Investing.com - Les bourses européennes étaient mitigées ce lundi, alors que le retour du spectre d'une contagion de la zone euro faisait oublier les bons résultats du climat des affaires allemand, tandis que les ministres des finances de la zone euro se préparaient à discuter de la capacité de prêt de la bouée de sauvetage régionale permanente.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.51%, et le CAC 40 français de 0.18%, mais le DAX 30 allemand a grignoté 0.01%.
L'institut germanique Ifo pour la recherche économique avait annoncé ce matin que son indice de la confiance dans les affaires allemandes pour mars était monté de 109.6 à 109.8, au lieu des 109.7 déjà espérés.
Le moral était toutefois retombé depuis que Mario Monti, premier ministre italien, avait pointé dimanche du doigt le risque d'une résurgence du problème du surendettement européen provenant de l'Espagne, en raison de la difficulté de cette dernière à cotrôler son budget.
Les angoisses concernant la croissance mondiale avaient été ravivées la semaine dernière par les résultats montrant que l'activité manufacturière de la Chine avait reculé et que celle du bloc euro restait engluée en territoire négatif pour le huitième mois d'affilée en mars.
La finance s'en trouvait largement en berne, l'espagnol BBVA prenant le bonnet d'âne avec 2.9% de pertes, suivi de près par son compatriote Banco Santander avec 2.58%.
LEs français BNP Paribas et Société Générale ont suivi le mouvement avec respectivement 1.97 et 1.34% de régression, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank limitant les dégâts à 0.33 et 1.7%.
Tout n'était cependant pas désespéré, les laboratoires pharmaceutiques suisses Roche prenant 0.45% après avoir consolidé pour la seconde fois leur offre de prise de contrôle hostile à 5.7 milliards d'USD d'Illumina Inc. et laissant ainsi présager des discussions intéressantes pour la réunion annuelle des actionnaires du fabricant d'outils de décodage génétique prévue le mois prochain.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a arraché 0.16%, tiré vers le haut par la forme des valeurs énergétiques.
International Power se trouvait sur le devant de la scène, bondissant de 1.29%, et BP lui emboîtant le pas avec 0.35%, tandis qu'Aggreko, premier fournisseur temporaire d'électricité au monde, n'était pas en reste avec 1.07%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont par contre fondu de 1.2 et 0.9%, les cuivriers n'inversant pas la tendance avec une rétraction de 1.2% pour Xstrata et 1.68% Kazakhmys.
La City était plus nuancée, Barclays grimpant de 1.13%, tandis que Lloyds Banking fléchissait de 1.68%, la Royal Bank of Scotland de 1.5% et HSBC Holdins de 0.27%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois plutôt optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.02%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.03% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.24%.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale, devrait quand à lui faire une apparition lors que la conférence de l'association nationae des analystes financiers sur la politique monétaire de 2012 cet après-midi, alors que les experts en immobilier américains communiqueront leur volume des ventes de logements en cours.
En première partie de séance européenne, l'EURO STOXX 50 a régressé de 0.51%, et le CAC 40 français de 0.18%, mais le DAX 30 allemand a grignoté 0.01%.
L'institut germanique Ifo pour la recherche économique avait annoncé ce matin que son indice de la confiance dans les affaires allemandes pour mars était monté de 109.6 à 109.8, au lieu des 109.7 déjà espérés.
Le moral était toutefois retombé depuis que Mario Monti, premier ministre italien, avait pointé dimanche du doigt le risque d'une résurgence du problème du surendettement européen provenant de l'Espagne, en raison de la difficulté de cette dernière à cotrôler son budget.
Les angoisses concernant la croissance mondiale avaient été ravivées la semaine dernière par les résultats montrant que l'activité manufacturière de la Chine avait reculé et que celle du bloc euro restait engluée en territoire négatif pour le huitième mois d'affilée en mars.
La finance s'en trouvait largement en berne, l'espagnol BBVA prenant le bonnet d'âne avec 2.9% de pertes, suivi de près par son compatriote Banco Santander avec 2.58%.
LEs français BNP Paribas et Société Générale ont suivi le mouvement avec respectivement 1.97 et 1.34% de régression, les allemands Deutsche Bank et Commerzbank limitant les dégâts à 0.33 et 1.7%.
Tout n'était cependant pas désespéré, les laboratoires pharmaceutiques suisses Roche prenant 0.45% après avoir consolidé pour la seconde fois leur offre de prise de contrôle hostile à 5.7 milliards d'USD d'Illumina Inc. et laissant ainsi présager des discussions intéressantes pour la réunion annuelle des actionnaires du fabricant d'outils de décodage génétique prévue le mois prochain.
A Londres, le FTSE 100, riche en matières premières, a arraché 0.16%, tiré vers le haut par la forme des valeurs énergétiques.
International Power se trouvait sur le devant de la scène, bondissant de 1.29%, et BP lui emboîtant le pas avec 0.35%, tandis qu'Aggreko, premier fournisseur temporaire d'électricité au monde, n'était pas en reste avec 1.07%.
Les mastodontes miniers Rio Tinto et BHP Billiton ont par contre fondu de 1.2 et 0.9%, les cuivriers n'inversant pas la tendance avec une rétraction de 1.2% pour Xstrata et 1.68% Kazakhmys.
La City était plus nuancée, Barclays grimpant de 1.13%, tandis que Lloyds Banking fléchissait de 1.68%, la Royal Bank of Scotland de 1.5% et HSBC Holdins de 0.27%.
Les perspectives des marchés américains étaient toutefois plutôt optimistes: les options sur le Dow Jones prévoyaient une hausse de 0.02%, celles sur le S&P 500 l'estimant à 0.03% et celles sur le Nasdaq 100 à 0.24%.
Ben Bernanke, président de la Réserve Fédérale, devrait quand à lui faire une apparition lors que la conférence de l'association nationae des analystes financiers sur la politique monétaire de 2012 cet après-midi, alors que les experts en immobilier américains communiqueront leur volume des ventes de logements en cours.