Investing.com - La livre sterling s'est retrouvée en berne face au dollar U.S. ce mardi, emboîtant le pas à l'euro, mais demeurant tout de même soutenue par l'attente d'initiatives de la part des banques centrales d'Europe et des Etats-Unis afin de redresser l'économie mondiale.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.568 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5688, perdant 0.13%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.561, son plancher du 20 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1.5749, son plafond d'hier.
Le moral restait bon, grâce à l'espoir que la Banque Centrale Européenne annoncera de nouvelles mesures destinées à juguler la crise persistante de la zone euro, après que Mario Draghi, son président, se soit engagé la semaine passée à défendre l'euro par tous les moyens nécessaires.
Mais la confiance demeurait fragilisée par la crainte qu'une réponse plus timorée de la part de la BCE n'entraîne un repli général.
La devise de la Grande-Bretagne s'était retrouvée sur la sellette après qu'une étude officielle ait fait savoir que le nombre des prêts hypothécaires approuvés le mois dernier avait dégringolé à son plus bas niveau depuis 18 mois, et une autre que les prêts nets avaient connu en juillet leur croissance la plus lente des 12 mois écoulés, mettant en relief les angoisses d'affaiblissement de l'économie.
La Banque d'Angleterre ne devrait quand à elle pas annoncer de changements majeurs lors de la rencontre de ses décideurs prévue jeudi.
Les conclusions des deux jours de réunion de la Réserve Fédérale de demain étaient aussi surveillées de près, sur fond de rumeurs selon lesquelles elle pourrait y laisser entrevoir les présages d'une série d'injections de liquidités supplémentaires.
La monnaie du Royaume-Uni a par ailleurs cédé quelques pouces de terrain à l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0.1% pour se hisser à 0.7811.
Les Etats-Unis achèveront de leur côté la journée avec des informations sur les variations des coûts des logements, la confiance des particuliers établi par des experts, ainsi que l'activité manufacturière dans la région de Chicago.
La paire GBP/USD est descendue jusqu'à 1.568 en première partie de séance européenne, son cours le plus bas du jour, puis s'est stabilisée vers 1.5688, perdant 0.13%.
Elle avait des chances de trouver du soutien à 1.561, son plancher du 20 juillet, et de rencontrer de la résistance à 1.5749, son plafond d'hier.
Le moral restait bon, grâce à l'espoir que la Banque Centrale Européenne annoncera de nouvelles mesures destinées à juguler la crise persistante de la zone euro, après que Mario Draghi, son président, se soit engagé la semaine passée à défendre l'euro par tous les moyens nécessaires.
Mais la confiance demeurait fragilisée par la crainte qu'une réponse plus timorée de la part de la BCE n'entraîne un repli général.
La devise de la Grande-Bretagne s'était retrouvée sur la sellette après qu'une étude officielle ait fait savoir que le nombre des prêts hypothécaires approuvés le mois dernier avait dégringolé à son plus bas niveau depuis 18 mois, et une autre que les prêts nets avaient connu en juillet leur croissance la plus lente des 12 mois écoulés, mettant en relief les angoisses d'affaiblissement de l'économie.
La Banque d'Angleterre ne devrait quand à elle pas annoncer de changements majeurs lors de la rencontre de ses décideurs prévue jeudi.
Les conclusions des deux jours de réunion de la Réserve Fédérale de demain étaient aussi surveillées de près, sur fond de rumeurs selon lesquelles elle pourrait y laisser entrevoir les présages d'une série d'injections de liquidités supplémentaires.
La monnaie du Royaume-Uni a par ailleurs cédé quelques pouces de terrain à l'euro, l'EUR/GBP grignotant 0.1% pour se hisser à 0.7811.
Les Etats-Unis achèveront de leur côté la journée avec des informations sur les variations des coûts des logements, la confiance des particuliers établi par des experts, ainsi que l'activité manufacturière dans la région de Chicago.