Investing.com - L'euro s'est encore rapproché d'un creux des dix derniers mois face à la livre sterling ce mardi, malgré un baromètre des affaires allemandes étonnamment bon et le succès des ventes de dettes espagnoles.
La paire EUR/GBP est descendue jusqu'à 0.836 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 18 février, puis s'est stabilisée vers 0.8369, reculant de 0.21%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.833, son plancher du 18 janvier, et de rencontrer de la résistance à 0.8416, son plafond de lundi.
Dans son rapport, l'institut Ifo pour la recherche économique a en effet annoncé que son indice du climat dans les affaires de l'Allemagne était monté à 107.2 avec ajustement saisonnier pour le mois, contre 106.6 au précédent.
Les experts s'étaient pourtant attendus à le voir glisser de 0.6 points pour descendre à 106.
L'Espagne a quand à elle émis davantage que les 4.5 milliards d'euros prévus, en levant 7 milliards avec échéance trimestrielle à un taux moyen de 1.73%, contre 5.11% constatés lors d'une action similaire le mois dernier.
Celles prenant fin à un semestre ont représenté 1.92 milliards d'euros de leur côté, à 2.43% de dividendes contre 5.22% précédemment.
La monnaie unique demeurait sous pression après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait répété que le programme d'achats d'obligations de cette dernière était temporaire et "pas infini", ruinant l'espoir d'un renforcement de son programme d'achats.
Les ministres des finances de l'Union Européenne se sont pour leur part mis d'accord hier pour fournir 150 milliards d'euros de prêts au FMI avec l'aide de leurs alliés, soit nettement moins que les 200 milliards envisagés auparavant.
La livre sterling a par ailleurs bondi contre le dollar U.S. avec un couple GBP/USD s'élevant de 0.83% pour se hisser à 1.5628.
Une étude signalait ce matin que l'indice des ventes réalisées de la confédération des entreprises britanniques CBI avait connu une progression surprise jusqu'à 9 en décembre, alors qu'un plongeon jusqu'à -14 était redouté.
La paire EUR/GBP est descendue jusqu'à 0.836 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas depuis le 18 février, puis s'est stabilisée vers 0.8369, reculant de 0.21%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 0.833, son plancher du 18 janvier, et de rencontrer de la résistance à 0.8416, son plafond de lundi.
Dans son rapport, l'institut Ifo pour la recherche économique a en effet annoncé que son indice du climat dans les affaires de l'Allemagne était monté à 107.2 avec ajustement saisonnier pour le mois, contre 106.6 au précédent.
Les experts s'étaient pourtant attendus à le voir glisser de 0.6 points pour descendre à 106.
L'Espagne a quand à elle émis davantage que les 4.5 milliards d'euros prévus, en levant 7 milliards avec échéance trimestrielle à un taux moyen de 1.73%, contre 5.11% constatés lors d'une action similaire le mois dernier.
Celles prenant fin à un semestre ont représenté 1.92 milliards d'euros de leur côté, à 2.43% de dividendes contre 5.22% précédemment.
La monnaie unique demeurait sous pression après que Mario Draghi, président de la Banque Centrale Européenne, ait répété que le programme d'achats d'obligations de cette dernière était temporaire et "pas infini", ruinant l'espoir d'un renforcement de son programme d'achats.
Les ministres des finances de l'Union Européenne se sont pour leur part mis d'accord hier pour fournir 150 milliards d'euros de prêts au FMI avec l'aide de leurs alliés, soit nettement moins que les 200 milliards envisagés auparavant.
La livre sterling a par ailleurs bondi contre le dollar U.S. avec un couple GBP/USD s'élevant de 0.83% pour se hisser à 1.5628.
Une étude signalait ce matin que l'indice des ventes réalisées de la confédération des entreprises britanniques CBI avait connu une progression surprise jusqu'à 9 en décembre, alors qu'un plongeon jusqu'à -14 était redouté.