la saison des publications hier soir en faisant légèrement mieux que prévu au troisième trimestre. En revanche, le pétrolier Chevron a prévenu que ses résultats accuseraient une baisse "substantielle" par rapport au deuxième trimestre.
Le marché restait, par ailleurs, effecté par les dernières prévisions de croissance du Fonds monétaire international (FMI), marquées par un léger regain de pessimisme. Le PIB mondial ne devrait plus croître que de 3,3% cette année, contre +3,5% prévus jusqu'alors.
Sur le plan macroéconomique, les prix de gros ont augmenté de 1,3% en Allemagne le mois dernier et de 4,2% sur un an.
En France, la production industrielle progressé de 1,5% en août, tandis que la production manufacturière (hors alimentation et énergie) a augmenté de 1,8%.
Du côté des valeurs, Publicis signait l'une des plus fortes baisses de l'indice parisien, mercredi.
A mi-séance, le titre abandonnait 2,64%, après qu'Exane BNP Paribas a indiqué que la croissance organique du groupe devrait être inférieure aux attentes au troisième trimestre en raison de l’affaiblissement des marchés publicitaires depuis juillet, avec une nouvelle dégradation en septembre.
Egalement dans le rouge, Saint-Gobain reculait de 2,06% en milieu de séance, alors qu’UBS a dégradé le titre de "achat" à "neutre". L’intermédiaire a également abaissé Wendel de "achat" à "neutre".
STMicroelectronics a perdu 0,34%, après qu'Exane BNP Paribas est passé de "sous-performance" à "neutre" sur le titre, estimant que, au prix actuel de l’action, toute information relative à ST-Ericsson et sa revue stratégique serait considérée comme un "énorme soulagement".
Par ailleurs, le conseil d’administration a confirmé et validé "à l’unanimité" le principe de la scission de la Fnac, qui sera mise en Bourse en 2013, afin de se concentrer sur le luxe et la mode sportive, faisant gagner 1,98% au titre de PPR en milieu de journée.
Les groupes télécoms ont également gagné du terrain suivant les déclarations du gouvernement mardi soir, rappelant que la filiale d’Iliad Free devra à terme déployer son propre réseau de téléphonie mobile dans les grandes villes.
A mi-séance, France Télécom engrangeait 1,18% et Bouygues s'octroyait 2,51%.
Enfin, les valeurs financières évoluaient sans tendance en milieu de séance, encore pénalisées par l'incertitude entourant l'intention ou non du gouvernement espagnol de demander une aide financière internationale.
BNP Paribas reculait de 1,18% et Société Générale pliait de 0,81%, tandis que Crédit Agricole s'appréciait de 0,26%.
Ailleurs, l'EURO STOXX 50 reculait de 0,58%, le DAX cédait 0,39% et le Footsie 100 pliait de 0,50%.
Plus tard dans la journée, le Département américain du Commerce annoncera l’évolution des stocks des grossistes en août. Puis, la Fed publiera son Livre Beige.