Investing.com - Les options sur le brut ont plongé à leur pire niveau journalier ce mardi matin, les opérateurs liquidant leurs valeurs dépendantes de la croissance suite à la publication de chiffres médiocres de la part de l'Allemagne.
Celle-ci est en effet une grosse consommatrice, et ses résultats manufacturiers servent souvent à évaluer les besoins futurs.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juin se sont échangés à 88,14 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 1,2%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 88,08 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 1,3% de fléchissement.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet annoncé que la première estimation de son baromètre de l'activité du secteur manufacturier du bloc euro était en repli depuis 46,8 vers 46,6, pour avril, sa valeur la plus faible des quatre mois écoulés.
Son équivalent allemand faisait exactement de même en se rétractant des 49,0 précédents vers 47,9.
Les services du pays suivaient un chemin identique, subissant leur recul le plus important en six mois en passant de 50,9 à 49,2.
Il avait aussi été souligné à l'aube que les industries de la Chine avaient progressé moins vite ce mois-ci, laissant redouter une évolution ralentie pour le secteur secondaire du deuxième demandeur mondial d'or noir entre début avril et fin juin.
L'évaluation préliminaire de l'indice manufacturier chinois établi par HSBC, donnant le pouls dans ce domaine, avait reculé depuis 51,6 définitifs vers 50,5 pour avril, son niveau le plus bas des deux mois écoulés.
Les observateurs attendaient aussi de nouvelles informations hebdomadaires concernant les réserves de pétrole brut et raffiné afin de juger de la force de la demande du premier consommateur mondial.
L'institut du pétrole américain dévoilera son rapport hebdomadaire dans la journée, et celui du gouvernement pourrait montrer mercredi une augmentation de 1,6 millions de barils des stocks d'or noir pour la semaine passée.
Le pays garde sa première part dans la demande mondiale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juin ont laissé échapper 0,95% pour sombrer à 99,44 USD du baril dans le même temps, soit 11,30 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leurs cours, établis à Londres, avaient plongé le 18 avril jusqu'à 96,76 USD, leur valeur la plus faible des neuf mois écoulés.
Ils ont récemment été boudés en raison des inconnues au sujet de l'économie européenne.
Celle-ci est en effet une grosse consommatrice, et ses résultats manufacturiers servent souvent à évaluer les besoins futurs.
Sur le marché aux matières premières de New York, les contrats sur le pétrole à échéance pour juin se sont échangés à 88,14 USD le baril en première partie de séance européenne, perdant 1,2%.
Ils avaient auparavant touché le fond à 88,08 USD, leur cours le plus bas du jour, avec 1,3% de fléchissement.
Le groupe de recherches économiques Markit a en effet annoncé que la première estimation de son baromètre de l'activité du secteur manufacturier du bloc euro était en repli depuis 46,8 vers 46,6, pour avril, sa valeur la plus faible des quatre mois écoulés.
Son équivalent allemand faisait exactement de même en se rétractant des 49,0 précédents vers 47,9.
Les services du pays suivaient un chemin identique, subissant leur recul le plus important en six mois en passant de 50,9 à 49,2.
Il avait aussi été souligné à l'aube que les industries de la Chine avaient progressé moins vite ce mois-ci, laissant redouter une évolution ralentie pour le secteur secondaire du deuxième demandeur mondial d'or noir entre début avril et fin juin.
L'évaluation préliminaire de l'indice manufacturier chinois établi par HSBC, donnant le pouls dans ce domaine, avait reculé depuis 51,6 définitifs vers 50,5 pour avril, son niveau le plus bas des deux mois écoulés.
Les observateurs attendaient aussi de nouvelles informations hebdomadaires concernant les réserves de pétrole brut et raffiné afin de juger de la force de la demande du premier consommateur mondial.
L'institut du pétrole américain dévoilera son rapport hebdomadaire dans la journée, et celui du gouvernement pourrait montrer mercredi une augmentation de 1,6 millions de barils des stocks d'or noir pour la semaine passée.
Le pays garde sa première part dans la demande mondiale, avec près de 22%.
Sur le marché ICE, les futures Brent sur le brut pour juin ont laissé échapper 0,95% pour sombrer à 99,44 USD du baril dans le même temps, soit 11,30 USD de mieux que leurs homologues américaines.
Leurs cours, établis à Londres, avaient plongé le 18 avril jusqu'à 96,76 USD, leur valeur la plus faible des neuf mois écoulés.
Ils ont récemment été boudés en raison des inconnues au sujet de l'économie européenne.