Investing.com - Les options sur l'or étaient en forme ce mardi, les observateurs continuant à surveiller les évènements liés à la crise de la dette souveraine de la zone euro, notamment la rencontre cruciale entre Angela Merkel, la chancelière allemande, et Christine Lagarde, présidente du Fonds Monétaire International, devant avoir lieu dans la journée.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 620.65 USD de l'once en début de séance européenne, gagnant 0.78%.
Ils avaient précédement culminé à 1 623.85 USD, leur meilleur cours du jour, avec 0.9% d'augmentation.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 597.75 USD, leur plancher du 5 janvier, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1 632.15, leur plafond du 6 janvier.
Les investisseurs attendaient avec impatience que les dirigeantse de l'Allemagne et du FMI se penchent aujourd'hui sur le plan de sauvetage de la Grèce.
Cette rencontre se déroule au lendemain des pourparlers à Berlin de la première avec son homologue français, celle-ci prévenant peu après la nation hellène lors d'une conférence de presse qu'il ne serait pas possible de continuer à continuer à l'aider financièrement sans de rapides progrès dans la mise en place du second plan de secours, notamment la dévaluation volontaire des dettes détenues par des créanciers privés.
Le moral est resté assombri par l'augmentation des coûts des emprunts des membres de la zone euro, dans l'expectative des ventes aux enchères de dettes d'Espagne et d'Italie devant avoir lieu en cours de semaine.
Les émissions d'obligations gouvernementales sont devenues ces derniers mois des chefs d'orchestre de la popularité des valeurs à risques, les courtiers tentant d'évaluer la capacité des pays en difficulté à lever des fonds par eux-mêmes.
L'angoisse est encore montée d'un cran après qu'il ait été signalé ce matin que le total des dépôts journaliers effectués auprès de la Banque Centrale Européenne avait à nouveau battu des records en s'élevant à 481.9 milliards d'euros, signe du manque de confiance dans les prêts interbancaires.
L'attrait du métal précieux en tant que valeur refuge s'est terni ces derniers temps, et il a eu tandance à évoluer dans le sens des vaeurs liées au risque, les investisseurs se reportant sur l'étalon américain alors que s'aggravait le problème du surendettement de l'Europe.
Goldman Sachs, une des banques les plus influentes de Wall Street, estime toujours que ses cours vont grimper, déclarant dans un rapport publié hier que la récente baisse des cours constituait une "opportunité d'achat à bon prix" pour les acteurs des marchés.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs engrangé 1.65% pour grimper à 29.24 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont rebondi de 0.83% pour se retrouver à 3.445 USD la livre dans le même temps.
Sur la section Comex de la bourse aux matières premières de New York, les contrats sur l'or à échéance pour février se sont échangés à 1 620.65 USD de l'once en début de séance européenne, gagnant 0.78%.
Ils avaient précédement culminé à 1 623.85 USD, leur meilleur cours du jour, avec 0.9% d'augmentation.
Ils avaient des chances de trouver du soutien à 1 597.75 USD, leur plancher du 5 janvier, et de rencontrer de la résistance à court terme à 1 632.15, leur plafond du 6 janvier.
Les investisseurs attendaient avec impatience que les dirigeantse de l'Allemagne et du FMI se penchent aujourd'hui sur le plan de sauvetage de la Grèce.
Cette rencontre se déroule au lendemain des pourparlers à Berlin de la première avec son homologue français, celle-ci prévenant peu après la nation hellène lors d'une conférence de presse qu'il ne serait pas possible de continuer à continuer à l'aider financièrement sans de rapides progrès dans la mise en place du second plan de secours, notamment la dévaluation volontaire des dettes détenues par des créanciers privés.
Le moral est resté assombri par l'augmentation des coûts des emprunts des membres de la zone euro, dans l'expectative des ventes aux enchères de dettes d'Espagne et d'Italie devant avoir lieu en cours de semaine.
Les émissions d'obligations gouvernementales sont devenues ces derniers mois des chefs d'orchestre de la popularité des valeurs à risques, les courtiers tentant d'évaluer la capacité des pays en difficulté à lever des fonds par eux-mêmes.
L'angoisse est encore montée d'un cran après qu'il ait été signalé ce matin que le total des dépôts journaliers effectués auprès de la Banque Centrale Européenne avait à nouveau battu des records en s'élevant à 481.9 milliards d'euros, signe du manque de confiance dans les prêts interbancaires.
L'attrait du métal précieux en tant que valeur refuge s'est terni ces derniers temps, et il a eu tandance à évoluer dans le sens des vaeurs liées au risque, les investisseurs se reportant sur l'étalon américain alors que s'aggravait le problème du surendettement de l'Europe.
Goldman Sachs, une des banques les plus influentes de Wall Street, estime toujours que ses cours vont grimper, déclarant dans un rapport publié hier que la récente baisse des cours constituait une "opportunité d'achat à bon prix" pour les acteurs des marchés.
Les futures sur l'argent pour mars ont par ailleurs engrangé 1.65% pour grimper à 29.24 USD de l'once, et celles sur le cuivre à échéance identique ont rebondi de 0.83% pour se retrouver à 3.445 USD la livre dans le même temps.